MICHEL NGAKALA, COORDONNATEUR NATIONAL PAR INTERIM DU PROJET CAB/CONGO

Michel NGAKALA, conseiller Backbone au projet Central African Backbone (CAB) a été nommé coordonnateur national par intérim de ce projet. Il a été installé dans cette fonction par le Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Léon-Juste IBOMBO, le 31 mars 2020, au cours d’une cérémonie sobre due à la pandémie du coronavirus.

Le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Léon-Juste IBOMBO a procédé ce 31 mars, à l’installation du coordonnateur national par Intérim du Projet Central African Backbone (CAB). Il s’agit de Monsieur Michel NGAKALA, conseiller Backbone dudit projet. Il remplace à ce poste, Monsieur Yvon Didier MIEHAKANDA dont le contrat est arrivé à expiration.
Le nouveau Coordonnateur national par intérim du projet CAB est détenteur d’un Master en Administration des systèmes informatiques, obtenu à l’école EPITA de France.
Selon le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Michel NGAKALA, « aura pour, entre autre, mission de tout mettre en œuvre afin que la continuité et les objectifs du projet soient atteints, ce, conformément aux instructions fermes du président de la République Chef de l’État Son Excellence Monsieur Denis Sassou Nguesso ».
Il a en outre signifié que le projet Central African Backbone « n’est pas le projet d’un homme, mais celui des chefs d’État de la CEMAC, visant l’interconnexion de la sous-région en réseaux fibre optique. Vous devez donc comprendre que ce n’est pas un simple projet». A fait savoir Léon- Juste IBOMBO.
Par la même occasion, le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique a précisé à l’assistance que le réseau d’interconnexion en fibre optique Congo – Gabon qui était défectueux, à cause de la défaillance de l’ancien délégataire, sera très bientôt opérationnel, les réfections ont été opérées sur tout le réseau de Pointe-Noire à Mossendjo par le nouveau délégataire (Société MAMBS SERVICES).
Signalons que ce réseau d’interconnexion en fibre optique Congo–Gabon a été inauguré le 06 avril 2018.
Concernant le réseau Congo – République Centrafricaine, dont la société adjudicataire est CCSI, le ministre a fait savoir que le cahier de charge doit scrupuleusement être respecté et qu’en cas de défaillance, l’UCP devrait faire recours aux règlements de passation de marché pour trouver un autre constructeur.
Notons que le projet CAB Congo est à sa deuxième phase, celle qui consiste à interconnecter la république du Congo et le Cameroun puis la république du Congo avec la république Centrafricaine (RCA). Les travaux de construction de cette deuxième phase sont financés par la Banque Africaine de Développement (BAD) et exécutés par la société chinoise CCSI.
Enfin, Léon-Juste IBOMBO a terminé son propos en appelant les membres de l’Unité de Coordination du Projet (UCP), à intérioriser le message du chef de l’État sur le Covid-19 en s’appuyant sur le triptyque : Responsabilité,Solidarité et République

Congo-Communications électroniques : le comité du fonds pour l’accès et le service universels adopte ses instruments de travail

Le règlement intérieur, le document d’orientation stratégique, le manuel de procédures administratives, financières et comptables, le budget exercice 2020 et le plan d’action annuel, sont autant de documents jugés indispensables adoptés par les membres du comité du fonds pour l’accès et le service universels des communications électroniques pour son fonctionnement, au terme de sa session inaugurale administrative et budgétaire, tenue à Brazzaville, ce mercredi 25 mars 2020.

A l’ouverture des travaux, le président de ce comité, le ministre Léon Juste Ibombo, appelait ses membres à la responsabilité pour le doter de deux piliers indispensable à la réalisation de l’accès aux services, à savoir le pilier administratif et le pilier budgétaire.

Un jour de travaux a suffi pour examiner et adopter les instruments pour rendre opérationnel le comité du fonds pour l’accès et le service universel. Parmi les documents adoptés qui vont permettre au comité du fonds de fonctionner, il y a lieu de citer le règlement intérieur du comité du fonds, qui fixe les modalités d’organisation et de fonctionnement des organes du fonds, que sont le comité du fonds et l’organe de gestion du fonds.

Par ailleurs, les membres de ce comité ont adopté les documents d’orientations  stratégiques  pour le développement de l’accès et le service universels  des communications électroniques  pour la période 2020-2025, en vue de réduire la fracture numérique, sur la base de trois axes stratégiques. Il s’agit, pour le premier axe, de promouvoir l’accès des communautés rurales et démunies aux services des communications électroniques de base (voix et données) et aux services nécessitant le large bande. S’agissant de l’axe 2, il faut promouvoir  le développement  des nouveaux  services, la création des contenus locaux et des applications spécifiques favorisant l’inclusion  numérique. Enfin, il est question de renforcer les capacités des différentes parties prenantes en matière d’appropriation des TIC.

Cette session était aussi budgétaire. De ce point de vue, elle a approuvé avec amendements le plan d’action exercice 2020 et le budget  y afférent, arrêté en recettes et en dépenses  à la somme de 2991867743 Francs/CFA. Ce budget met la priorité sur la couverture des zones blanches  suivant les grandes masses ci-après : investissements 75% soit 2243900807 francs/CFA, fonctionnement 22% soit 658210903 francs/CFA, imprévus  3% soit 89756033 francs/CFA. Le comité s’est doté également du manuel de procédures administratives, financières et comptables.

Quatre délibérations meublent, en outre, les conclusions de cette 1ère session de ce comité du fonds : une délibération portant adoption du document d’orientations stratégiques pour le développement de l’accès  et du service universels des communications électroniques pour la période 2020-2025 ; une deuxième sur l’adoption du plan d’action annuel relatif à la mise en œuvre du projet pilote pour l’accès et le service universels des communications électroniques au titre de l’année 2020, une troisième qui a trait à l’adoption budget annuel exercice 2020 du fonds pour l’accès et le service universels des communications électroniques. Tandis que la dernière délibération porte sur l’adoption du manuel  des procédures administratives, financières et comptables

Une moisson abondante, pouvait se féliciter le président dudit fonds. Léon Juste Ibombo, clôturant ses assises, a engagé l’organe de gestion à tout mettre en œuvre pour matérialiser l’ensemble des projets retenus au profit des communautés rurales isolées et d’autres couches défavorisées  de la population, afin qu’elles puissent bénéficier des opportunités économiques et sociales qu’offrent les communications électroniques. Un chemin, somme toute, bien tracé pour aller vers l’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique.

Communications électroniques : le fonds pour l’accès au service universel tient sa 1ère session administrative et budgétaire

Sous le signe de l’application de l’instruction du gouvernement du Congo d’opérationnaliser le développement du fonds de l’accès universel des communications électroniques que le comité en charge de la question tient, ce mercredi 25 mars 2020, à Brazzaville, sa session inaugurale dite administrative et budgétaire, sous l’autorité de son président, Léon Juste Ibombo, Ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.
La mission assignée à ce comité est de matérialiser l’ambition du chef de l’Etat congolais qui recommande d’assurer l’accès des communications électroniques à l’ensemble de la population sur le territoire congolais.
Pour lier la parole à l’acte, la session administrative et budgétaire du comité du fonds pour l’accès et le service universel des communications universel devrait examiner et adopter le règlement intérieur, le document d’orientations stratégique, le manuel de procédures administratives, financières et comptables, le budget exercice 2020, ainsi que le plan d’action annuel.
Il faut doter le comité des outils pouvant lui permettre d’agir dans le sens de rendre accessible les communications électroniques à tous.
Un objectif à atteindre et qui s’impose en termes de droit fondamental de l’homme. Yves Castanou, secrétaire dudit fonds et directeur général de l’Agence de régulation des postes et des communications électroniques, prenant la parole au cours de la cérémonie d’ouverture a rappelé l’importance de cet organe chargé d’assurer l’accès aux communications électroniques. « A l’heure où les pouvoirs publics sont confrontés au problème de financement des zones rurales, isolées et d’accès difficiles par les opérateurs, la mise en place  par l’Etat du Fonds d’accès et du service universel est une réponse concrète. » A fait savoir Yves Castanou, tout en précisant que cette réponse permettra à chaque congolais d’accéder à un minimum de services de communications électroniques (voix et données) à des tarifs abordables.
Abordant dans cette même perspective, avant d’ouvrir les travaux, Léon Juste Ibombo, a fait observer « malgré les performances réalisées avec la libéralisation du secteur et des efforts déployés au plan des investissements en infrastructures, entre autres, le projet de couverture nationale en télécommunications, force est de reconnaître qu’il existe encore, et, à ce jour, sur notre territoire national, des zones qui ne bénéficient pas encore des services de communications électroniques, et ce, pour des raisons diverses. »
L’accès aux technologies de l’information et de la communication étant considéré comme un préalable au développement de l’économie numérique, le comité du fonds pour l’accès et le service universel des communications électroniques se doit de tout mettre en œuvre pour promouvoir une politique d’inclusion numérique au profit des communautés rurales, isolées et d’autres couches défavorisées de la population.
Ce qui pourra induire d’effets positifs dans le développement économique et social du pays. Une traduction en acte de l’ambition du président Denis Sassou-N’Guesso, d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique.
Ce qui, en somme, permettra au Congo de réduire la fracture numérique.

Réception de la délégation de Hélios towers

Ce mardi 11 Février 2020, Monsieur Philippe LOKIDON PDG en charge de Hélios towers en Tanzanie – RDC et Congo a présenté au Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique Léon Juste IBOMBO, Monsieur Colard NKOLE, Nouveau DG de Hélios towers Congo.
En poste depuis quelques jours l’occasion était tout indiqué pour Colard NKOLE de présenter ses civilités au Ministre Léon Juste IBOMBO. Outre les civilités, les deux parties sont d’accord sur le principe de travailler en étroite collaboration et garder les contactes sur tout autre projet qui nécessite l’expertise de Hélios towers.
Hélios towers, le gestionnaire des tours de Télécommunications, est déjà présent en Tanzanie, Ghana, République Démocratique du Congo et au Congo.

Opportunités d’affaires entre le congo et la corée du sud dans le domaine des TIC.

Le Pasteur Sunguk CHO est venu échanger avec le Ministre Léon juste IBOMBO en charge des Postes, des Télécommunications et de l’ Economie numérique sur les opportunités d’entreprendre des affaires avec le Réseau d’ Hommes d’ affaires coréens, notamment dans le domaine des TIC. Cette collabora tion qui se situe dans le cadre du Partenariat Public-Privé va pouvoir être un moyen pour le congo de développer son économie numérique, entendu que la corée du sud est l ‘un des pays leaders dans le domaine des TIC. Le Ministère a son tour à exprimer ses besoins prioritaires conforme ment au plan d’action du gouvernement.

Économie numérique : des recommandations au gouvernement pour doter le Congo d’un cyberespace résilient

  1. Une réunion de haut niveau sur la cybersécurité et la cyber résilience que Brazzaville a abrité, du 28 au 30 janvier 2020, a permis d’identifier et de développer les besoins en matière de renforcement de la résilience de la République du Congo face à la multitude des menaces cybernétiques.
    L’Union européenne, à travers ses CYBER4DEV et GLACY+ a  choisi le Congo pour abriter ces assises. Au terme de trois jours de travaux à travers plusieurs sessions interactives entre les parties prenantes des recommandations ont été formulées en vue de contribuer à aiguiser la prise de conscience sur la nécessité de réagir vite face aux menaces émergentes avec le développement de l’économie numérique, mais surtout pour la bonne gestion des risques auxquelles tout le monde est confronté dans ce cyberspace.
    De ce point de vue, cette rencontre scientifique a recommandé le gouvernement congolais de ratifier la convention de Budapest sur la cybercriminalité, indispensable à la prévention des actes portant atteinte à la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des systèmes informatiques, des réseaux et des données ainsi que l’usage frauduleux de tels systèmes, réseaux et données, en assurant l’incrimination de ces comportements, tels que décrits dans la présente Convention, et l’adoption de pouvoirs suffisants pour permettre une lutte efficace contre ces infractions pénales, en en facilitant la détection, l’investigation et la poursuite, tant au plan national qu’au niveau international, et en prévoyant des dispositions matérielles en vue d’une coopération internationale rapide et fiable.
    Cette réunion de haut niveau de Brazzaville a, en outre, inscrit parmi les priorités l’organisation des cyberDril, qu’est une sorte d’exercice destiné à consolider la réactivité des participants professionnels de la sécurité informatique, à l’instar des opérateurs de télécommunications,  des fournisseurs des services informatiques, des organismes d’intérêt vital…) à faire face aux cyber attaques, au cours d’une stimulation  organisée et dirigée par l’agence nationale de la sécurité informatique.
    Ces intelligences ont fait, également, œuvre utile en demandant aux dirigeants congolais de mener une sensibilisation  sur les risques cybernétiques et sur le cadre juridique en vigueur, de parvenir à intégration  dans le système éducatif des modules sur la cybercriminalité et la cybersecurité, afin de mettre en place à long terme des pôles d’excellence sur les questions d’éducations.
    La moisson de ces jours d’échanges aura été, par ailleurs, la formulation d’autres recommandations portant sur le renforcement des capacités des personnels sur les procédures de lutte contre la cybercriminalité, la création d’une adresse électronique et d’un numéro téléphonique vert permettant aux citoyens de contacter les services de police pour des cas de cybercriminalité, le maintien de la collaboration et la coopération au niveau national et international, sur la mise à disposition des services en charge de l’application de la loi des ressources adéquates pour accomplir les missions qui leurs sont assignées dans le cadre du Cyber espace congolais, la création des chambres spécialisées en matière de cybercriminalité au niveau des juridictions de notre pays, sur la diligence pour l’adoption des textes d’applications et la mise en œuvre des procédures par secteur, la mise en place une plateforme d ‘échanges publique/privée pour les questions de cybersécurité avant la mise en place effective de l’ANSI, ainsi que la création d’une taskforce multisectorielle pour l’élaboration de la stratégie nationale de cybersécurité.
    Douze recommandations formulées au gouvernement congolais par les experts qui ont animés cette réunion de haut niveau, afin d’avoir un cyberespace résilient.
    Puisqu’au vu des grandes transformations digitales de ce siècle et ceux à venir, il y a urgence d’anticiper aujourd’hui sur la protection efficace des données. Le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo, qui a ouvert les travaux, n’a pas manqué de rappeler le cadre juridique et légal qui régit, actuellement, le cyberespace congolais. « face aux complexités technologiques de la cybersécurité et vous comprendrez qu’il est normal que la plupart des gens aient beaucoup de difficultés à bien saisir la relation entre la cybersécurité et la protection des données privée. Je crois donc que de plus en plus de Congolais sont prêts pour une bonne dose de sensibilisation publique efficace à ces questions ».  Faisait observer le ministre Léon Juste Ibombo.
    Si l’augmentation des menaces digitales au cours de ces dernières années, ainsi que leur complexité impose la mise en place des barrières de plus en plus élevées pour les contrer. Il faut aller vers une protection des données plus globale et intégrée. C’est qu’il faut nommer la cyber-résilience. L’objectif est d’être capable, en permanence, de prévenir, d’identifier, de détecter, d’analyser toute menace et surtout d’y répondre et de récupérer toutes les données essentielles à la continuité de l’ouvrage.
    De ce rendez-vous du savoir s’est cristallisée l’idée de mettre tout en œuvre pour recruter et former les personnels congolais, pour qu’ils soient rapidement opérationnels, tout en leur offrant des parcours professionnels intéressants.

Congo-TIC : Léon Juste Ibombo rappelle à l’ordre l’unité de la coordination du projet Central African Backbone

Faisant le point de la mise en œuvre du projet Central African Backbone (CAB), dans son volet Banque Africaine de Développement (BAD), le ministre Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a donné, ce mercredi 22 janvier 2020, les orientations de travail à la coordination de ce projet pour 2020 et pour l’avenir.

Déclinant les axes de travail, qui doivent servir de feuille de route pour la coordination nationale du projet CAB, le ministre Léon Juste Ibombo, dans son propos est parti d’un constat : le réseau d’interconnexion Congo-Gabon, mise en service en 2017, n’a pas pu assurer le relai de connexion à internet à la suite de la coupure du WACS, survenue ces derniers jours, à cause des défaillances constatées dans l’exploitation du premier réseau d’interconnexion communautaire.

Face à ses administrés, Léon Juste Ibombo précise que sur la base de ces erreurs, des leçons devraient être tirées. Si le nouveau délégataire est à l’œuvre pour corriger les erreurs, le ministre en charge du secteur martèle que le critère qualité et quantité doit servir de boussole dans la construction de l’interconnexion Congo-Cameroun et Congo-RCA, ainsi du Data Center national.

« Les rapports fournis par le délégataire prouvent que les négligences graves ont été opérées lors de la construction de ce réseau (Congo-Gabon) déployée sans gaines de protection, fouilles construites sans tenir compte des usages, câble exposé à l’air libre sans protection », a souligné le ministre Léon Juste Ibombo, tout en déplorant les actes de vandalisme constatés sur ce réseau.

Or, le projet CAB vise à améliorer les services des technologies de l’information (TIC), en qualité et en quantité. Sur cette base Léon Juste Ibombo a rappelé l’ambition du président de la République du Congo, qu’est celle « d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique. »

Aussi le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a-t-il enjoint la coordination du projet CAB de prendre des mesures afin que la redondance Congo-Cameroun et Congo-RCA en construction soit capable d’assurer d’être une redondance utile en cas de coupure de la fibre du WACS. Les mêmes critères de fiabilité devrait être pris en compte dans la construction du Data center.

Cette réunion a servi, également, de tribune à Léon Juste Ibombo pour revenir sur les normes de fonctionnement du Projet CAB, qui au terme de la loi qui le crée est sous la tutelle du ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

Ce qui revient à dire que le ministre en charge de ce secteur devrait avoir la température du fonctionnement dudit projet. Néanmoins, c’est tout le contraire qui s’observe. Le ministre Ibombo énumère quelques faits saillants : « Des réunions avec les différentes parties prenantes ont été organisées par votre unité de coordination du projet sans que le ministre ne soit partie prenante. Pire encore, aucun rapport n’a été rédigé à cet effet. » A fait savoir Léon Juste Ibombo tout en ajoutant : « Il nous est revenu que le contrôleur est ici à Brazzaville avec un autre partenaire du projet sans que nous en soyons informés, ni même sans être venu présenter les civilités au ministre de tutelle.

D’autres dysfonctionnements ont été évoqués par le ministre Léon Juste Ibombo. L’objectif visé à travers ces illustrations est le rappel du respect de la hiérarchie, instituée par la loi créant le projet CAB-composante Congo, mais aussi le retour à la franche collaboration entre la tutelle, qu’es le ministère du secteur et le projet CAB.

Dans cette synergie devrait se conjuguer les efforts pour la production des bons résultats. Cela doit être d’usage dans l’exécution des chantiers en cette année, 2020, surtout dans la construction de l’interconnexion Congo-Cameroun et Congo-RCA puis le Data center. « Je pensais avoir demandé que nous prenions toutes les mesures utiles pour qu’au même moment que se construit le réseau, que nous lancions déjà l’appel à manifestation d’intérêt pour le recrutement du délégataire. » Pouvait déduire le ministre Léon Juste Ibombo.

Ce qui donnerait l’avantage, une fois les travaux terminés, d’avoir un délégataire pour assurer la maintenance et l’exploitation globale du réseau construit.

Plus rien ne pouvant plus être comme avant, cette réunion du ministre avec l’unité de coordination du projet CAB a, somme toute, débouché sur la conclusion selon laquelle « aucune décision ne peut être prise sans que le ministre de tutelle en soit informée. » c’est la norme de travail qui doit guider tout le travail à faire dorénavant.

“FOUTA” Nouvel procédé dans le domaine du monétique bientôt opérationnel.

Dans un avenir proche la liste des procédés dans le domaine monétique va s’élargir avec “FOUTA”.

“FOUTA” une solution qui va apporter la facilité au payement par mobile. Ce jeudi 09 janvier 2020, dans le cadre de la phase expérimentale de la solution 《FOUTA》la délégation de SOTEK Congo conduite par LEVY LANDA MAMBOU avec une équipe technique de LIFE PAY, une structure chinoise partenaire de SOTEK Congo sont venues présenter le projet au Ministre LÉON JUSTE IBOMBO en charge des Télécommunications et de l’Economie Numérique
D’après LEVY LANDA MAMBOU Directeur Exécutif de SOTEK 《FOUTA est une Solution qui apporte la facilité par le payement mobile》.
Bien qu’il existe déjà d’autres procédés dans ce domaine du monétique, pour LEVY LANDA MAMBOU la particularité et l’innovation est que “FOUTA” permet aux merchants (distributeurs) d’avoir une identité via le QR code pour leur permettre d’être accepteurs du payement via le téléphone, a-t-il renchéri.

Le Ministre patron du secteur, appréciant à sa juste valeur ce procédé, entend apporter le soutien multiforme du ministère dont il a la charge de diriger à SOTEK Congo afin de permettre la matérialisation de ce projet au Congo.