

Louis Marc SAKALA, le nouveau DG de l’Agence de Régulation des Postes et Communications Électroniques a été installé dans ses fonctions le jeudi 02 Avril 2020 à l’issue de la passation de services avec Yves CASTANOU ( DGsortant ), une cérémonie supervisée par le Ministre des Postes ,des Télécommunications et de l’Economie Numérique Léon Juste IBOMBO Patronant la cérémonie le Ministre Léon Juste IBOMBO en sa qualité du patron du secteur a donné des orientations au nouveau DG en ces termes: “l’ARPCE participe à l’équilibre des secteurs réguliers entres autres celui des Télécommunications et des communications électroniques Poursuit-il “Mais, Monsieur le DG, vos prérogatives s’arretent pas seulement à ce type d’industrie, mais aussi et surtout au secteur Postal , qui est d ailleurs le 1er segment de votre champs de competence” Par cette interpellation le Ministre Léon Juste IBOMBO appelle le nouveau administrateur de cette agence de régulation au sens de Responsabilité . Entendu que le secteur postal accuse de nos jours, un énorme coût notamment avec l’avènement du digital et de léclosion des plates-formes de communications électroniques.” votre devoir est de veiller aussi à une regulation saine du secteur Postal, mais aussi d’accorder un accompagnement franc à notre opérateur national Sopeco afin que celle-ci puisse faire face à sa mission d’assurer le Service Universel ” a en renchérit Léon Juste IBOMBO. Le challenge de cette année, est celui de voir l’ARPCE fournir l’accès aux communications aux zones dites ” Blanches” a l’exemple de Bouaniela et bien d’autres jusqu’ici non couvertes. Cette orientation que le Ministre IBOMBO appelle de tous ses voeux, s’inscrit conformement aux préoccupations du Président de la Republique SEM Dénis SASSOU N’GUESSO.
YVES CASTANOU promet de s’employer avec l’ensemble des agents de la societé de téléphonie mobile Congo Telecom pour poursuivre les efforts dejà amorcés par son predecesseur.
La passation de service entre l’administrateur general entrant Yves CASTANOU et le sortant Monsieur AKOUALA a eu lieu ce Mercredi 1er Avril 2020. C’est le Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numerique Léon Juste IBOMBO qui a patronné la ceremonie. Ancien Directeur général de l’ARPCE qui a au passage remercié le president de la Republique et son gouvernement pour cette nomination entend faire valoir son humilité comme dans ses precedantes fonctions
De son coté, le sortant Monsieur AKOUALA qui quitte cette structure apres 11 ans ou presque à la tete de celle-ci pense avoir laissé derrière lui, trois armes sur lesquelles devrait s’appuyer son successeur afin de relever les defis de l’operateur historique de telephonie mobile au Congo. Il s’agit notament :d’une expertise dynamique, du demarrage de la troisieme phase de la couverture nationale et le financement de congo Télécom à un cout de 13 milliard par une banque internationale dont le nom reste à savoir.
Michel NGAKALA, conseiller Backbone au projet Central African Backbone (CAB) a été nommé coordonnateur national par intérim de ce projet. Il a été installé dans cette fonction par le Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Léon-Juste IBOMBO, le 31 mars 2020, au cours d’une cérémonie sobre due à la pandémie du coronavirus.
Le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Léon-Juste IBOMBO a procédé ce 31 mars, à l’installation du coordonnateur national par Intérim du Projet Central African Backbone (CAB). Il s’agit de Monsieur Michel NGAKALA, conseiller Backbone dudit projet. Il remplace à ce poste, Monsieur Yvon Didier MIEHAKANDA dont le contrat est arrivé à expiration.
Le nouveau Coordonnateur national par intérim du projet CAB est détenteur d’un Master en Administration des systèmes informatiques, obtenu à l’école EPITA de France.
Selon le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Michel NGAKALA, « aura pour, entre autre, mission de tout mettre en œuvre afin que la continuité et les objectifs du projet soient atteints, ce, conformément aux instructions fermes du président de la République Chef de l’État Son Excellence Monsieur Denis Sassou Nguesso ».
Il a en outre signifié que le projet Central African Backbone « n’est pas le projet d’un homme, mais celui des chefs d’État de la CEMAC, visant l’interconnexion de la sous-région en réseaux fibre optique. Vous devez donc comprendre que ce n’est pas un simple projet». A fait savoir Léon- Juste IBOMBO.
Par la même occasion, le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique a précisé à l’assistance que le réseau d’interconnexion en fibre optique Congo – Gabon qui était défectueux, à cause de la défaillance de l’ancien délégataire, sera très bientôt opérationnel, les réfections ont été opérées sur tout le réseau de Pointe-Noire à Mossendjo par le nouveau délégataire (Société MAMBS SERVICES).
Signalons que ce réseau d’interconnexion en fibre optique Congo–Gabon a été inauguré le 06 avril 2018.
Concernant le réseau Congo – République Centrafricaine, dont la société adjudicataire est CCSI, le ministre a fait savoir que le cahier de charge doit scrupuleusement être respecté et qu’en cas de défaillance, l’UCP devrait faire recours aux règlements de passation de marché pour trouver un autre constructeur.
Notons que le projet CAB Congo est à sa deuxième phase, celle qui consiste à interconnecter la république du Congo et le Cameroun puis la république du Congo avec la république Centrafricaine (RCA). Les travaux de construction de cette deuxième phase sont financés par la Banque Africaine de Développement (BAD) et exécutés par la société chinoise CCSI.
Enfin, Léon-Juste IBOMBO a terminé son propos en appelant les membres de l’Unité de Coordination du Projet (UCP), à intérioriser le message du chef de l’État sur le Covid-19 en s’appuyant sur le triptyque : Responsabilité,Solidarité et République
Le règlement intérieur, le document d’orientation stratégique, le manuel de procédures administratives, financières et comptables, le budget exercice 2020 et le plan d’action annuel, sont autant de documents jugés indispensables adoptés par les membres du comité du fonds pour l’accès et le service universels des communications électroniques pour son fonctionnement, au terme de sa session inaugurale administrative et budgétaire, tenue à Brazzaville, ce mercredi 25 mars 2020.
A l’ouverture des travaux, le président de ce comité, le ministre Léon Juste Ibombo, appelait ses membres à la responsabilité pour le doter de deux piliers indispensable à la réalisation de l’accès aux services, à savoir le pilier administratif et le pilier budgétaire.
Un jour de travaux a suffi pour examiner et adopter les instruments pour rendre opérationnel le comité du fonds pour l’accès et le service universel. Parmi les documents adoptés qui vont permettre au comité du fonds de fonctionner, il y a lieu de citer le règlement intérieur du comité du fonds, qui fixe les modalités d’organisation et de fonctionnement des organes du fonds, que sont le comité du fonds et l’organe de gestion du fonds.
Par ailleurs, les membres de ce comité ont adopté les documents d’orientations stratégiques pour le développement de l’accès et le service universels des communications électroniques pour la période 2020-2025, en vue de réduire la fracture numérique, sur la base de trois axes stratégiques. Il s’agit, pour le premier axe, de promouvoir l’accès des communautés rurales et démunies aux services des communications électroniques de base (voix et données) et aux services nécessitant le large bande. S’agissant de l’axe 2, il faut promouvoir le développement des nouveaux services, la création des contenus locaux et des applications spécifiques favorisant l’inclusion numérique. Enfin, il est question de renforcer les capacités des différentes parties prenantes en matière d’appropriation des TIC.
Cette session était aussi budgétaire. De ce point de vue, elle a approuvé avec amendements le plan d’action exercice 2020 et le budget y afférent, arrêté en recettes et en dépenses à la somme de 2991867743 Francs/CFA. Ce budget met la priorité sur la couverture des zones blanches suivant les grandes masses ci-après : investissements 75% soit 2243900807 francs/CFA, fonctionnement 22% soit 658210903 francs/CFA, imprévus 3% soit 89756033 francs/CFA. Le comité s’est doté également du manuel de procédures administratives, financières et comptables.
Quatre délibérations meublent, en outre, les conclusions de cette 1ère session de ce comité du fonds : une délibération portant adoption du document d’orientations stratégiques pour le développement de l’accès et du service universels des communications électroniques pour la période 2020-2025 ; une deuxième sur l’adoption du plan d’action annuel relatif à la mise en œuvre du projet pilote pour l’accès et le service universels des communications électroniques au titre de l’année 2020, une troisième qui a trait à l’adoption budget annuel exercice 2020 du fonds pour l’accès et le service universels des communications électroniques. Tandis que la dernière délibération porte sur l’adoption du manuel des procédures administratives, financières et comptables
Une moisson abondante, pouvait se féliciter le président dudit fonds. Léon Juste Ibombo, clôturant ses assises, a engagé l’organe de gestion à tout mettre en œuvre pour matérialiser l’ensemble des projets retenus au profit des communautés rurales isolées et d’autres couches défavorisées de la population, afin qu’elles puissent bénéficier des opportunités économiques et sociales qu’offrent les communications électroniques. Un chemin, somme toute, bien tracé pour aller vers l’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique.
Sous le signe de l’application de l’instruction du gouvernement du Congo d’opérationnaliser le développement du fonds de l’accès universel des communications électroniques que le comité en charge de la question tient, ce mercredi 25 mars 2020, à Brazzaville, sa session inaugurale dite administrative et budgétaire, sous l’autorité de son président, Léon Juste Ibombo, Ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.
La mission assignée à ce comité est de matérialiser l’ambition du chef de l’Etat congolais qui recommande d’assurer l’accès des communications électroniques à l’ensemble de la population sur le territoire congolais.
Pour lier la parole à l’acte, la session administrative et budgétaire du comité du fonds pour l’accès et le service universel des communications universel devrait examiner et adopter le règlement intérieur, le document d’orientations stratégique, le manuel de procédures administratives, financières et comptables, le budget exercice 2020, ainsi que le plan d’action annuel.
Il faut doter le comité des outils pouvant lui permettre d’agir dans le sens de rendre accessible les communications électroniques à tous.
Un objectif à atteindre et qui s’impose en termes de droit fondamental de l’homme. Yves Castanou, secrétaire dudit fonds et directeur général de l’Agence de régulation des postes et des communications électroniques, prenant la parole au cours de la cérémonie d’ouverture a rappelé l’importance de cet organe chargé d’assurer l’accès aux communications électroniques. « A l’heure où les pouvoirs publics sont confrontés au problème de financement des zones rurales, isolées et d’accès difficiles par les opérateurs, la mise en place  par l’Etat du Fonds d’accès et du service universel est une réponse concrète. » A fait savoir Yves Castanou, tout en précisant que cette réponse permettra à chaque congolais d’accéder à un minimum de services de communications électroniques (voix et données) à des tarifs abordables.
Abordant dans cette même perspective, avant d’ouvrir les travaux, Léon Juste Ibombo, a fait observer « malgré les performances réalisées avec la libéralisation du secteur et des efforts déployés au plan des investissements en infrastructures, entre autres, le projet de couverture nationale en télécommunications, force est de reconnaître qu’il existe encore, et, à ce jour, sur notre territoire national, des zones qui ne bénéficient pas encore des services de communications électroniques, et ce, pour des raisons diverses. »
L’accès aux technologies de l’information et de la communication étant considéré comme un préalable au développement de l’économie numérique, le comité du fonds pour l’accès et le service universel des communications électroniques se doit de tout mettre en œuvre pour promouvoir une politique d’inclusion numérique au profit des communautés rurales, isolées et d’autres couches défavorisées de la population.
Ce qui pourra induire d’effets positifs dans le développement économique et social du pays. Une traduction en acte de l’ambition du président Denis Sassou-N’Guesso, d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique.
Ce qui, en somme, permettra au Congo de réduire la fracture numérique.
Ce mardi 11 Février 2020, Monsieur Philippe LOKIDON PDG en charge de Hélios towers en Tanzanie – RDC et Congo a présenté au Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique Léon Juste IBOMBO, Monsieur Colard NKOLE, Nouveau DG de Hélios towers Congo.
En poste depuis quelques jours l’occasion était tout indiqué pour Colard NKOLE de présenter ses civilités au Ministre Léon Juste IBOMBO. Outre les civilités, les deux parties sont d’accord sur le principe de travailler en étroite collaboration et garder les contactes sur tout autre projet qui nécessite l’expertise de Hélios towers.
Hélios towers, le gestionnaire des tours de Télécommunications, est déjà présent en Tanzanie, Ghana, République Démocratique du Congo et au Congo.
Le Pasteur Sunguk CHO est venu échanger avec le Ministre Léon juste IBOMBO en charge des Postes, des Télécommunications et de l’ Economie numérique sur les opportunités d’entreprendre des affaires avec le Réseau d’ Hommes d’ affaires coréens, notamment dans le domaine des TIC. Cette collabora tion qui se situe dans le cadre du Partenariat Public-Privé va pouvoir être un moyen pour le congo de développer son économie numérique, entendu que la corée du sud est l ‘un des pays leaders dans le domaine des TIC. Le Ministère a son tour à exprimer ses besoins prioritaires conforme ment au plan d’action du gouvernement.
Une réunion de haut niveau sur la cybersécurité et la cyber résilience que Brazzaville a abrité, du 28 au 30 janvier 2020, a permis d’identifier et de développer les besoins en matière de renforcement de la résilience de la République du Congo face à la multitude des menaces cybernétiques.