Réouverture des bureaux de la SOCIÉTÉ des POSTES et de l’ÉPARGNE du CONGO à Ngo et Abala ainsi que le lancement des produits financiers à Makoua; les 29, 30 Juin et 1er Juillet 2017.
Nous assurons le service Postal de proximité
Le Ministre des postes et télécommunications porte à l’attention du public que les travaux de réparation du câble sous-marin à fibre optique débutés le 19 juin 2017 sous la conduite du consortium WACS au large des côtes de Pointe-Noire ont pris fin ce jour. La liaison internet a été rétablie.
Les participants à l’atelier pour le développement et la mise en œuvre d’une stratégie nationale de protection et de l’autonomisation des enfants dans l’espace numérique, réunis à Brazzaville du 21 au 24 juin 2017 se disent satisfaits des connaissances reçues; A quelques heures de la clôture dudit atelier ont soutenu que l’essentiel des outils pouvant leur servir de boussole dans le travail à réaliser dans l’avenir en vue de la formulation d’une stratégie nationale de la protection de l’enfant en ligne. L’expert de l’UIT, Emmanuel KAMDEM, en coordonnateur et facilitateur de cette formation affirme que les capacités des acteurs concernés en planification axée sur les résultats ont été renforcées.
Dans 03 mois la ZHEJIANG Yonder Group lance ses activités.
Cette compagnie Chinoise est spécialisée dans la construction des Poteaux électriques conducteur de la fibre optique.
C’est ce qui ressort de l’audience accordée par le Ministre des Postes et Télécommunications Léon Juste IBOMBO à la délégation de cette compagnie conduite par son PDG Faqing ZHANG.
Les acteurs évoluant dans le secteur des télécommunications réfléchissent depuis ce mercredi, à la faveur d’un atelier ouvert par le ministre congolais en charge de la question, Léon Juste IBOMBO, sur les procédés à mettre en œuvre pour prémunir l’enfant des dangers du numérique.
Il faut doter le Congo d’une stratégie nationale sur la protection de l’enfant en ligne. Le chemin pour y parvenir passe par cette session de formation et d’information. Et les participants ont du grain à moudre.
Ouvrant les travaux, le ministre congolais des postes et télécommunications Léon Juste IBOMBO, a soutenu « de manière générale les enfants peuvent subir une cyberaddiction pouvant engendrer leur désocialisation et impacter leurs résultats scolaires, mais aussi créer des dysfonctionnements de la cellule familiale », avant de fixer les axes de travail : « Il s’agira d’élaborer et de mettre n place des techniques de filtrage, limitant ou bloquant l’accès aux contenues internet déviants afin d’assurer leur sécurité dans l’espace numérique. »
Les enfants ayant actuellement tendances d’utiliser l’internet cet atelier devrait être un haut lieu pour les participants de définir les mécanismes visant à exercer une certaine censure sur les contenus que les réseaux sociaux, mieux l’internet peuvent proposer aux enfants. Ceci dans le but de parfaire l’éducation et la formation, ainsi que protéger l’enfant contre les éventuels dangers découlant des usages des réseaux sociaux.
Les présentes assises se tiennent conformément à la déclaration des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEEAC de N’Djamena de janvier 2012, dans laquelle ils ont exprimé leur engagement à soutenir toutes les initiatives nationales ou communautaires visant non seulement à créer un environnement favorable un meilleur attrait des investisseurs privés, mais également à renforcer la confiance ces citoyens dans l’utilisation des TIC. Aussi se sont –ils engagés d’adopter dans la communauté des mesures pour promouvoir une utilisation plus sure et à protéger l’utilisateur final contre les contenus non désirés.
Aux mêmes fins les ministres en charge des télécommunications et des TIC des pays membres de la communauté, ont à la suite des Chefs d’Etat, en novembre 2016, adopté les lois types relatives aux télécommunications/TIC et à la cybercriminalité, ainsi que le cadre de référence d’interconnexion frontalière des pays membres de la CEEAC. De même qu’ils ont recommandé au secrétariat général de la CEEAC de mettre en œuvre des plans d’actions pour la protection de l’enfant en ligne avec l’appui de l’Union Internationale des télécommunications.
Dans cette perspective l’urgence impose à ces experts de posant les jalons pouvant contribuer à la formulation de la stratégie nationale de protection de l’enfant en ligne et aux renforcement des capacités des acteurs concernés en planification axée sur les résultats, en gestion du cycle de vie de projet en identification/formulation de projet et à contribuer à la promotion et au renforcement d’une large et active participation des parties prenantes nationales au développement et à la mise en œuvre d’une stratégie nationale de protection et de sécurité de l’enfant dans l’espace numérique.
La rencontre de Brazzaville, qui se tient du 21 au 24 juin 2017, devrait être utile en tant qu’elle devra rendre apte chaque participer à mieux participer au processus collaboratif d’élaboration de la stratégie nationale portant protection de l’enfant en ligne en République du Congo.
Autant déduire dans le cadre de l’initiative de la protection de l’enfant en ligne, les participants ont pour mission d’améliorer l’expertise nationale en planification axée sur les résultats, en gestion et en identification ou formulaire de projet et de promouvoir et de renforcer la participation des parties prenantes au développement de manière plus active.
Sous le haut patronage de Son Excellence
Monsieur le Premier Ministre chef du Gouvernement
Clément MOUAMBA,
L’Union Internationale des Télécommunications (UIT)
Avec l’appui de la communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC)
En Partenariat avec le Ministère des Postes et Télécommunications
Organisent les 21 et 24 Juin 2017
Un atelier pour le développement et la mise en œuvre d’une stratégie nationale de Protection et d’Autonomisation des enfants en ligne
A l’hôtel le Radisson Blu.
Sont Conviés
Les Institutions Publiques
Les ONG de défense des Droits de l’homme
Les Organismes internationaux
Les agences de système des nations unies
Cordiale Bienvenues à tous !
Brazzaville, Congo (CONGOSITE) – Le ministre des Postes et télécommunications, Léon Juste Ibombo, a délivré un message le 16 mai 2017 à Brazzaville à l’occasion de la Journée mondiale des Télécommunications et de la société de l’information, qui a lieu les 17 mai de chaque année.
Cette annéete année elle a pour thème : «Big data for Big impact, autrement dit, les méga-données pour un méga-impact » et marque la célébration de deux événements importants pour l’UIT (Union Internationale des Télécommunications). De la naissance du télégraphe aux communications par satellite et à l’Internet, en passant par la radiodiffusion sonore et télévisuelle, les travaux de l’Union ont contribué à tirer parti des potentialités scientifiques et technologiques pour répondre à un besoin fondamental de l’homme, celui de communiquer.
A cette occasion, Léon Juste Ibombo a annoncé que le gouvernement entendait installer un système informatique appelé Data center en vue d’assurer la gestion et le stockage des données numériques du pays. Il a ajouté que l’infrastructure Data center sera mise en œuvre dans le cadre de la deuxième phase du projet Central african Backbone (Cab), qui vise à interconnecter le Congo à la République du Cameroun et à la République centrafricaine.
« La détermination du gouvernement à implémenter un Data center, à travers un financement de la Banque africaine de développement (…), est de créer un écosystème national de données pour le développement durable ; de mettre en place des politiques nationales et stratégiques en matière de méga-données », a-t-il précisé.
Les méga-données actuellement stockées dans les moteurs de recherche basées aux Etats-Unis sont un ensemble volumineux de données numériques qu’aucun outil standard, ni aucun logiciel classique de gestion de base de données ou de gestion de l’information ne peut traiter ni conserver.
Les enjeux du numérique sont nombreux, admet le ministre. Le Congo doit d’abord rattraper son retard quant à la connectivité sur l’ensemble du territoire, à l’élaboration d’un cadre juridique conséquent, de proposition du contenu et des services à valeur ajoutée et l’accès à la formation sur le numérique.
En ce qui concerne la sécurité et la protection des libertés individuelles, l’Etat doit veiller à mettre des moyens nécessaires à la bonne exploitation des informations stockées. « La cyberattaque à l’échelle mondiale, la captation des données de grandes entreprises et l’organisation internationale par des cyber pirates sont une preuve de cette menace », a fait savoir le ministre.
Un autre enjeu de cette révolution numérique, ajoute le ministre, est celui de faire de cet outil un véritable moteur de développement durable, à l’image des engagements des Nations unies contenus dans les 17 nouveaux Objectifs du développement durable (ODD).
Les innovations des technologies Big Data devront alors aider le pays dans de nombreux domaines tels que le monde des finances, le commerce, la recherche scientifique, la communication, la médecine, la météorologie, l’écologie, la politique…
Kury Kounga
Le ministre des postes et télécommunications Léon Juste Ibombo a délivré le 4 mai 2017 à Brazzaville un message à l’endroit des opérateurs privés du secteur postal opérant en République du Congo, sur les conditions administratives et techniques d’installation et d’exploitation des réseaux et services postaux dans le but d’améliorer les performances du secteur dont il a la charge.
Cet appel t appel à l’endroit des opérateurs privés exerçant dans le domaine des postes, s’inscrit dans le cadre de la volonté du gouvernement congolais d’améliorer les performances de ce secteur. En se conformant à la législation en vigueur dans ce secteur, ils auront contribué, à leur manière au rayonnement au bon fonctionnement du secteur des postes en République du Congo. 13 sociétés ont répondu à cette invitation notamment DHL;Bolloré;Necotrans; Partener Experts;Intregral Services; GX International; Saint Sy Express; Beauvoir Business.
En s’appuyant sur la loi numéro 10-2009 du 25 novembre 2009 portant réglementation du secteur des postes a consacré la libéralisation de ce domaine d’activité, Léon Juste Ibombo a reprécisé à ces acteurs l’interaction existant entre les quatre acteurs intervenant dans l’activité postale au Congo. Il s’agit du ministère qui est chargé de concevoir et d’exécuter la politique du gouvernement dans le domaine des postes et de veiller à la régulation de l’activité des organismes et sociétés privées exerçant dans ce domaine ; ensuite la Direction de la Réglementation des Postes et Télécommunications œuvrant au niveau de la réglementation ; l’Agence de Régulation des Postes et Communications Électroniques, œuvrant au niveau de la régulation ; enfin, les opérateurs œuvrant dans le domaine postal.
Par ailleurs, un autre texte, le décret numéro 2015-245 du 4 février 2015 fixe, pour sa part, et de façon explicite, les conditions administratives et techniques d’installation et d’exploitation des réseaux et services postaux.
Tout en rappelant à l’auditoire l’idée selon laquelle les activités doivent s’exercer sous le contrôle du Ministère des Postes et télécommunications à travers son organe technique l’Agence de Régulation des Postes et Communications Electroniques, Léon Juste Ibombo a invité les opérateurs privés à s’impliquer dans le respect des lois et règlements du Congo qui encadrent le domaine postal.
Pour lui, la législation donne lieu aux conditions favorables à la dynamique du marché des postes. L’innovation, notamment par l’introduction des TIC dans les services postaux, les efforts consentis dans l’offre de produits et services à la clientèle, démontrent à quel point la marge de progression est importante et le secteur fructueux.
Conformément aux orientations du président de la République sur ce secteur et aux enjeux du millénaire, ayant pour corollaire la modernisation des postes, Léon Juste Ibombo met le cap sur la redynamisation de ce secteur. Il a fait savoir que : « certaines sociétés opérant dans le secteur ne se conforment pas aux lois et règlements en vigueur, ni ne respectent le cahier des charges à l’égard duquel ils se sont engagés en intégrant le domaine. »
En effet, les réseaux et services postaux, au Congo, comprennent trois catégories : primo les réseaux et services postaux à vocation nationale et internationale ; secundo, les réseaux et services postaux à vocation nationale et tertio, les réseaux et services postaux à vocation internationale.
Toutefois, l’installation et l’exploitation des réseaux et services postaux, de l’une ou l’autre catégorie, font l’objet de la délivrance, selon le cas, d’une concession, par décret en Conseil des ministres et d’une autorisation, par acte de l’agence de régulation.
Et l’article 13, du décret de février 2015, souligne que tout opérateur de réseaux et services postaux est assujetti au paiement des droits, taxes, redevances et contributions prévus par les textes en vigueur.
C’est dans cet esprit qu’il a été demandé aux opérateurs dudit secteur de faire parvenir à l’institution en charge de ces questions, sous trentaine, la situation réelle et exhaustive de chacune des entités conformément au décret sus cité.