PROJET D’ACCELERATION DE LA TRANSFORMATION NUMERIQUE (PATN) IS A Prêt N° : BIRD 9398-CG NIFESTATION D’INTERÊTS AAOI N°05/MPTEN/PATN-UCP/AOI/F/2024 Avis d’Appel d’Offres – Sans préqualification POUR LA FOURNITURE ET LA MAINTENANCE DES SALLES MULTIMEDIAS ET DE LEUR CONNECTIVITE INTERNET DANS LES ZONES RURALES.

PROJET D’ACCELERATION DE LA TRANSFORMATION NUMERIQUE (PATN)

IS A Prêt N° : BIRD 9398-CG

NIFESTATION D’INTERÊTS

AAOI N°05/MPTEN/PATN-UCP/AOI/F/2024

Avis d’Appel d’Offres – Sans préqualification

POUR LA FOURNITURE ET LA MAINTENANCE DES SALLES MULTIMEDIAS ET DE LEUR CONNECTIVITE INTERNET DANS LES ZONES RURALES.

👉 Avis d’Appel d’Offres – Sans préqualification[1]

Congo/Postes : Vers la mise en œuvre de la réforme de la Sopeco

Le modèle économique de la Société des postes et de l’épargne du Congo (Sopeco), va bientôt changer de statut en celui de la société anonyme avec un conseil d’administration, a fait savoir, le 21 mai à Brazzaville, le ministre en charge des postes, M. Léon Juste Ibombo.

Il a donné cette information lors d’une communication adressée aux représentants des deux syndicats, des directeurs centraux et de la direction générale de la Sopeco, sur la crise sociale de cette structure.

Au cours de cette communication, le ministre en charge des postes a signifié que pour restaurer cette structure, la tutelle a pris des mesures afin de ressusciter cet opérateur postal. Il s’agit, entre autres,  du changement des statuts en passant du statut d’établissement public à caractère industriel et commercial, au statut fixé conformément à l’ordonnance n°10-2001 du 1er juillet 2001, à celui de société anonyme avec un conseil d’administration.

Aussi, M. Ibombo a indiqué qu’il est question pour la tutelle d’atteindre les objectifs de modernisation du management, des missions et des différentes prestations financières à proposer aux clients ainsi que s’arrimer au standard d’un monde numérisé de plus en plus où les Technologies de l’information et de la communication (Tic) constituent le principal levier de croissance et de conquête commerciale.

Il a, à cette même occasion, souligné que dans le cadre du Projet d’accélération de la transformation numérique (Patn), dont le Plan de travail du budget annuel (Ptba) 2024 va être adopté le 28 mai prochain,  la Poste Congolaise va bénéficier d’un appui conséquent pour la modernisation de ses infrastructures.

Au sujet de payement des salaires des travailleurs, le ministre en charge des postes a recommandé à la direction générale de ne ménager aucun effort, mais conformément à la réglementation en vigueur, stipulant que le salaire est la contrepartie du travail.

Abordons le volet de la dette sociale de l’entreprise, M. Ibombo a expliqué qu’étant colossale, l’État n’ayant plus de moyens pour éponger ce passif social, la participation de l’opérateur au capital de la Banque postale du Congo devra être ouverte à des nationaux déjà identifiés pour prendre 10% des 20% dévolues à la Sopeco dans le cadre du capital de la Bpc. A cet effet, une fiche a été adressée à la hiérarchie, suite à la session extraordinaire du comité de direction de la Sopeco du 22 décembre 2023, confère la recommandation n°002/2023-CD du 22 décembre 2023.

Au terme de cette communication, le ministre en charge des postes a précisé que cette réforme sera couronné par la nomination du Président du conseil d’administration et du directeur général de la Poste Société Anonyme.

Congo/Economie Numérique : Lancement des travaux de connectivité haut débit dans les deux universités publiques

Le Premier ministre, Chef du gouvernement, M. Anatole Collinet Makosso, a procédé, le 17 avril à Kintélé, dans le département du Pool, à la pose de la première pierre marquant le lancement des travaux de connectivité Internet à haut débit dans les universités publiques Marien Ngouabi (Umng) et Denis Sassou-N’Guesso (Udsn).

A cette occasion, M. Makosso a souligné que la connectivité Internet à haut débit de ces universités obéit à l’orientation du Président de la République, M. Denis Sassou-N’Guesso, consacrant cette année à la jeunesse. Il a révélé que la numérisation du système éducatif facilitera la recherche et la formation des étudiants.

Cette initiative s’inscrit dans la deuxième composante du Projet d’accélération de la transformation numérique (Patn), soutenu par la Banque mondiale à hauteur de 100 millions de dollars sur une durée de cinq ans.

Présentant ce projet, le coordonnateur du Patn, M. Francis Seck Mangouani, a indiqué que la connectivité internet haut débit pour les deux universités dont les travaux dureront 3 mois, a été confiée à l’opérateur Silicon Connect pour un montant de plus de 4 milliards de Fcfa.

L’installation des points Wi-Fi à l’Udsn, quant à elle, a été attribuée à la société Bureau top pour un montant de près de 2,5 milliards de Fcfa, et une durée de travaux de 6 mois. Celle de l’Umng dont les travaux dureront 6 mois, sera réalisée par le groupement TMI-Sotracom pour plus de 4 milliards de Fcfa.

Selon le coordonnateur du Patn, cet investissement permettra de connecter gratuitement 11 établissements, le complexe de la présidence, la bibliothèque, les amphithéâtres de l’Umng ainsi que l’ensemble des bâtiments de l’Udsn, incluant le complexe des bâtiments du campus universitaire.

Cette connectivité sera bénéfique à près de 51 500 étudiants et 3000 enseignants des deux complexes universitaires.

De son côté, le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, M. Léon Juste Ibombo, a souligné que les outils que le gouvernement met à disposition des étudiants visent à les préparer à devenir les leaders de demain.

« En choisissant les universités pour lancer cet ambitieux projet, le gouvernement engage cette catégorie de jeunes à la responsabilité et à la conscience nationale face à leur avenir. L’université a un rôle essentiel à jouer dans la production, la conservation et la transmission du savoir, mais aussi dans l’éducation et l’illumination des populations », a-t-il fait savoir.

Saluant l’implication du ministre en charge de l’économie numérique et de la Banque mondiale, la ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, Mme Delphine Edith Emmanuel, a indiqué que cet acte marque le début d’une phase pratique visant à améliorer les connaissances et les performances des universités.

Pour le chargé des opérations de la Banque mondiale, M. Said Ali Said Antoissi, la mise en œuvre de cette initiative constitue une avancée significative qui va renforcer les capacités numériques du Congo, ouvrant ainsi de nouvelles opportunités pour la jeunesse et l’éducation dans le contexte de la révolution numérique mondiale.

Le projet Patn s’inscrit dans la stratégie nationale de transformation numérique « Congo Digital 2025 », lancée en août 2019, visant à garantir un accès équitable aux services numériques pour tous les citoyens d’ici 2025.

Il a, entre autres, objectifs, celui d’accroître l’accès des populations mal desservies à l’internet haut débit et d’améliorer la capacité du gouvernement à fournir des services publics adaptés au numérique.

INCLUSION NUMÉRIQUE : LA CONNECTIVITÉ CESSE D’ÊTRE UN LUXE À KEBARA ET LOUDIMA

et des Plateaux disposent, depuis le 15 avril 2024, une salle multimédia chacune. Celle de Loudima implanté dans l’ l’Institut de formation technique et professionnelle (IFTPL) résout la connexion à l’internet qui faisait défaut de cette école commune au Congo et à la Namibie.

A Kebara, ce temple de l’ouverture au monde et à l’innovation est installé dans le collège d’enseignement général.

Fruit de la mise en œuvre du plan 2023-2024, du Fonds pour l’accès au service universel des communications électroniques (FASUCE), ces temples des télécommunications et de l’innovation ouvrent des perspectives prometteuses aux écoliers et marquent un pas dans la quête de l’inclusion numérique dans laquelle s’est lancée le Congo.
Les plaques inaugurales de ces salles multimédias ont été dévoilées à l’assistance venue en masse notamment les élèves, par le ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique Léon Juste Ibombo ; le directeur général de l’Agence de régulation des postes et des communications électroniques (ARPCE) cheville ouvrière du FASUCE, Louis Marc Sakala, les autorités politico administratives de Loudima et de Lékana.

UNE ÈRE NOUVELLE
Ces salles multimédias disposent, chacune, d’un parc informatique de pointe comprenant des ordinateurs connectés à internet haut débit, capables d’accueillir des dizaines d’utilisateurs simultanément. « Ce qui ouvre les nouvelles perspectives pour les communautés de Kebara et de Loudima, particulièrement, les élèves et étudiants, en cette année de la jeunesse.

La connectivité numérique n’est plus un luxe, mais un droit fondamental, elle offre des opportunités économiques et sociales sans précédent ; renforçant ainsi l’inclusion et le développement de nos localités aussi soient-elles éloignées ; l’accès aux savoirs, à l’information et aux nouvelles opportunités pour les habitants et les élèves des localités et des environs.

L’intégration des technologies de l’information et de la communication dans les programmes éducatifs est essentielle pour préparer les jeunes au défi et opportunités du monde numérique.

Le numérique en milieu scolaire est outil et une clé qui ouvre les portes de la connaissance et de l’innovation, transformant l’éducation en une expérience proactive et enrichissante ; concourt aux choix plus avisés dans les métiers de demain », signale Louis Marc Sakala.

FIXER L’AVENIR
Dans un cas comme dans l’autre, l’acte posé permet de mieux scruter les nouveaux horizons et de fixer l’avenir. « C’est une œuvre capitale dans la vie des apprenants. Elle participe à l’amélioration des conditions d’études et d’encadrement de notre jeunesse, un pilier du développement. Aux bénéficiaires d’en saisir la portée », a dit Egide Abou, le sous-préfet de Lékana pour qui s’approprie le dicton selon lequel, « qui n’apprend rien, rien ne saura ».

Message intériorisé par Dieu Avec Moi Ngouloubi, candidat au BEPC qui trouve, à travers cette salle multimédia de Kébara, un créneau complémentaire non seulement dans l’acquisition des savoirs et connaissance dans la perspective des épreuves, mais aussi dans son ouverture au monde.

Autant pour Florida Mbamié, élève en cinquième. Pour elle, la salle multimédia est avant tout un espace d’amélioration et d’enrichissement des connaissances, un lieu de divertissement à travers les jeux en ligne, u outil de création de nouveaux amis à travers le monde.

PRENDRE SOINS
C’est l’appel lancé par le ministre Léon Juste Ibombo, avant la visite guidée et les échanges avec les premiers élèves et autres étudiants, assis devant les postes, qui s’émerveillaient déjà devant la nouveauté. « Après Loudima, où nous venons de procéder à l’inauguration de la salle multimédia de l’institut de formation technique et professionnelle…

nous voici…à Kebara pour remplir le même engagement à nous prescrit par » le président de la République, d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique et d’en assurer l’inclusion, dit le ministre.
Les élèves de Kebara, leurs collègues de Loudima « peuvent donc se réjouir d’être aujourd’hui connectés au reste du territoire national et du monde », note le ministre qui émet le souhait de voir, « toutes les populations ainsi que les sages et les mânes de Kebara… Prendre soin de cette salle multimédia ».

Loudima (La Swapo) et Kebara allongent ainsi la liste des localités bénéficiaires des faveurs du FASUCE dans la mise en place des salles multimédias dont Ngonaka, Kounzoulou centre, Edzounga, Oyo, Ngania-Tsongo, Kouznoulou village, Ekouassendé, Alla, Mossendé, Tchikapika…

Congo-Digitalisation : signature d’un accord pour réinventer la poste et réduire la fracture numérique.

Léon Juste Ibombo, ministre des postes, des télécommunications et de l’économie a patronné, ce samedi 13 avril 2024, la cérémonie de signature d’un protocole d’accord, dans le but de permettre à l’administration postale de s’arrimer aux enjeux du millénaire et d’aller vers un pays connecté.

Dans le but d’impulser la digitalisation du Congo, la société des postes et de l’épargne du Congo (SOPECO), PAY REM Group, la poste gabonaise et SILICONE CONNECT, ont procédé, ce samedi 13 avril 2024, à Brazzaville, à la signature d’un protocole d’accord, en présence du ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo. L’objectif de ce cadre de collaboration est d’étendre la couverture réseau internet dans les zones rurales, promouvoir l’adoption des services numériques auprès des populations. A l’évidence cet accord offre à la poste congolaise l’opportunité de se réinventer et de s’arrimer aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.


Gaëtan Soltesz, directeur général de SILICONE CONNECT, partenaire technique qui s’emploie dans le déploiement de la couverture réseau, a soutenu que sa structure, c’est-à-dire SILICONE CONNECT s’emploiera à accompagner la poste congolaise pour qu’elle se numérise, en déployant la fibre optique dans les bureaux des postes à travers tout le pays.
Ce document qui constitue un cadre de travail pour développer l’économie numérique vient compléter le mémorandum d’entente, conclu il y a deux mois, entre l’Agence de développement de l’économie numérique (ADEN), la société des postes et de l’épargne du Congo (SOPECO) et PAY REM Group, avec pour objectif principal de réduire la fracture numérique, de redynamiser et réinventer la poste, ainsi que de promouvoir la richesse et l’emploi des jeunes.

Congo/Numérique : La Banque mondiale revoit les activités en cours du Patn

Le ministre en charge du Numérique, M. Léon Juste Ibombo, et la représentante résidente de la Banque mondiale au Congo, Mme Louise Pierrette Mvono, ont échangé, le 29 mars à Brazzaville, sur la mise en œuvre des activités en cours du Projet d’accélération pour la transformation numérique (Patn), afin de travailler davantage à l’atteinte des objectifs dudit projet.

Financé par la Banque mondiale à hauteur de 100 millions de dollars Us, ce projet, sur lequel compte le Programme national du développement (Pnd) 2022-2026, vise la réalisation physique de la transformation numérique du pays et la diversification de l’économie.

Il s’agit notamment des services relatifs à la construction de l’incubation nationale pour permettre aux jeunes, surtout aux jeunes filles, d’utiliser les outils informatiques dans le but de briser la fracture numérique genre. A ce sujet, Mme Mvono a dit qu’il est question de réactualiser ou de réorganiser un nombre d’activités pour s’assurer que le projet offre les services dont la communauté a besoin.

«Nous pensons qu’il faut que nous voyions dans quelle mesure les jeunes peuvent avoir accès à Internet à des coûts abordables, de manière à ce qu’ils aient accès à plusieurs services qui sont d’actualité. Cela inclut le travail en ligne et la vente de produits », a-t-elle indiqué, précisant que cet outil du numérique va être au centre de l’économie du pays.

Concernant l’exécution de ce projet, la représentante résidente de la Banque mondiale a fait savoir que celle-ci est très avancée, parce que les deux parties travaillent sur la plateforme, notamment sur l’accès à la connexion Internet à mettre en place.

Evoquant l’augmentation de l’accès à Internet pour les universités et un certain nombre d’administrations, elle a révélé que les résultats seront visibles dans les prochains mois.

Le Patn mettra l’accent sur l’utilisation productive du très haut débit dans la prestation des services publics numériques adaptés, a-t-on souligné.

Congo/Economie numérique : Vers la mise en œuvre du projet CongoPay

Le Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (Gimac) va accompagner la République du Congo dans la mise en œuvre du projet CongoPay, en vue de développer l’économie numérique, a indiqué, le 25 mars à Brazzaville, le directeur général du Gimac, M. Valentin Mbozo’o.

Lors de la réunion de travail entre les cadres du Gimac et du numérique, il a dit que le Gimac accompagne la mise en œuvre de ce projet dans le domaine de l’interopérabilité, permettant à l’architecture de toucher tout le monde en un clin d’œil au Congo.

« Aujourd’hui, toutes les structures du pays sont connectées à GimacPay, notamment les banques, les opérateurs de mobile monnaie, certains fintechs et les microfinances », a-t-il mentionné.

A cette occasion, M. Mbozo’o a signifié que ce développement va faciliter la distribution et la collecte de l’argent de manière traçable auprès des clients. Aussi, il a fait savoir que l’avantage de ce projet consiste en l’inclusion financière des timbres et en la gouvernance des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac).

« En soutenant un projet de terminaison des paiements et des émissions, comme celui de CongoPay, il sera question de faire bénéficier plusieurs personnes de ces paiements digitaux, même les moins nanties et les plus fragilisées, indépendamment de leur pouvoir d’achat, de leur niveau de vie et de leur qualité dans la société », a-t-il expliqué.

Pour sa part, le ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, M. Léon Juste Ibombo, a signifié que dans le cadre de ce projet, le Congo a besoin du Gimac, de Mediasoft Lafayette dont le cadre de collaboration existe avec l’Agence de développement de l’économie numérique (Aden) qui a des compétences du gouvernement pour développer l’économie numérique dans le pays.

Cette mise en œuvre va faire que l’économie numérique ne soit pas seulement une vue de l’esprit. A ce jour, a-t-il ajouté, quelques plateformes ont été mises en place. Ces dernières fonctionnent et rapportent la valeur ajoutée dans les caisses de l’Etat. Il s’agit, entre autres, du Hub digital et du timbre électronique.

La plateforme GimacPay permet la fluidité des transactions électroniques au niveau de la sous-région, a souligné M. Ibombo, lors de cette réunion placée sous sa présidence.

Congo/Numérique : Le Pnud accompagne le gouvernement dans la tenue des assises nationales

La représentante résidente du Programme des nations unies pour le développement (Pnud), Mme Adama Dian Barry, a annoncé, le 13 mars à Brazzaville, l’appui de son institution pour la tenue des assises nationales du numérique, prévue du 18 au 19 avril prochain.

Elle a donné cette information lors de l’audience que lui a accordée le ministre en charge du Numérique, M. Léon Juste Ibombo. A cette occasion, la représentante résidente du Pnud a signifié que cette contribution se fera dans le cadre technique, de l’expertise et du savoir-faire que son organisation a dans le monde, de sorte que ce qui va être produit au Congo soit aligné sur les standards internationaux.

A cette occasion, elle a souligné que le monde est relié par le numérique et « il faut une compatibilité, une inter-connectivité avec ce qui se passe au niveau mondial », a-t- elle dit. Aussi, elle a indiqué qu’il s’agit de voir la manière avec laquelle le Pnud va apporter son accompagnement à l’ensemble des partenaires et à l’Etat qui sont déjà inscrits dans ses agendas.

Mme Barry a fait savoir que le mandat au niveau du Pnud est de lutter contre la pauvreté. A ce sujet, elle a fait remarquer que le secteur du numérique réside dans le premier levier d’accélération de la lutte contre la pauvreté car, c’est avec ce domaine qu’on accélère l’accès aux services sociaux de base et qu’on assure l’efficacité de l’administration et de tout ce qui crée de l’emploi.

Pour sa part, M. Ibombo a dit que les fondamentaux du Pnud cadrent avec ceux du gouvernement, surtout en ce qui concerne le Plan d’action 2022-2026, notamment, le pilier de l’économie numérique.

S’agissant de la contribution du Pnud, le ministre en charge du Numérique a indiqué que le gouvernement attend l’appui technique et le renforcement des capacités en infrastructures.

« Dans le cadre du projet d’accélération de la transformation numérique, la représentante résidente du Pnud a promis mettre à la disposition du gouvernement congolais des experts, pour la bonne tenue des assises nationales ».

Il s’est dit heureux de savoir que sa vision de l’économie numérique qui est le cinquième pilier stratégique du Plan national de développement (Pnd) 2022-2026, a encore l’assentiment des partenaires au développement, entre autres, la Banque mondiale, l’Union européenne (Ue) et la Banque européenne d’investissement.