Télécommunications: Les lauréats du prix de l’innovation s’envolent pour la Chine

Les 8 lauréats du prix de l’innovation 2019 viennent de quitter Brazzaville pour Shenzhen en Chine. Ces jeunes âgés de 19 à 29 ans se sont ainsi ouverts les portes de Huawei technology, le géant mondial du numérique et des TIC, initiateur du projet « Seed for the future ». En compagnie des jeunes autres Etats africains et du monde, ils approfondiront leurs savoirs sur les métiers du numérique et l’innovation technologique. Ils seront parmi les premiers citoyens du monde à se former et à expérimenter la 5G, dont Huawei est la première firme à expérimenter dans le monde. Tout se passe comme prévu par le ministre des postes, Télécommunications et de l’Économie Numérique Léon Juste Ibombo dans son point de presse y relatif le 6 septembre dernier quand il disait : « les 8 meilleurs challenger gagneront le prix seeds for the future 2019 du géant chinois de la technologie Huawei et profiteront d’un renforcement de capacités à Shenzhen.

APPEL A CANDIDATURES: CYCLES INTERNATIONAUX DE L’ENA ET L’IRA OUVERT JUSQU’AU 15 NOVEMBRE 2019

 

 

 

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LA Campagne de recrutement des auditeurs pour  l’Ecole nationale d’Administration (ENA) est ouvert jusqu’au 15 novembre 2019

Haut fonctionnaire, vous souhaitez vous perfectionner, développer de nouveaux savoir-faire directement liés à vos missions, échanger, comparer avec de hauts responsables de l’administration publique du monde entier ?

Chaque année l’ENA sélectionne environ 80 candidats étrangers pour ses cycles internationaux ainsi que ceux des Instituts régionaux d’administration (IRA).
Vous pouvez être l’un deux si vous remplissez les conditions requises.
www.ena.fr/index.php/Europe-International/Programmes-de-formation-internationaux/Les-cycles-longs

Fière de ses 70 ans d’excellence, l’ENA aujourd’hui est l’École de management de la haute fonction publique, française européenne et internationale. Elle attire de jeunes fonctionnaires et des fonctionnaires déjà expérimentés de plus de 100 pays dans le monde

3 cycles de formation de longue durée sont ouverts aux fonctionnaires et agents publics étrangers :

Cycle International Long (CIL) de l’ENA

■ Cette formation diplômante est couplée à trois parcours de masters professionnels en « Communication des institutions publiques », en « Action publique en Europe » et en « Administration publique générale » organisés par l’ENA en partenariat avec de prestigieuses universités française : Paris CELSA ; Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et l’Université de Strasbourg.

Durée : 12 mois + 2 mois optionnels – pour des hauts fonctionnaires juniors.
NB : Le CIL peut être ouvert aux futurs fonctionnaires après dérogation.

Le Cycle International de Perfectionnement (CIP) de l’ENA

■ Cette formation diplômante est couplée à deux parcours de masters professionnels en « Administration publique et affaires internationales » et en « Administrations publique spécialisée » organisés par l’ENA en partenariat avec l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l’Université de Strasbourg.
Durée : 8 mois pour de hauts fonctionnaires confirmés.

Le Cycle International des IRA (CiIRA)

■ Cette formation diplômante (possibilité de valider un diplôme de Master 2) est couplée à trois parcours de masters professionnels en « Communication des institutions publiques », en « Action publique en Europe » et en « Administration publique générale » organisés par l’ENA en partenariat avec de prestigieuses universités françaises : Paris CELSA ; Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et l’Université de Strasbourg.
Durée : 8 mois – pour de jeunes fonctionnaires souhaitant renforcer ou élargir leurs compétences
Les candidats intéressés doivent exercer des responsabilités de niveau supérieur dans l’administration, être parfaitement francophones, maîtriser l’anglais et disposer d’un niveau master 1 ou équivalent.
La procédure de sélection est commune aux cycles de l’ENA et des IRA.

CALENDRIER

■ Inscription en ligne du 16 octobre au 15 novembre 2019.

lien inscription https://candidature-formation.ena.fr/registration/action364/info/

 

■ Sélection des candidats sur dossiers (par l’ENA) du 16 novembre au 30 novembre 2019.
■ Transmission aux ambassades de la liste des candidats à convoquer aux écrits du 1er au 31 décembre 2020.
■ Épreuves écrites organisées du 6 au 13 janvier 2020 par les services des ambassades.
■ Épreuves orales organisées du 16 mars au 10 avril 2020 par les services des ambassades.
■ Comité final de sélection : mai 2020.
■ La rentrée du cycle des IRA et du CIL est programmée le 31 août 2020.
■ La rentrée du CIP est programmée en décembre 2020.
EN SAVOIR PLUS
Site de l’ENA > Rubrique > Formations et admissions > les Cycles internationaux

Depuis plus de 60 ans, l’ENA accueille des élèves étrangers, en provenance de tous les continents.
Près de 3800 élèves étrangers en provenance de 134 pays ont déjà été formés.

Sites des IRA :
IRA de Lyon ( www.ira-lyon.gouv.fr )
IRA de Metz ( www.ira-metz.gouv.fr )
IRA de Bastia  ( www.ira-bastia.gouv.fr )
IRA de Lille ( www.ira-lille.gouv.fr )
IRA de Nantes ( www.ira-nantes.gouv.fr )
Contacts
Contact ENA
Cosimo DI TURI
Gestionnaire du recrutement des élèves étrangers
Département des stages et de la sélection des élèves étrangers.
Tél : +33 (0)3 88 21 44 87

 

Le Congo et la BAD s’assurent de la bonne exécution du projet cab

Le Congo et la BAD assurés de la bonne exécution du projet CAB
L’interconnexion entre la République du Congo, la Centrafrique et le Cameroun avance normalement. Léon Juste Ibombo, Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique et Antoine Marie Sié Tioye, économiste résident de la Banque Africaine de Développement en République du Congo s’en sont assuré ce 4 novembre 2019.
Dans un entretien au siège du ministère, ils ont passé en revue le niveau d’exécution du projet CAB, dans son volet interconnexion fibre optique entre la République du Congo, la République centrafricaine et le Cameroun, de ce projet soutenu par le groupe de la Banque mondiale. « Il fallait en parler encore avec le ministre, pour avancer un certain nombre de choses et s’assurer de la bonne exécution du projet », a déclaré l’hôte de Léon Juste Ibombo. En effet, des appels d’offre en vue de la réalisation des travaux ont été lancés, le projet est donc dans la phase de la réalisation des travaux en direction du Cameroun, de la RCA. « Il y a eu une bonne collaboration entre le Congo et la RCA. Ce qui nous a permis d’avancer de ce côté », a indiqué l’économiste résident de la BAD.
Rappelons que l’économiste pays résident de la BAD apporte son expertise pour l’analyse des politiques de développement et la mise en place des reformes. Il joue aussi un rôle de conseil auprès du gouverneur de la BAD et des autorités du Congo. Il travaille avec un expert en gouvernance et un chargé de programme.

Nouvelles technologies : le Congo veut la traçabilité dans les transactions numériques

Le Groupement interbancaire monétique de l’Afrique centrale (Gimac) et le Financial software & systems (FSS) zone Afrique centrale, spécialisés dans le système de transfert de fonds, sont appelées à fournir au hub digital du pays toutes les données nécessaires dans le cadre de la traçabilité de tout ce qui se fait au niveau des transactions électroniques.

Valentin Mbozo’o et Rishi Pillay, respectivement directeur général de Gimac et manager de FSS, ont donné l’information, le 30 octobre à Brazzaville, au terme d’une audience avec le ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo.
« Il a été question de l’interconnexion du Gimac avec le hub digital du Congo. Il s’occupe de l’opérabilité au niveau de la banque centrale et de toutes les banques ; et dans cette opérabilité, les données du Congo vont être déterminantes dans la comptabilisation de la taxe sur les transactions numériques. C’est sur cette base-là que nous sommes venus discuter avec le ministre Ibombo, sur cette interconnexion », a expliqué à la presse Valentin Mbozo’o.
Le directeur général de Gimac a ajouté que la problématique des Etats dans la crise actuelle des matières premières, c’est d’essayer de ratisser large et de trouver des financements un peu partout. Le financement de base de l’Etat, a-t-il dit, c’est l’impôt et sans le numérique, il est difficile de mettre la main sur les transactions qui peuvent se faire pour que l’Etat tire profit de sa côte part en termes de taxes et tout ce qui en découle. « Donc, c’est une première et, d’ailleurs, j’ai été surpris agréablement de constater, à la réunion qui vient d’avoir lieu à Sotchi, que le Congo est à côté du Rwanda et de l’Afrique du Sud, comme les pays avancés en termes du numérique », a-t-il témoigné.
Concernant ce processus, Rishi Pillay a exprimé, pour sa part, sa satisfaction de travailler avec le gouvernement congolais de concert avec leur partenaire local. « Nous gérons annuellement plus de dix milliards de transactions et ce projet est juste à sa première phase ; nous nous lançons vers la deuxième et nous nous félicitons du partenariat que nous avons avec le Gimac et du travail qui a déjà été abattu jusque-là », a-t-il commenté.
Pour le ministre Léon Juste Ibombo,  des plates-formes doivent être mises en place pour créer de la valeur ajoutée afin de maximiser l’économie nationale et le numérique peut contribuer à cela. « Nous nous réjouissons de ce partenariat et nous sommes en train de travailler pour faire en sorte que l’économie numérique joue son rôle dans notre pays. En gros, on va avoir une meilleure traçabilité dans tout ce qui se fait au niveau de Mobile Money ; au niveau des transactions électroniques. FSS a dit que toute la phase des tests est achevée ; on va maintenant rentrer dans la phase d’exploitation », a indiqué le ministre. Il a poursuivi que dans le cadre de traçabilité de tout ce qui se fait au niveau des transactions électroniques, le gouvernement a signé un accord avec un partenaire privé ; une société indienne et une société congolaise, avec le soutien du Gimac qui est un ensemble, au niveau de la sous-région, qui accompagne les Etats dans le système bancaire
A noter qu’en Afrique centrale, le Congo est le premier pays à mettre en œuvre cette exploitation, suivi à l’échelle du continent de l’Afrique du Sud et du Rwanda.

Congo-Brazza : Une stratégie nationale d’e-santé bientôt adoptée

Léon Juste Ibombo et Jacqueline Lydia Mikolo

Le document-cadre y afférent a  été validé par des experts en santé électronique et partenaires techniques.

La République du Congo a décidé d’utiliser les technologies de l’information et de la communication pour améliorer son système de santé. Une stratégie nationale d’e-santé sera bientôt adoptée à cet effet par le pays. Le 18 octobre 2019, le document-cadre y afférent a d’abord été validé par des experts en santé électronique et partenaires techniques. C’était au cours d’un atelier organisé à Brazzaville.
Au cours de la rencontre, Jacqueline Lydia Mikolo, la ministre de la Santé, de la Population, de la Promotion de la femme et de l’Intégration de la femme au développement, a déclaré que la stratégie nationale « permettra de disposer d’une information sanitaire de qualité pour la prise de décision, en utilisant les technologies numériques adaptées au secteur de la santé ». Elle a indiqué que son approbation « ouvrira la voie à son adoption avant sa mise en œuvre d’ici à 2020 ».

Pour Léon Juste Ibombo, le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, la stratégie nationale d’e-santé, qui est en parfaite adéquation avec la stratégie nationale de développement de l’économie numérique, contribuera grandement à renforcer l’offre de soins et améliorer les services de santé à travers le pays.
« Grâce au numérique, notre système de santé pourra compter de nouvelles synergies entre les professionnels libéraux, hospitaliers et médico-sociaux, mais aussi des outils innovants mis au service de tous : patients et professionnels », s’est-il réjoui.

MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE AVIS A MANIFESTATION D’INTERET N° 007/MPTEN/2019/UCP/CAB

 

AVIS A MANIFESTATION D’INTERET N° 007/MPTEN/2019/UCP/CAB

MODERNISATION DES INFRASTRUCTURES DES ETABLISSEMENTS DE PRISE EN CHARGE DES PERSONNES VULNERABLES

PROJET DE LA DORSALE A FIBRE OPTIQUE D’AFRIQUE CENTRALE(CAB) – COMPOSANTE CONGO

Référence de l’accord de financement : 2000200000001

N° d’Identification du Projet : P- CG- GB0-002                                                        

  1. Le Gouvernement de la République du Congo a reçu un financement du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) afin de couvrir le coût du projet de la Dorsale à fibre optique d’Afrique Centrale (CAB), Composante Congo, et a l’intention d’utiliser une partie des sommes accordées au titre de ce prêtpour financer le contrat d’une firme en charge de l’étude relative à la modernisation des infrastructures des établissements de prise en charge des personnes vulnérables.

Les services prévus au titre de ce contrat consistent à appuyer le ministère des affaires sociales, de l’action humanitaire et de la solidarité dans la réalisation de l’étude de faisabilité relative à la modernisation des infrastructures des établissements de prise en charge des personnes vulnérables. Dans les grandes lignes, le cabinet sélectionné devra mener les activités suivantes :

  • réaliser un diagnostic approfondi sur l’état des infrastructures et des ressources humaine du secteur des affaires sociales ;
  • étudier la faisabilité de modernisation des structures spécialisées ;
  • réaliser les études techniques d’implémentation des structures ;
  • produire un document de programme d’exécution technique et financière ; et
  • élaborer des avant projets sommaires et détaillés.

La présente mission aura une durée d’exécution de trois (3) mois.

  • Le Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique (MPTEN) invite les consultants à présenter leurs candidatures en vue de fournir les services décrits ci-dessus. Les consultants intéressés doivent produire les informations sur leur capacité et expérience démontrant qu’ils sont qualifiés pour les prestations (documentation, référence de prestations similaires, expérience dans des missions comparables, disponibilité de personnel qualifié, etc.). Les consultants peuvent se mettre en association pour augmenter leurs chances de qualification.
  • Les critères d’éligibilité, l’établissement de la liste restreinte et la procédure de sélection seront conformes à la Politique d’acquisition de la Banque africaine de développement en date d’octobre 2015 disponible sur le site web de la Banque à l’adresse : http://www.afdb.org.
  • Les consultants intéressés peuvent obtenir des informations supplémentaires à l’adresse mentionnée ci-dessous aux heures d’ouverture de bureaux suivantes : 09h00-16h00 heure locale (TU+1)
  • Les expressions d’intérêt doivent être déposées à l’adresse mentionnée ci-dessous au plus tard le 31 octobre 2019 à 16h00 heure locale (TU+1) et porter expressément la mention « Avis à Manifestation d’Intérêt pour le recrutement d’une firme en charge de l’étude relative à la modernisation des infrastructures des établissements de prise en charge des personnes vulnérables » ou transmis par mail à l’adresse ci-après :

Unité de Coordination du Projet CAB – République du Congo

À l’attention : M. Yvon Didier MIEHAKANDA, Coordonnateur du projet CAB-Congo

Rue Locko Issac, derrière l’ambassade des Etats Unis

Tel : +242 06 835 00 41

Mail : contact@cabcongo.com; omfnadin@gmail.com

                                                                     

Fait à Brazzaville le 17 octobre 2019

                                                                       

Yvon Didier MIEHAKANDA

                                                                    Coordonnateur du projet CAB-Congo

Economie numérique : Vers la mise en place de la stratégie nationale de cyber-santé

Un comité technique paritaire ministère de la santé, de la population, de la promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement et ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique. Selon la note n°0046, signée de deux ministres de tutelle, ce comité est chargé d’élaborer et de mettre en œuvre pour le compte du gouvernement la stratégie de cyber-santé.

Le dispositif juridique portant sécurité cyberespace et protection des données à caractère personnel mis en place

Et nº30-2019 du 10 octobre 2019 portant création de l’agence national de sécurité des systèmes d’information ont été promulguées Par le Président de la République du Congo, SEM DENIS SASSOU N’GUESSO.