Pour restaurer l’autorité de l’Etat et permettre à l’administration postale de faire face à la concurrence du secteur et de ses charges mensuelles, le ministre Léon Juste Ibombo, au cours d’un échange avec les postiers, ce mardi 29 juin 2021, à Brazzaville, a donné l’information sur la relance des conseils de disciplines au sein de la Société des Postes et de l’épargne du Congo (SOPECO).
L’administration postale fait face à d’énormes défis. Et les énergies doivent se déployer pour sortir cette entreprise étatique de sa situation actuelle. Pour ce faire la première des exigences est celle que chaque agent réponde présent à son poste de travail. Ceci permettra que chaque agent postal remplisse sa mission. Le faisant chacun jouera sa partition dans la vente des produits et services de la poste congolaise et renflouera les caisses de la SOPECO.
Des pointeurs arrivées et départs seront installés dans les prochains jours dans les services de la poste congolaise, question de matérialiser cette ambition de remettre chaque agent à son poste de travail et de sévir les absents. Une initiative qui a été bien apprécié par les concernés qui ont formulé une doléance la mise à leur disposition d’un moyen de transport pouvant faciliter leur déplacement de leur zone de résidences pour le lieu de travail.
Le ministre Léon Juste Ibombo a promis trouver une solution à cette doléance qui intègre la dynamique du fonctionnement harmonieux de l’entreprise.
A cette mesure de mise en place d’un procédé numérique avec un pointeur de présence pour les agences de Brazzaville et Pointe-Noire, le ministre Léon Juste Ibombo a ajouté de l’octroi des badges aux agents des différentes caisses.
Cette décision découle du constat que le ministre a fait en synergie avec le comité de gestion de la SOPECO qu’il avait mis en place pour sortir l’entreprise de sa crise qui perdure, de ce qu’il y avait un décalage criard entre les recettes et les charges de la SOPECO, dans l’espace d’un mois.
De ce point de vue, au cours de cet échange ministre-agents des postes, Léon Juste Ibombo a fait le point des démarches entreprises par le cabinet concernant l’apaisement des tensions au sein de la SOPECO.
Comme prévu par le comité de gestion qui doit évaluer chaque semaine les recettes et les dépenses et prioriser la première dépense qui est le paiement du salaire mensuel, cette rencontre a permis au Ministre de mettre à la disposition de ces travailleurs les encaissements et recettes attendues de la SOPECO pour des raisons de clarté.
A ce jour, là SOPECO attend cinq millions (5.000.000) de franc/CFA de son partenaire privilégié Money Gram, treize millions (13.000.000) de franc/CFA des loyers par la Banque Postale du Congo, vingt millions (20.000.000) de franc/CFA des frais destinés aux payements des retraités.
En engageant les dépenses essentielles à son fonctionnement la SOPECO se reste avec 2045255 francs/CFA dans ses caisses. Or la masse salariale de cette entreprise publique s’élève à 38820739 francs/CFA, soit un gap de 36775484 francs/CFA. D’où il faut maximiser les recettes pour établir l’équilibre entre les recettes et les charges mensuelles. Ainsi, chaque agent est attendu à son poste de travail, pour sortir l’entreprise de l’ornière. 
A propos des recettes dissimulées, Léon Juste IBOMBO a dit qu’il s’agit là d’une fausse information. Pour permettre à la SOPECO de retrouver ses lettres de noblesse, il appelle les travailleurs au ressaisissement et à préserver l’outil de travail.
Pendant ces échanges, les travailleurs ont formulé quelques suggestions, notamment la nécessité de créer une autorité de régulation, le fonds postal tout en demandant au gouvernement de revoir la subvention jusqu’alors estimé à cent treize millions (113.000.000) de franc/CFA l’année.
Le Ministre a, par ailleurs, déploré le retrait des partenaires sociaux du comité de gestion récemment mis en place de façon collégiale. Un outil, pourtant, institué par le ministre pour assurer la gestion collégiale et transparente de la SOPECO.
Dans sa démarche d’amener l’administration postale congolaise à retrouver ses lettres de noblesse, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique multiplie des stratégies et initiatives. Le tout dans le but de redonner à l’agent postal sa stature d’antan. Dans ce sens, Léon Juste Ibombo sera face aux travailleurs de la SOPECO (société des postes et de l’épargne du Congo), ce mardi 29 juin 2021, à 14 heures.
Dans le souci de préserver le climat social et de maintenir le dialogue au sein de la société des postes et de l’épargne du Congo, le ministre de tutelle, Léon Juste Ibombo effectue, ce mardi, une descente à la recette principale de la poste. Tout en les exhortant à une prise de conscience professionnelle, afin de s’approprier leur outil de travail, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique invite l’ensemble des travailleurs de cette entreprise publique sous tutelle d’y répondre présents. Puisque le ministre Léon Juste Ibombo fera, encore, une importante communication à leur endroit.
L’objectif de cette descente est de poursuivre la mise en oeuvre de la nouvelle stratégie de gestion de l’entreprise, à savoir leur faire le point à chaque étape de l’évolution de la situation, telle qu’elle est examiné par le comité de gestion de la SOPECO, mise en place et pilotée par le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.
Léon Juste Ibombo est venu à la rencontre de ces postiers pour leur faire l’état de lieu, la réalité des comptes qui sont en deçà des charges de l’entreprise, ainsi que leur présenter les pistes de solutions, afin de donner du dynamisme à leur outil de travail.
Le ministre Léon Juste Ibombo
En face du ministre Léon Juste Ibombo, ce sont des femmes et hommes qui traditionnellement ont la missionde collecter, d’acheminer, la distribuer du courrier mais aussi de commercialiser les produits financiers (transferts d’argents à l’international et en national ainsi que les produits d’assurance). En conséquence, ils devraient assurer le Service Postal Universel, lequel consiste à acheminer et distribuer le courrier sur l’ensemble du territoire à moindre coût.
Or de du diagnostic des maux dont souffre la poste congolaise, il en ressort que les principaux revenus de la SOPECO proviennent des activités annexes liées à la location des terrains et bâtiments de la Poste. Par conséquent l’activité relative à l’exploitation postale devient une activité secondaire génératrice de revenu. Ce constat a permis au ministre de faire observer que les travailleurs de la Poste se sont profondément éloignés de leur cœur de métier. Du coup, cela bloque les leviers qu’ils pouvaient actionner, notamment en améliorant la productivité, le service rendu au client ou encore la qualité de service, afin d’accroitre les revenus nécessaires à son développement.
L’attitude démissionnaire du postier a pour corollaire le client se tourne vers d’autres acteurs proposant les mêmes services que la poste ; alors que la poste est présente dans tout le Congo et devrait profiter de cet atout pour faire des bonnes recettes le mois, et partant, faire face à ses charges.
Il est évident quela Poste connait depuis plusieurs années une crise profonde et structurelle, exacerbée, aujourd’hui, par un environnement économique national et international concurrentielle et difficile.
Plus que déterminé à sortir l’administration postale de cette situation, Léon Juste Ibombo a exposé les avancées enregistrées à ce jour. « C’est donc à ce titre, que j’ai mis en place, le 20 mai dernier, un dispositif absolument inédit et exceptionnel : le comité de gestion. » A soutenu le ministre face à l’assistance avant de préciser la composition et la mission dudit comité : « Composé des membres du Cabinet, de votre Direction Générale et de vos Représentants Syndicaux (le Postier et la Fésypostel), ce comité, dont j’assure personnellement la présidence, a pour objectif, pendant une période de trois mois, d’examiner la situation des recettes et des dépenses de votre entreprise, afin de définir, de façon collégiale, les meilleures options visant à vous assurer de façon plus régulière des revenus, et vous rendre ainsi votre dignité d’homme et femme, de père et mère, enfants du Congo. »
Il est question de juguler le déséquilibre persistant au sein de la SOPECO entre les recettes, qui sont de l’ordre de 23 millions et le paiement d’un mois de salaire estimé à 39 millions de francs CFA. « Il est donc impossible au rythme actuel de répondre à des paiements de salaires mensuellement. Par contre, vous disposez en vous des moyens et de leviers pour permettre d’atteindre de meilleurs résultats. » A dit le ministre Ibombo avant d’inviter l’ensemble du personnel de la SOPECO dans tout le Congo à reprendre du service, afin de renverser la tendance.
Pour sa part le ministre Léon Juste Ibombo a pris l’engagement de tout mettre en œuvre pour faire que le postier recouvre sa dignité. « Que chacun se mette à son poste de travail pour travailler. Et le comité de gestion de la SOPECO, dans un délai de 3 mois, mettra tout à contribution pour la résurrection de la poste congolaise. » Pouvait-il déduire. 
Léon Juste Ibombo faisant le tour du propriétaire
A ce titre, la feuille de route pour le développement du secteur postal demeure la redynamisation et la diversification des activités postales, la modernisation de la Poste, notamment à travers la digitalisation de ses services et l’amélioration de ses outils de production, la préservation de la paix et le dialogue sociale au sein de l’entreprise, l’assurance du Service Postal Universel (octroi de la concession postale à la SOPECO, mise en place d’un Fonds de Service Postal Universel). Il ne faut pas occulter l’amélioration de la gouvernance postale, la lutte contre les antivaleurs, ainsi que la restauration de la place du Congo sur l’échiquier postal international.
Le ministre Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, au cours d’une communication à l’endroit du régulateur des postes et communications électroniques, ce vendredi 11 juin 2021, dans son cabinet de travail, a dicté la norme à respecter pour développer et restaurer l’autorité de l’Etat dans ce secteur.
Léon Juste Ibombo a fait son entrée en matière en énumérant les résultats engrangés par son administration, en synergie avec tous les acteurs placés sous sa tutelle. Il s’agit notamment : de l’accession du Congo à la tête de l’Alliance SMART AFRICA pour les deux prochaines années, de la création au sein de l’Université Denis Sassou- N’Guesso de Kintélé, par la Commission Économique des Nations Unies pour l’Afrique du Centre Africain de Recherche sur l’Intelligence Artificielle. A cela s’ajoute, également la conduite du Projet de réalisation de la Phase pilote des tests 5 G en partenariat avec la CEA et l’opérateur MTN, sans oublier la mise en œuvre de la plateforme africaine de communication et d’information sur la Covid-19 ACIP pour améliorer les interventions sanitaires des États ainsi que la surveillance des maladies.
Le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique s’est félicité du travail abattu ensemble avec le régulateur pour booster le secteur, à travers, entre autres l’opérationnalisation du Fonds pour l’Accès et le Service Universel des Communications Électroniques, ayant rendu possible la couverture en télécommunications des localités enclavées, la dotation des établissements scolaires et universitaires en salle multimédias et bien d’autres acquis bénéfiques au développement des postes et des communications électroniques.
Pour la poursuite de cette dynamique, question de permettre à son département ministériel d’assurer au pays les atouts de prendre part à la « Révolution numérique », Léon Juste Ibombo a demandé au régulateur, qu’est l’agence de régulation des communications électroniques (ARPCE) à veiller sur la qualité des communications téléphoniques laisse à désirer, tout en faisant observer que des pertes de crédits répétées sont déplorées par les consommateurs sans défense, de même les consommateurs reçoivent de manière intempestive des sms promotionnels.
En retour, a instruit le ministre, l’organe de régulation se doit de prononcer des sanctions au lieu de simples mises en garde à l’endroit des opérateurs pourtant récalcitrants.
Concernant la régulation postale, a poursuit Léon Juste Ibombo, il faut veiller scrupuleusement à ce que la réglementation soit respectée. Sur ce point précis, le ministre a soutenu les textes d’application de la loi n° 9-2009 du 25 novembre 2009 portant réglementation postale en République du Congo sont au Secrétariat Général du Gouvernement et seront adoptés sous peu. Toutefois, l’ARPCE ne doit pas laisser s’installer une déréglementation du fait des opérateurs postaux privés, fixant aux usagers les tarifs fantaisistes. Au demeurant, Léon Juste Ibombo a exhorté l’agence de régulation d’assurer la sécurité postale, indispensable à la sécurité nationale.
La communication de Léon Juste Ibombo était destinée à l’ARPCE. Et en sa qualité du ministre en charge des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, il a rappelé à l’ARPCE, dont l’absence non justifiée de son directeur général dans la salle a été déploré par le ministre, est un organe de régulation placé sous la tutelle du ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique. A ce titre, elle est soumise à l’obligation de rendre compte de ses principales activités à sa hiérarchie.
Si « la restauration de l’autorité de l’Etat n’est pas négociable. » Insiste Léon Juste Ibombo, l’ARPCE est sommée de faire parvenir à mon cabinet ministre les rapports d’activités semestriels et annuels. Ainsi, dans le cadre de la lutte contre les antivaleurs, et usant des pouvoirs de contrôle, le ministre ne manquera pas de faire auditer l’organe de régulation si jamais, il y a le moindre soupçon de malversations, de concussion ou de fraudes.
Les axes de travail
Après avoir fixé la ligne rouge à ne pas franchir dans la collaboration ministère-agence de régulation, le ministre Léon Juste Ibombo a donné les directives et instructions pour relever les défis communs de développement du secteur des télécommunications et des TIC, en pleine évolution à la vitesse exponentielle.
Léon Juste Ibombo a fixé la feuille de route de l’ARPCE en cinq (5) points essentiels. Il s’agit notamment d’adapter la Régulation des postes et des communications électroniques aux contraintes technologiques et sécuritaires qu’imposent les TIC, d’accompagner substantiellement le département dans la mise en œuvre de sa feuille de route ; (Alliance SMART AFRICA et d’amorcer l’apurement des dettes UPAP ET UPU,…)
Le troisième axe de travail recommande de faire améliorer la qualité des services en communications téléphoniques. Sur ce point, le ministre donne mandat à l’ARPCE de Sanctionner si possible les opérateurs de téléphonie mobile récalcitrants.
Un autre chantier sur lequel devrait travailler l’ARPCE est celui de réguler plus efficacement le secteur des postes en proie à un dérèglement des pratiques postales par de nombreux opérateurs privés agréés et non agréés.
Et, la dernière exigence c’est l’obligation faite à l’ARPCE de rendre compte à la tutelle des activités importantes menées en indiquant les résultats obtenus surtout dans le cadre de la coopération internationale free roaming, fréquences etc.
L’instant de cette communication du ministre Léon Juste Ibombo, en définitive, devrait donner à l’agence de régulation des postes et des communications électroniques un sursaut du travail bien fait respectueux des textes en vigueur et d’un environnement solidaire voulu par tous. Dans cette conjugaison d’efforts et le respect des textes ainsi que des valeurs pourront être relevés les défis de développement du secteur des postes et des communications électroniques, pour le bonheur des congolais et la matérialisation du programme de gouvernement du chef de l’Etat.
L’exploitation postale devrait être dorénavant la principale source de revenu de la Société des Postes et de l’Epargne du Congo (SOPECO), pour permettre à l’entreprise de faire face à ses charges mensuelles. Cette phrase peut résumer la communication du ministre Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, aux agents de cette structure sous tutelle, ce mercredi 09 juin 2021, à Brazzaville.
Léon Juste Ibombo est venu à la rencontre de ces postiers pour leur faire l’état de lieu, la réalité des comptes qui sont en deçà des charges de l’entreprise, ainsi que leur présenter les pistes de solutions, afin de donner du dynamisme à leur outil de travail.
En face du ministre Léon Juste Ibombo, ce sont des femmes et hommes qui traditionnellement ont la mission de collecter, d’acheminer, la distribuer du courrier mais aussi de commercialiser les produits financiers (transferts d’argents à l’international et en national ainsi que les produits d’assurance). En conséquence, ils devraient assurer le Service Postal Universel, lequel consiste à acheminer et distribuer le courrier sur l’ensemble du territoire à moindre coût.
Or de du diagnostic des maux dont souffre la poste congolaise, il en ressort que les principaux revenus de la SOPECO proviennent des activités annexes liées à la location des terrains et bâtiments de la Poste. Par conséquent l’activité relative à l’exploitation postale devient une activité secondaire génératrice de revenu. Ce constat a permis au ministre de faire observer que les travailleurs de la Poste se sont profondément éloignés de leur cœur de métier. Du coup, cela bloque les leviers qu’ils pouvaient actionner, notamment en améliorant la productivité, le service rendu au client ou encore la qualité de service, afin d’accroitre les revenus nécessaires à son développement.
L’attitude démissionnaire du postier a pour corollaire le client se tourne vers d’autres acteurs proposant les mêmes services que la poste ; alors que la poste est présente dans tout le Congo et devrait profiter de cet atout pour faire des bonnes recettes le mois, et partant, faire face à ses charges.
Il est évident que la Poste connait depuis plusieurs années une crise profonde et structurelle, exacerbée, aujourd’hui, par un environnement économique national et international concurrentielle et difficile.
Plus que déterminé à sortir l’administration postale de cette situation, Léon Juste Ibombo a exposé les avancées enregistrées à ce jour. « C’est donc à ce titre, que j’ai mis en place, le 20 mai dernier, un dispositif absolument inédit et exceptionnel : le comité de gestion. » A soutenu le ministre face à l’assistance avant de préciser la composition et la mission dudit comité : « Composé des membres du Cabinet, de votre Direction Générale et de vos Représentants Syndicaux (le Postier et la Fésypostel), ce comité, dont j’assure personnellement la présidence, a pour objectif, pendant une période de trois mois, d’examiner la situation des recettes et des dépenses de votre entreprise, afin de définir, de façon collégiale, les meilleures options visant à vous assurer de façon plus régulière des revenus, et vous rendre ainsi votre dignité d’homme et femme, de père et mère, enfants du Congo. »
Il est question de juguler le déséquilibre persistant au sein de la SOPECO entre les recettes, qui sont de l’ordre de 23 millions et le paiement d’un mois de salaire estimé à 39 millions de francs CFA. « Il est donc impossible au rythme actuel de répondre à des paiements de salaires mensuellement. Par contre, vous disposez en vous des moyens et de leviers pour permettre d’atteindre de meilleurs résultats. » A dit le ministre Ibombo avant d’inviter l’ensemble du personnel de la SOPECO dans tout le Congo à reprendre du service, afin de renverser la tendance.
Pour sa part le ministre Léon Juste Ibombo a pris l’engagement de tout mettre en œuvre pour faire que le postier recouvre sa dignité. « Que chacun se mette à son poste de travail pour travailler. Et le comité de gestion de la SOPECO, dans un délai de 3 mois, mettra tout à contribution pour la résurrection de la poste congolaise. » Pouvait-il déduire.
A ce titre, la feuille de route pour le développement du secteur postal demeure la redynamisation et la diversification des activités postales, la modernisation de la Poste, notamment à travers la digitalisation de ses services et l’amélioration de ses outils de production, la préservation de la paix et le dialogue sociale au sein de l’entreprise, l’assurance du Service Postal Universel (octroi de la concession postale à la SOPECO, mise en place d’un Fonds de Service Postal Universel). Il ne faut pas occulter l’amélioration de la gouvernance postale, la lutte contre les antivaleurs, ainsi que la restauration de la place du Congo sur l’échiquier postal international.
COMMUNICATION DU MINISTRE EN CHARGE DES POSTES A L’ENDROIT DES TRAVAILLEURS DE LA SOPECO
Dans le dessein de sortir la poste dans la situation dans laquelle est plongée la poste congolaise depuis deux décennies, le ministre de tutelle, Léon Juste Ibombo multiplie des stratégies, non seulement pour l’arrimer aux défis du numérique mais aussi de permettre à l’agent postal de rentrer dans ses droits, notamment le paiement des salaires. Après avoir mis en place un comité de gestion de la Société des Postes et de l’Epargne du Congo (SOPECO), l’horizon se dessine pour qu’il en soit ainsi.
En date du 20 mai 2021, et par note 004/MPTEN-CAB/21, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo avait mis en place, à titre exceptionnel et pour une durée de trois mois un comité de gestion chargé de gérer de façon collégiale entre le ministre, la direction générale et les représentants syndicaux, les recettes et les dépenses de l’entreprise postale.
Une démarche engagée par le ministre Léon Juste Ibombo pour mettre autour de la SOPECO une gestion participative, mettant en musique l’implication des tous acteurs intervenant tant la gestion que dans le fonctionnement de l’entreprise.
Aussitôt, installé dans ses fonctions, l’organe mis en place par le ministre de tutelle et dont il assure la présidence, multiplie les séances de travail pour déboucher à une solution salutaire tant pour la survie de l’entreprise et pour l’agent qui, à ce jour, accuse plusieurs mois de salaires impayés.
C’est ainsi au cours de sa 3ème réunion, tenue le mardi 1er juin 2021, sous l’autorité de son président, Léon Juste Ibombo, le comité de gestion de la SOPECO, a tenu ce mardi 1er juin 2021, a engagé une réflexion pour explorer les niches pouvant permettre à l’administration postale de faire face à ses charges mensuelles.
Pour y parvenir le point des récettes et dépenses de l’entreprise a été fait. Il en ressort un déficit de 28.000.000frs à combler pour prioriser le paiement de salaire. Ce qui revient à dire que la SOPECO dispose dans son compte bancaire la somme de 13.915.601 francs/CFA. Ce qui, en conséquence, ne peut couvrir la charge salariale mensuelle, qu’est de 38.914.818 Francs/CFA.
Afin de combler le gap, le comité de gestion de la SOPECO pense qu’il est urgent de tourner vers les partenaires sociaux. De ce point de vue le concours financier de la Banque Postale du Congo et de Money gram, qui ont souscrit des engagements avec la SOPECO dans la mise en valeur de son patrimoine, est sollicité. Cette décision a été prise en accord partie avec les syndicats.
Une autre source de financement de la SOPECO est l’appui financier de l État, qui s’avère aussi indispensable, afin de préserver la paix sociale au sien de l’entreprise
A l’évidence, le comité de gestion de la SOPECO a pris une option, c’est la nécessité de restaurer la confiance et d’observer la transparence dans la gestion financière de cette entreprise publique, qu’est la SOPECO. Tout se met en place, somme toute, pour permettre à l’administration postale de payer les salaires des agents ; une manière de rétablir l’agent postal dans sa dignité. La prochaine réunion du comité de gestion de la SOPECO, prévue pour le 8 juin 2021, pourrait s’inscrire dans cette dynamique. Ainsi, Léon Juste Ibombo engage son administration dans un triptyque qui se résume en la transparence, des propositions concrètes et le dialogue social.
Après la mise en exécution des deux premières phases du Projet de Couvertu re Nationale en Télécommunications (PCN), la troisième qui concerne la connexion des ménages peine à se materialiser pour des raisons de financement. Le point a fait l’objet d’ une Réunion tenue le 02 juin 2021 à Brazzaville entre le Gouvernement représenté par les Ministres Léon Juste IBOMBO des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique et Denis Christel SASSOU N’GUESSO en charge de la Coopération internationale et de la Promotion du Partenariat Public‐ privé, George LI DG de Huawei Technology (Société adjudjicataire du Marché) (Congo Télécom, ARPCE)
. A l’issue de celle-ci les membres du Gouvernement ont pris l’engagement de débloquer la situation en mettant en place des stratégies dans le cadre de la diplomatie économique et du Partenariat Public‐privé pour solliciter le concours des investisseurs et des bailleurs de fonds étrangers.
León Juste IBOMBO, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a été élu, ce jeudi 6 mai 2021, président de l’alliance smart africa, au cours d’une réunion par visioconférence, des ministres africains en charge des TIC.
Les ministres africains, membres de Smart africa, ont porté leur dévolu sur le Ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, à la faveur de la réunion de cette organisation, tenue, ce jour, par visio conférence. Le nouveau Président du Conseil des ministres en charge des TIC de l’Alliance Smart Africa présidera aux destinées de cette organisation pour un mandat de 2 ans. Léon Juste Ibombo, mesurant les défis, a placé cette élection sous le signe de la poursuite des efforts pour rendre dynamique l’écosystème numérique africain. Il faut œuvrer à ne pas rater la Révolution numérique, pouvait s’exclamer le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique. Il succède à ce poste à Said Oumar Koulibaly de la Guinée Conakry.
Si l’objectif de Smart africa est de vulgariser les TIC pour contribuer au développement socio-économique des Etats. Léon Juste Ibombo, en présidant le conseil des ministres pour 2 ans affiche son optimisme et son engagement à travailler pour la concrétisation de la vision de l’organisation, qui se décline en cinq objectifs, à savoir : placer les TIC au cœur des programmes de développement socio-économique, améliorer leur accès et particulièrement celui à la large bande, améliorer la responsabilisation, l’efficacité et la transparence grâce aux TIC, accorder la priorité au développement du secteur privé, et impulser le développement durable via les TIC.
Sur cette base, il y a lieu de que l’alliance Smart Africa, est un réseau dont l’objectif est de rapprocher le secteur privé et les gouvernements africains autour du développement de l’internet en Afrique. Elle est, à l’évidence, un partenariat entre 30 pays africains qui a pour objectif l’accélération du développement socio-économique durable sur le continent africain à travers le numérique (TIC) dans le but de faire de l’Afrique un marché digital unique (Digital single market ).
Le plus grand objectif de Smart Africa est de mettre la transformation digitale au cœur du développement économique du continent, en mettant un point d’orgue sur le secteur privé et les Etats membres autour d’initiatives concrètes comme par exemple le projet “One Africa Network” qui vise à supprimer progressivement le roaming entre les pays africains ou le développement d’un réseau de villes africaines intelligentes.
En somme, la Smart Africa Alliance a été créée en 2013 à l’occasion du Transform Africa Summit tenue cette année-là à Kigali au Rwanda. Il naît du constat selon lequel les pays d’Afrique du Nord avaient pris un train d’avance considérable sur ceux d’Afrique subsaharienne en matière de développement des TIC.
Un échantillon des jeunes filles est à l’école du donner et du recevoir. Trois jours durant, à compter de ce mercredi 28 avril 2021, à Brazzaville, ces jeunes filles, venues d’horizons divers recevront une plus-value en rapport avec les technologies de l’information et de communication (TIC), pouvant leur permettre de rivaliser d’ardeur à ce 21ème siècle, siècle de la rapidité et du tout numérique.
Ouverts, ce 28 Avril, par Léon Juste Ibombo, ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, à l’occasion de la journée internationale des jeunes filles dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), instituée par l’UIT (Union Internationale des Télécommunications), les travaux de cet atelier visent à améliorer les connaissances des jeunes filles et des jeunes femmes à la conception , au développement et à l’utilisation des outils et applications des technologies de l’information et de la communication, tout en mettant à leur disposition des outils en leur permettant d’être « actrices du changement dans ce secteur, jusqu’à ce jour majoritairement masculin. De sorte que la gente féminine prenne part active au processus du développement durable.
Aussi, dans son allocution d’ouverture, le ministre Léon Juste Ibombo a-t-il inscrit ses propos dans cette perspective.« … Le fait de promouvoir l’enseignement des femmes et des jeunes filles dans le secteur des TIC s’inscrit dans le droit fil des objectifs de développement durable (ODD) définis par les Nations Unies, en particulier l’ODD 5, qui vise à parvenir à l’égalité des sexes et à autonomiser toutes les femmes et les filles, notamment grâce aux TIC », pouvait-il soutenir, tout en faisant un rapprochement des attentes de cet atelier avec l’objectif poursuivi par la journée internationale des jeunes filles dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), conformément à la vision de l’UIT. « En effet, l’organisation d’une Journée mondiale des jeunes filles dans le secteur des TIC a pour ambition avant tout d’offrir des perspectives d’emploi à la jeune fille. » A rappelé le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.
Si, cette journée valorise les jeunes filles et les encourage à poursuivre les études et leurs carrières dans le secteur technologique à travers la formation en codage, en développement d’applications mobiles et en informatique, les résultats attendus de cet atelier, organisé par la Force Montante Congolaise (FMC), jeunesse du Parti Congolais du Travail (PCT), par le biais du département de la promotion de la jeune fille, des questions du genre et des affaires sociale, sont entre autres, permettre aux jeunes filles et femmes de faire des TIC une arme de leur autonomisation.
De ce point de vue, les jeunes filles et femmes seront utiles et compétitives face aux contraintes de ce millénaire et du marché de l’emploi. Léon Juste Ibombo a trouvé les mots pour rappeler l’ambition de l’UIT : « Beaucoup d’entreprises et d’organisations cherchent à accroître le nombre de femmes représentées dans leur secteur, et en tant que principale institution des Nations Unies pour les télécommunications et les TIC, l’Union Internationale des Télécommunications veut encourager et promouvoir l’équilibre entre les femmes et les hommes dans le secteur des TIC à tous les niveaux au moyen de nombreuses initiatives, parmi lesquelles le partenariat mondial pour l’égalité hommes-femmes à l’ère du numérique (EQUALS), un partenariat mondial multi-parties prenantes visant à réduire la fracture numérique entre les hommes et les femmes. »
Ainsi, cette tribune, comme le veut la Journée internationale des jeunes filles dans le secteur des TIC, devrait, en dernier ressort accroître la représentation des filles et des femmes dans les sciences, technologies, Ingénierie et les mathématiques.
S’appuyant sur un extrait d’une déclaration du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, qui reconnait qu’« Il est essentiel de rendre ces technologies accessibles à toutes et à tous si l’on veut reconstruire des collectivités et des économies plus fortes, et ainsi relever les nombreux défis les plus pressants du monde », Léon Juste Ibombo a exhorté les formateurs à donner à la jeunesse féminine congolaise, durant ces trois jours du donner et du recevoir, les arguments nécessaires pour entreprendre dans ce secteur.
Organisé sous le thème : « Femmes et technologies », cet atelier de renforcement des capacités au bénéfice des jeunes filles et femmes congolaises, est une manière pour la Force montante congolaise, jeunesse du PCT de s’inscrire dans le programme de gouvernement du chef de l’Etat congolais, « Ensemble poursuivi la marche », qui lance une invite en direction des jeunes à s’insérer dans le secteur de l’économie numérique, promis à un bel avenir. Il est, également, l’occasion de promouvoir l’utilisation inclusive et équitable des TIC pour tous.
Brazzaville, ce jeudi 24 juin 2021, le ministre congolais, Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a présidé, en visio-conférence, la rencontre de haut niveau des ministres en charge des télécoms et des technologies de l’information et de la communication des pays membres de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC). Cette réunion a débouché sur l’adoption du Plan d’Action pour le Déploiement des Infrastructures de communications Électroniques (PACDICE-AC).



