Audience avec le Président du Conseil d’Administration d’Helios Towers

Le patron d’Helios Towers Congo chez le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique.
Jeffrey Schimacher Président du Conseil d’Administration de cette structure a échangé avec Léon Juste IBOMBO sur les opportunités de faire l’extension de leur champ d’actions dans des Zones encore non explorées au Congo dans le cadre de la couverture en Télécommunication.
Helios Tower est une société dont le siège social est basé à Londres, elle est implantée au Congo depuis 2 ans, elle est spécialisée dans le domaine de la construction, la fabrication et la fourniture des pylônes de Télécommunications.
Brazzaville, le 07 Décembre 2017

Communication du Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique à l’endroit des Travailleurs de Congo Telecom

Il n’est nullement question au stade où nous vous parlons de la création d’une société autre que Congo Telecom.

Il est question de restructurer la société afin d’être compétitive. Cette réforme vous pouvez nous croire, est une option heureuse et génératrice de nouveaux emplois.

Nous tenons une fois de plus à vous rassurer que le gouvernement est très sensible à l’aspect social, et Son Excellence Monsieur le Premier Ministre nous l’a encore signifié, aussi vous pouvez être serein sur l’aboutissement de cette réforme, qui est une exigence, justement si nous voulons exister en tant qu’opérateur historique.

Tels sont les propos du Ministre Léon Juste IBOMBO en charge des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique face aux cadres et agents de Congo Telecom, ce jeudi 30 Novembre 2017.

Point de Presse Projet CAB sur l’Interconnexion entre le Congo et le Gabon

Point de presse du Projet CAB (Central African Backbone) sur son importance et son rôle dans l’intégration régionale, à travers l’interconnexion des Etats.La première phase du Projet concernant l’interconnexion du Congo au Gabon est achevée et son inauguration imminente .

Brazzaville le 30 Novembre 2017

Audience avec la société Sud-africaine Bvuyiselo Group que dirige Dick BVUMA conduite par l’Ambassadeur de l’Afrique du Sud au Congo Richard BALOYI

Economie numérique : Une société Sud-africaine s’engage à développer les « smart village » au Congo

Bvuyiselo group, une société Sud-africaine, spécialisée dans les technologies de l’information et de la communication est venue, ce mercredi 29 novembre 2017, présenter au Ministre congolais des Postes, des télécommunication et de l’économie numérique, Léon Juste IBOMBO, son intention de s’implanter au Congo, en développant les « smart village », villages intelligents en français.

Au cours d’une séance de travail, le Directeur-Manager de cette société a présenté au ministre en charge du secteur des télécommunications et de l’économie numérique l’ambition de sa société de s’implanter en République du Congo. L’idée de s’installer au Congo née de la participation de cette société à un atelier sur le numérique organisé cette année, à Brazzaville par le gouvernement congolais, au cours duquel avait été présenté l’ambition du Congo de mettre sur pieds les villages intelligents, a pris corps. « La séance de travail de ce jour est de venir exprimer notre intérêt à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement pour traduire dans les faits l’idée des villages intelligents présentée au cours de cet atelier. » A fait savoir Dick BVUMA, le Directeur Manager de cette société.

La délégation de cette société Sud-africaine, accompagnée par l’ambassadeur d’Afrique du Sud au Congo, Richard BALOYI, a exposé au ministre congolais son ambition de faire chemin avec le Congo au développement des villages intelligents. En effet, les villages intelligents ont ceci de particulier, de permettre à tous les habitants de se connecter grâce aux nouvelles TIC et d’avoir accès tant aux services administratifs qu’à la e-santé. Une perspective qui pourrait être pour le Congo une source d’inspiration pour lutter contre l’exode rural et de rentabiliser la fibre optique déployée dans tout le pays.
Si un village, ce sont des habitants, des écoles, des centres de santé, des marchés, des petits commerces, des services administratifs… les villages intelligents ont le mérite de rendre dynamiques toutes ces activités citées ci-dessus, à travers les TIC.

A l’évidence, les villages intelligents, une fois implémentés en République du Congo, rendront les administrations locales entièrement digitalisées. Ces villages intelligents seront, donc, des espaces où tous les citoyens auront un téléphone intelligent et se serviront des TIC, recevront services et renseignements sur leur téléphone, utiliseront leurs téléphones pour payer les produits sur le marché local, recevront leur pension ou se faire payer par leur téléphones, via internet.

C’est bien cette technologie des villages intelligents que cette société voudrait installer au Congo. Et l’échange avec le ministre congolais en charge de ce secteur a porté sur les atouts et les bénéfices que le Congo tirera de cette approche. Une approche technologique qui sera une réponse à la question de la migration urbaine en faisant que les services viennent aux populations et non l’inverse. Fondamentalement, cela devrait réduire la pression sur les villes en faisant que centres ruraux autant qu’urbains fonctionnent et améliorent, l’un comme l’autre, la qualité de vie.

De son côté, le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, s’appuyant sur la vision du gouvernement d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique, a rassuré ses hôtes sur toutes les possibilités et facilités que la partie congolaise mettra à leur disposition pour faire aboutir l’idée de l’installation de leur société au Congo.

En somme, un pas pourrait être franchi du fait de l’implantation de cette société Sud-africaine, partenaire de la société CISCO. Il y aura, donc, transfert des technologies, renforcement des capacités dans le domaine des TIC, rentabilisation des infrastructures, telles que la fibre optique, construites par les pouvoirs publics.

Le secteur de l’économie numérique pourra, ainsi, jouer sa partition au processus de diversification de l’économie congolaise.

Coopération économique Congo/RSA

Dans le cadre de la promotion de la diplomatie économique, une société sud d’Africaine œuvrant dans le domaine de la technologique de l’information et de la communication est annoncée pour une visite de prospection ici au Congo, courant la semaine prochaine.
L’information venait d’être donnée ce mercredi 22 novembre 2017 par Son Excellence Monsieur Richard BALOYI Ambassadeur de l’Afrique du Sud au Congo.
C’était au cours d’une audience que lui a accordé le Ministre Congolais des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique Léon Juste IBOMBO

Réunion d’évaluation sur la qualité de service des opérateurs de téléphonie mobile

Congo/Télécommunications : Levée de l’épée de Damoclès sur les opérateurs de téléphonie mobile par le gouvernement

Les améliorations ont été constatées dans la qualité du réseau et des services proposées aux abonnés, par les opérateurs de téléphonie mobile, à l’exception de la société Azur-Congo, c’est bien le point fait l’Agence de Régulation des Postes et des Communication électronique (ARPCE) au Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, ce vendredi 17 novembre 2017, au cours d’une séance de travail avec les sociétés de téléphonie mobile.

Yves CASTANOU, Directeur général de l’ARPCE, a présenté au ministre Léon Juste IBOMBO le travail réalisé par son administration dans le contrôle et l’inspection des installations des sociétés de téléphonie mobile évoluant en République du Congo. En sa qualité de régulateur, l’ARPCE, a constaté que les opérateurs ont mené des actions en vue d’améliorer leurs performances en termes de qualité de service.

« Un travail de fond a été fait et des améliorations peuvent s’observer dans la qualité des réseaux et services. » Pouvait soutenir le directeur général de l’ARPCE après avoir fait l’historique de la dégradation des réseaux et services proposés aux clients par les opérateurs de téléphonie mobile. Des désagréments criards, remontant autour des années 2014-2015, dont les utilisateurs de téléphone portable étaient victimes. Une situation qui a poussé le régulateur de faire injonction à ces fournisseurs des services à se conformer aux exigences de qualité et au respect des obligations souscrites.

Et, le 11 septembre 2017, le gouvernement par la voix du ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique s’adressait aux sociétés de téléphonie mobile exerçant sur le territoire congolais concernant le respect des cahiers de charges, ainsi que la qualité des services offerts qui n’étaient pas toujours à la hauteur des attentes des consommateurs. Un délai de deux mois était accordé aux opérateurs de téléphonie mobile, afin d’apporter une amélioration dans la fourniture des services aux consommateurs.

A l’issue de cette interpellation, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, soulignait que la qualité des services est une exigence non négociable et que les consommateurs doivent disposer d’un service normal et adéquat, tant sur la voix que la DATA, qui n’est rien d’autre la contrepartie d’un service acheté, tel l’achat de recharges entre autres.

Le régulateur a, par ailleurs, ajouté que certaines imperfections pouvaient se constater au niveau des services proposés, mais cela n’occulte pas le fait de reconnaitre les efforts fournis par les sociétés incriminées pour améliorer l’offre. Aussi, Yves CASTANOU a-t-il invité les usagers du téléphone d’avoir recours, en tout temps, au service 50-50, existant au sein de l’ARPCE, pour faire savoir tous les désagréments dont ils sont victimes dans l’utilisation du téléphone portable.

Prenant acte du point fait par l’organe technique du gouvernement en la matière, Léon Juste IBOMBO, ministre de tutelle, a salué les progrès accomplis dans l’amélioration de la qualité des réseaux et service, tout en demandant au régulateur de poursuivre et de manière pérenne la veille. Fort de cela le ministre a pris la décision de suspendre la mesure, en forme d’épée de Damoclès qui pesait sur la tête de ces sociétés de téléphonie mobile. Il n’a pas manqué de rappeler que la qualité des services était une exigence non négociable. Le tout devrait concourir à la satisfaction des utilisateurs du téléphone portable.

La circonstance a été mise à contribution pour l’ARPCE d’éclairer l’opinion sur l’avenir du secteur postal au Congo fait à la concurrence des technologies de l’information et de la communication. Sur ce point le régulateur a dit que la poste congolaise se portait bien. Le travail de régulation fait jusque-là ramène le nombre des opérateurs évoluant dans ce secteur à 14 contre une cinquantaine, bien avant avec un chiffre d’affaire de deux milliards de Francs/CFA ; une valeur ajoutée à la création de la richesse et des emplois.

Tout compte fait, l’administration des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, s’emploie à réunir les conditions pouvant lui permettre de jouer sa partition au processus de diversification de l’économie congolaise.

Audience avec Matthew CASSETA Premier Conseil, Chef de mission Adjoint de l’Ambassadeur des USA

Audience accordée, ce vendredi 10 Novembre 2017 à Matthew CASSETTA, Premier Conseiller, Chef de Mission Adjoint de l’Ambassadeur des USA au Congo par Léon Juste IBOMBO, Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique. Au menu des échanges entre les deux personnalités, l’implémentation du e-commerce dans le secteur des postes au Congo.

Coopération : Le Congo et les Etats Unis engagés à œuvrer pour le développement de l’économie numérique

L’implémentation du e-commerce dans le secteur postal et le développement du numérique au Congo, deux points essentiels qui ont occupé, ce vendredi 10 novembre 2017, à Brazzaville, les échanges entre Léon Juste IBOMBO, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique et Matthew CASSETTA, 1er conseiller, chef de mission adjoint, représentant l’ambassadeur des USA au Congo.

Au cours de cette audience accordée à l’émissaire américain il a été question de statuer sur l’intervention des USA pour poster le secteur postal congolais, l’adapter à l’ère du temps, marqué par l’implosion du numérique. « Avec le ministre nous avons parlé non seulement des postes mais aussi de l’entrepreneuriat. », A dit l’hôte du ministre IBOMBO a sa sortie d’audience, sans manquer de préciser « qu’avec le ministre il était question de voir comment le Congo peut-il profiter du e-commerce, du numérique et comment participer au commerce mondial ? »

En effet, le e-commerce ou commerce électronique consiste à échanger des biens et services entre deux personnes sur les réseaux informatiques, c’est-à-dire grâce à Internet. Bien plus, le e-commerce est l’utilisation d’un média électronique pour la réalisation de transactions commerciales. En d’autres termes, c’est tout ce que fait le commerce traditionnel, dont, naturellement, le paiement qui clôt l’achat, mais en plus rapide et beaucoup plus facilement.

De ce point, les deux personnalités ont planché sur les opportunités à explorer, afin de placer le secteur postal au cœur des stratégies nationales visant le développement du commerce numérique. Dans cette perspective, le ministre Léon Juste IBOMBO a renchéri : « Nous avons parlé du e-commerce et comment l’intégrer au niveau de la plate-forme, déjà existante, à savoir le secteur postal. » Le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a ajouté qu’ « à travers cette structure de la société des postes et de l’épargne du Congo (SOPECO) on peut favoriser le e-commerce. C’est ce qu’est attendu et envisagé dans le cadre de la participation du secteur des postes au processus de diversification de l’économie Congolaise. »

Il est question, alors pour le Congo de profiter de l’expertise des USA dans ce domaine.

Ainsi, Cette coopération entre le Congo et les USA devrait déboucher sur la connexion des bureaux de poste à Internet et la facilitation de l’accès des entreprises postales aux solutions numériques à travers le développement du système électronique.

Puisqu’avec la révolution numérique, le monde a évolué. Non seulement les gens sont de plus en plus connectés, mais également les industries se tournent davantage vers des collaborations entre elles et l’utilisation de systèmes « intelligents.

Actuellement, le e-commerce est en plein essor, à travers le monde. Et avec les nouvelles technologies, qui permettent d’être facilement connectées à Internet, les opportunités d’actes d’achats en ligne sont de plus en plus aisées. Le e-commerce est donc un sujet actuel, dont l’importance ne cesse de croître dans les années à venir, en ce 21ème siècle. En somme, le Congo dispose, là, une opportunité à mettre à profit pour développer l’économie numérique.

10 Congolais bénéficient du programme Seeds For The Future en Chine

Dix jeunes congolais adulés en TIC ont quitté Brazzaville, ce samedi 21 octobre 2017, par l’aéroport international Maya Maya, après avoir reçu les félicitations et les encouragements de Léon Juste IBOMBO, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

Deux semaines durant, ces jeunes adolescents bénéficieront d’un stage Seeds For The Future (la semence du futur), un programme de développement des jeunes talents, financé par Huawei.

Grace Patience IBOBI, Régis MAFOUENI, Reblin MPIKA, Mpoutou BABINGUI, Danielle OUANOUNGA, Vanessa OKO, Estime SANDZA, Blessy SOW, Delicia OPOUNGUI, Rholde BOSSEBA, sont ces dix jeunes congolais sélectionnés sur la base de leurs compétences en TIC et aptitudes à parler la langue anglaise, sur la soixantaine ayant souscrit à l’appel à candidature lancé dans les médias et auprès des établissements dispensant les enseignements des filières TIC, télécommunications et informatiques.

Avant leur embarquement à bord de l’avion chacun d’eux a reçu les salutations et les mots d’encouragements du ministre Léon Juste IBOMBO. « Saisissez donc, chers jeunes, l’occasion qui vous est offerte pour parfaire vos compétences dans ce que nous qualifions « métiers de l’avenir ». Le gouvernement croit en vous et en vos capacités d’adaptation et de renouvellement. Soyez donc innovants. » Tels sont les mots qui pouvaient sortir de la bouche du Ministre IBOMBO en pareilles circonstances.

La veille de leur mise en route pour la Chine, une cérémonie, en leur honneur a été organisée, au cours de laquelle les différentes parties intervenant dans la mise en musique de ce programme de formation professionnelle au Congo ont donné de la voix. La société Huawei et l’ambassadeur de Chine au Congo ont présenté le contenu de ce programme. Et le gouvernement congolais a, à son tour, dévoilé les critères qui ont milité en faveur de la sélection de ces étudiants. « …nous avons près de soixante candidature, chacune évaluée au peigne fin, notamment sur les aptitudes que la propension à travailler en équipe et le gout de l’innovation », a soutenu le ministre Léon Juste IBOMBO, avant d’ajouter : « c’est donc à l’issue d’entretiens individuels devant un jury constitué d’experts mixtes que nous sommes parvenus à extraire les dix candidats présentant les meilleurs profils. »

Le secteur des TIC, actuellement, est l’un des plus gros pourvoyeurs d’emplois au Congo, ainsi que d’être l’un des piliers du développement économique du pays, Huawei veut contribuer au développement des capacités informatiques. Dans ce sens, le programme Seeds For The Future entend soutenir le développement des talents informatiques des étudiants Congolais. C’est ainsi que le représentant de Huawei et le diplomate chinois en poste à Brazzaville, ont-ils soutenu qu’à travers cet investissement dans la formation des cadres de demain, la Chine, par le biais de Huawei, « s’engage à apporter sa contribution dans le développement du secteur des TIC en République du Congo en formant des jeunes talents de ce secteur pour construire un pays mieux connectée. »

Ce programme a été déjà implémenté dans 98 pays de la planète. à ce jour, Huawei a collaboré avec 280 universités et le programme a profité à 20 000 étudiants. Pendant deux semaines, les 10 étudiants mauriciens ont été immergés dans un programme comprenant des cours de mandarin dans une université à Pékin, ainsi que des interactions dans les quartiers généraux de Huawei, à Shenzhen. Cette immersion en Chine est une expérience qui embellira, sans aucun doute, le CV de ses jeunes, comme en témoignent certains.

Blessy SOW, au nom de ses collègues, avant d’embarquer, tout en mesurant la responsabilité qu’est la leur, pris l’engagement de faire honneur à la patrie, en ramenant au pays, au terme de cette formation de deux semaines « un certificat aptitude et de renforcement des capacités professionnelles indispensables à la Nation. » Ce stage de formation va « nous ouvrir plusieurs portes dans notre carrière. » Pouvait-il déduire.

Le programme Seeds For The Future (graines ou semences du futur) s’inscrit dans le cadre du programme CSR de Huawei. Les défis économiques actuels, ainsi que la rapidité avec laquelle la technologie de l’information évolue, exigent de bonnes connaissances de base en informatique. Aussi, ce programme, à travers ces connaissances informatiques favorise-t-il une hausse de la productivité, de l’emploi, ainsi que du développement des produits et services.

Il sied de signaler que le programme Seeds For Future a été lancé pour la première fois en Thaïlande en 2008. A ce jour, plus de dix milles jeunes de près de trente-six pays ont pleinement partagé des moments d’apprentissage et d’échange.

Cérémonie de Présentation des dix candidats sélectionnés au programme de formation SEEDS FOR FUTURE

Cérémonie de Présentation des dix candidats sélectionnés au programme de formation SEEDS FOR FUTURE en partenariat avec HUAWAI.
le Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, a saisi l’opportunité offerte par la société HUAWAI afin d’expérimenter le programme SEEDS FOR THE FUTURE, que nous pouvons traduire en anglais par “SEMENCES DU FUTUR” destiné à renforcer les compétences pratiques d’étudiants issus de l’univers des TIC, Télécommunications électroniques et Informatique.
C’est donc à l’issue d’entretiens individuels devant un jury constitué d’experts techniques mixtes que nous sommes parvenus à extraire les dix candidats présentant les meilleurs profils.
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