Réouverture du bureau de poste de MOSSAKA

Il est désormais possible d’envoyer et de recevoir de l’argent et des courriers à la poste de MOSSAKA. Cette facilité vient d’être rendue possible grâce à la réouverture du bureau de poste de cette localité resté en hibernation voici 15 ans.

La réouverture de ce bâtiment a suscité un grand enthousiasme au sein des populations de cette localité qui aujourd’hui, ne pourraient plus se tracasser pour effectuer des opérations avec fiabilité, à moindre coût en usant des produits de la poste tels que :

  • Envoi / Réception recommandés
  • Envoi / Réception ordinaires
  • Courrier accéléré EMS
  • Transfert d’argent Money Gram
  • Small Word
  • Chrono-cash
  • Boite Postale (pour les Ménages, Associations, Sociétés, Grandes Sociétés, Administrations…)

Ce bâtiment est doté d’une salle multimédias équipée des ordinateurs et autres écrans pour permettre à la jeunesse de MOSSAKA de s’ouvrir au monde et s’approprier l’outil informatique, dans des conditions optimales avec de l’internet à haut débit.

Ce bâtiment réhabilité en 05 mois des travaux, est fruit du partenariat public-privé  entre la SOPECO-SIKAR Finance. Il contribue non seulement à assurer la modernité, mais aussi la beauté de la ville de MOSSAKA.

Cette offre de services postaux dans cette localité de MOSSAKA va assurer et surtout une inclusion financière au sein de la communauté et faciliter l’administration et les citoyens dans leurs diverses préoccupations. En rappel la réouverture du bureau de poste de MOSSAKA fait suite à celle de MADINGOU

En 2016, NGO et ABALA en 2017 et celle de MOUYONDZI en 2017.

Après donc MOSSAKA, le cap sera mis sur ENYELLE, ETOUMBI et NGOKO. Cette dynamique d’assurer des services de proximité, s’inscrit dans la droite ligne de la politique du Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Conformément à la vision du président dans la république tel qu’il est prescrit dans son programme «  La marche vers le développement … ».

La cérémonie de l’inauguration du bureau de Poste de MOSSAKA a été patronnée par le Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, en présence des autorités sous-préfectorales, et bien d’autres invités de marque «Député de MOSSAKA 1, Président du conseil d’administration de la SOPECO, Directrice Générale de la SOPECO ; PDG de SIKAR FINANCES super agent MONEY GRAM »

La 4G d’Airtel lancée par le Ministre en charge de l’Economie Numérique

Une nouvelle technologie visant à améliorer la qualité des services Internet au Congo.
Avec des vitesses pouvant atteindre 100 Mégabits par seconde, c’est la 4ème génération du système cellulaire «4G» de la société de téléphonie mobile Airtel Congo.
Le lancement officiel de cette technologie a eu lieu le 13 Décembre 2018 à BRAZZAVILLE
Sous le patronage du Ministre en charge de l’Economie Numérique Léon Juste IBOMBO

Forum sur la Gouvernance Internet de l’Afrique Centrale Edition 2018

« Economie Numérique et Blockchain, opportunité de développement et d’innovation en Afrique Centrale », c’est sous ce thème que se sont ouverts le jeudi 13 Décembre à Brazzaville, les travaux de l’édition 2018 du Forum sur la Gouvernance Internet de l’Afrique Centrale.

Initié par l’ARPCE, cette rencontre des Experts de la sous-région a été ouverte par le Ministre congolais des postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique Léon-juste IBOMBO
Ce forum de deux jours a pour objet de faciliter l’échange d’informations et de bonnes pratiques autours des politiques multisectorielles, des normes et approches règlementaires qui garantissent l’accès équitable et abordable ainsi qu’une bonne gestion des ressources critiques et fondamentales de l’internet.
Ce Forum passe en revue les questions liées à l’impact de l’internet dans les politiques et stratégies de développement des États qui ambitionnent leurs émergences.

Fibre optique : Le Congo et la RCA travaillent à l’harmonisation des délais de leur interconnexion

Le ministre Léon Juste Ibombo, des Postes, télécommunications et de l’économie numérique, ce 20 novembre 2018, a ouvert les portes de cabinet de travail à son homologue de la Républicaine centrafricaine (RCA), Justin Gourna Zacko, pour un échange et partage sur les travaux à réaliser, afin de concrétiser l’interconnexion du Congo à la RCA par fibre optique.

La République du Congo, à l’horizon 2020 pourrait s’interconnecter, par fibre optique à la République Centrafricaine. Grace au projet Central africain Backbone (CAB), avec un financement de la Banque Africaine de Développement (BAD), un câble sous-fluvial devrait relier les deux pays, en partant de Pokola à Bomassa en passant par Ouesso et Kabo, sur 136 km. A partir de la frontière avec la RCA, c’est-à-dire  de Bomassa, sera assurée l’interconnexion avec la fibre que poseront autorités centrafricaines sur une distance de 147 km.

Les deux ministres ont examiné les contours qui vont entourer la nature des travaux à entreprendre, les délais et les difficultés. Si du côté congolais les choses semblent assez avancées, après l’ouverture des offres en attendant l’avis de non-objection de la BAD, principal bailleur, Bangui a encore des étapes à franchir : « Au niveau de la République centrafricaine, nous sommes donc sur le projet de lancement d’études, afin de déceler l’entreprise qui va donc exécuter ce projet. » A dit le ministre centracain des postes et télécommunications, avant d’ajouter que : « Nous avons déjà pu mettre en place l’unité de coordination, les études sont en train d’être faites et je pense que dans un très proche avenir, ces études seront faites. »

L’objectif de cette réunion entre les parties, congolaise et centrafricaine est d’avoir une même appréhension et une même idée de la conduite des travaux : « L’objectif principal de mon arrivée ici est que les études ont été déjà faites depuis le Congo jusqu’à Salo en territoire centrafricain. C’est la coordination congolaise qui a mené ces études. » A fait savoir le ministre centrafricain des télécoms, tout en précisant le mobile de son voyage : « Je suis venu voir mon homologue parce qu’étant entendu qu’une partie de ce tronçon se trouve sur le sol centrafricain, comment allons-nous faire pour que cela soit géré convenablement entre les deux pays. »

Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, à la suite de son hôte a renchéri que le travail qui se fait rentre dans le cadre de la matérialisation de la volonté affichée des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEMAC d’interconnecter les pays de la communauté. Pour lui, la séance de travail avec son homologue aura été l’occasion de mettre de passerelle, afin que les travaux s’exécutent aux mêmes rythmes.

Les deux parties, au sortir de cette audience, en forme de séance, se sont données rendez-vous sur le terrain, tout en s’entourant de compréhension et le respect mutuels.

Dans ce processus conduisant au lancement effectif des travaux, la partie congolaise attend la validation finale de la BAD avant de conclure un contrat avec l’opérateur. De côté la partie centrafricaine voudrait accélérer les choses pour tenir les délais, qui sont de sept mois des travaux.

Faisant le point technique dudit projet d’interconnexion des deux pays, Yvon Didier Miéhakanda, Coordonnateur national du projet CAB-Congo, a relevé une difficulté : « Nous avons une difficulté supplémentaire due au fait que les travaux se feront en sous fluvial sur la Sangha. » Cet inconvénient impactera sur lancement des travaux. « Or, la hauteur de l’eau nous empêche de travailler entre janvier et mai. Donc, les travaux de cette interconnexion ne pourront pas commencer avant le mois de juin. Dès que nous lançons les travaux, nous pensons qu’en sept mois, l’interconnexion sera effective, au mois de janvier 2020 », a déclaré Yvon Didier Miehakanda.

En somme, ces travaux une fois finalisés permettront de désenclaver certaines zones géographiques du Congo de la RCA et offriront au Congo un autre point de connexion à la fibre, après celui ayant rendu possible son interconnexion avec le Gabon.

 

Coopération : Du matériel informatique de la Chine au ministère des postes et télécommunications du Congo

C’est le diplomate chinois en poste à Brazzaville, Ma Fulin, ce lundi 12 novembre 2018, qui a transmis au ministre Léon Juste Ibombo, des postes, télécommunications et de l’économique, un don de son pays essentiellement composé du matériel informatique.

Ce don s’inscrit dans le cadre de l’accompagnement du ministère congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique de matérialisation des efforts de construire des centres de formation numérique pour les jeunes dans l’hinterland.  Répondant positivement à la demande du ministre de tutelle, Léon Juste Ibombo, d’équiper le centre de formation numérique pour les jeunes de Mossaka, la Chine, par l’entremise de son ambassade au Congo a répondu promptement en apportant la solution.

Le don que la Chine a mis à la disposition du Congo, pour répondre à cette demande, est composé des ordinateurs portables, des ordinateurs de bureau, des imprimantes, des alimentations sans interruption ou onduleurs, des tableaux blancs de dimensions différentes.

Tout ce matériel composera la future salle informatique pour les jeunes située dans l’enceinte du bureau de poste de Mossaka, déjà reconstruit et qui attend sa mise en service.

Après la signature des parapheurs de réception du don, les deux parties ont trouvé les mots pour circonscrire le geste d’assistance que venait de poser la Chine.

La Fulin, l’ambassadeur de Chine au Congo, au micro de la presse a dit toute sa satisfaction de poser ce jour un acte qui participe au renforcement de la coopération sino congolaise. « La Chine continuera à le faire », a-t-il renchéri, pour «  accompagner le Congo à rattraper le Monde de la vitesse. » C’est aussi ce qui justifie l’engagement de la Chine, par le biais de l’entreprise chinoise Huawei, de construire la 3ème phase de la couverture nationale en télécommunications, pouvait-il soutenir. Cette phase consistera en l’interconnexion des ménages à la fibre optique, à moindre couts.

Le bénéficiaire du don, Léon Juste Ibombo, a précisé que ce don de la Chine au Congo intègre la dynamique du partenariat de coopération stratégique globale voulu par les deux chefs d’Etat, Denis Sassou-N’Guesso et X-Jinping, tout en remerciant le donateur « Nous ne le dirons jamais assez, la République populaire de Chine que vous représentez est un partenaire stratégique de la République du Congo et de son Gouvernement que je représente, surtout dans le secteur qui est le nôtre. » A fait savoir le ministre Ibombo.

En somme, à travers ce don la Chine réaffirme son ambition d’être et de rester un partenaire historique et stratégique du Congo. Puisque les deux pays vont célébrer en février de l’année prochaine, les 55 ans de l’établissement des relations de coopération bilatérale avec le Congo.

 

PARTICIPATION ACTIVE DU CONGO A LA 20e CONFERENCE DES PLENIPOTENTIAIRES DE L’UNION INTERNATIONALE DES TELECOMMUNICATIONS

La ville de DUBAI aux Emirats Arabes Unis abrite depuis le 29 octobre dernier. la 20e conférence des plénipotentiaires de l’union internationale des télécommunications UIT. Pendant plus de semaine, les participants procèdent entre autre au renouvellement du directoire de la dite Agence. Le Congo, présent à ces assises est représenté par une délégation conduite par Léon Juste IBOMBO ministre des postes des télécommunications et de l’économie numérique.

Ils sont plus de 2500 décideurs venus des 193 Etats membres de cette Agence spécialisée des Nations Unis qui prennent activement part à cette conférence, autre que l’organe suprême de cette organe (UIT).
Cette rencontre qui se tient chaque 4 ans est une occasion pour les Etats membres de décider du rôle futur de l’UIT, de déterminer sa capacité d’orienter l’évolution des technologies de l’information et de la communication dans le monde et, est aussi un moment déterminant pour ces cadres de haut rang de l’UIT d’élire les dirigeants des conseils et comites influents de l’organisation.
Les participants ont saisi l’occasion pour exprimer leur vision sur les nouvelles tendances des technologies de l’information et de la communication. ainsi que sur les questions de grandes importance stratégique pour le développement de ce secteur en vue d’accélérer la réalisation des ODD..
A propos des élections qui ont constitué une phase tournante de ces travaux, les Etats membres de l’UIT ont élu l’équipe de Direction de l’UIT notamment son secrétaire général, les directeurs des bureaux de radiocommunications, de la normalisation des télécommunications et de développement des télécommunications, les 48 Etats Membres qui sont appelés à composer le conseil de l’UIT pour un mandat de 4 ans; les douze membres du comité du règlement des radiocommunications.
A l’issue de ces élections, le chinois Houlin ZAHO a été élu à sa propre succession au poste de secrétaire général et l’Uruguayen Mario NANIECZ élu directeur du bureau des radiocommunications; le coréen Chaesub LEE élu directeur de bureau de la normalisation des télécommunications et l’américaine Doreen BOGDMAN-MARTIN,a quant à elle occupe la direction du bureau du développement des télécommunications.
D’autres scrutins ont concerné les 12 sièges du comité de règlement des radiocommunications. .C’est ici que 13 pays africains au total ont été soit élus soit réélus à ces différentes conseil parmi lesquels la cote d’ivoire, le Sénégal, le Nigeria, le Maroc et le Ghana.

Malgré l’échec des pays de la zone CEMAC à ces choix, le ministre Léon Juste IBOMBO, soulignant l’importance de cette conférence est sorti confiant et fortifie pour avoir soutenu d’autres candidats dont le chinois Houlin Zhao.
En marge de cette conférence, le ministre des postes des télécommunications et de l’économie numérique Léon Juste IBOMBO a eu des entretiens avec ses homologues du Cameroun et du Tchad ainsi que le représentant de Facebook, attendu prochainement à Brazzaville à travers un incubateur pour accompagner la jeunesse congolaise.
Autre dossier au menu de cette messe, les orientations dans le domaine des TIC notamment avec la 5 G ou l’intelligence artificielle.
En rappel, l’UIT est chargée de la règlementation et de la planification des télécommunications dans le monde. Elle s’efforce aussi d’améliorer l’accès aux TIC pour les communautés mal des servies. Elle ambitionne de connecter tous les habitants de la planète.

 

Assainissement : Le ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique mobilisé pour une ville propre

L’opération « Ville, ville et habitation » lancée par le vice premier ministre, Firmin Ayessa, ce samedi 3 novembre 2018, à Brazzaville, les agents du ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique et des administrations sous tutelle ont pris le relai en rendant salubre leurs lieux de travail et les alentours.

Agissant en lieu et place du ministre Léon Juste Ibombo, en mission, son directeur du cabinet, Franck Siolo, a pris la mesure de la circulaire n°0012/PM-CAB du 06 Octobre 2018, du 1er Ministre, chef du gouvernement, Clément Mouamba, qui invite les cadres et agents des ministères, des administrations publiques et privées, ainsi que tous les citoyens vivant au Congo, à rendre salubre l’environnement de travail, les habitations et les environs.

Ceci dans le but de travailler dans un environnement propre et dans le respect des règles hygiéniques. C’est pourquoi, dès 7 heures du matin, chaque agent, sous la supervision du directeur du cabinet du ministre Léon Juste Ibombo, a fait preuve de civisme et de citoyenneté, en remplissant, ce qu’à son yeux apparait comme un devoir avec la patrie. Puisque si chacun peut rendre salubre son environnement immédiat, la ville, le village ou l’habitation serait propre.

L’opération lancée ce samedi est salutaire pour l’assainissement de l’environnement du Congo. Pour faire le suivi de son exécution, le directeur du cabinet du ministre Léon Juste Ibombo, après le cabinet, a effectué des descentes dans les administrations sous tutelle. Une manière pour lui de s’assurer de la mobilisation du personnel. De la direction générale des postes et télécommunications à l’administration générale de Congo Télécom, en passant par la Société des postes et de l’épargne du Congo, Franck Siolo a pu constater l’engagement avec lequel chacun s’affairait à la tâche.

Interrogé par presse, le directeur du cabinet du ministre Ibombo a dit ne faire que ce qu’est du devoir « appliquer les orientations du 1er ministre contenues dans la circulaire qui institue cette journée de salubrité publique pour le premier samedi de chaque mois. »

« Nous sommes en pleine exécution de la circulation du 1er ministre », pouvait-il affirmer. Tout ceci dans l’objectif de nous approprier ce qu’est primordial à la santé publique.

Aussi n’a-t-il pas manqué de tout mettre en œuvre pour que l’initiative prise par le 1er ministre se pérennise pour le bonheur de tout le Congo.

Le Ministre de tutelle invite au dialogue les parties concernées.

Préavis de grève des postiers congolais : Le ministre Léon Juste IBOMBO, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a réuni, ce mercredi 24 octobre 2018, dans son cabinet de travail la direction générale de la société des postes et de l’épargne du Congo (SOPECO) et les partenaires sociaux, question de fixer leurs esprits et d’esquisser des solutions de sortie de crise.

Cette séance de travail organisée par le ministre Léon Juste Ibombo fait suite aux préavis de grève lancée par le postier et la Fesypostel, en réponse au cas où il y aurait non prise en charge du cahier des charges relatif aux revendications des travailleurs de la SOPECO.

Le Syndicat des travailleurs des Postes a donné son préavis de grève pour le 30 octobre 2018.

Les principaux points en litige inscrits  dans ce cahier de charge portent notamment sur la formation des cadres pour leurs utilisations dans des postes stratégiques, sur le refus d’importation des cadres, l’amélioration des conditions de travail, le problème de reversement des cotisations sociales à la CRF, la CNSS et les IRPP, le paiement de deux mois de salaires sur les onze impayés et bien d’autres.

Autour de toutes ces revendications syndicales le ministre Ibombo s’est fait le devoir d’écouter tous les acteurs en présence et indispensables à la résolution de ce problème.

Les syndicalistes dans leur intervention, principalement Sacha Yako NNGOWON du Postier et Franck SIASSIA MIKOUIZA de la Fesypostel, tout en étalant leurs revendications syndicales et exigeant le paiement de deux mois de salaires, ont déploré la rupture de dialogue avec la direction générale de la SOPECO.

La directrice générale, pour sa part, a présenté la situation actuelle de la société, les chantiers explorés et les perspectives, avec une insistance sur son ouverture au dialogue et aux négociations.

Daniel MONGO, de la centrale syndicale CSC (Confédération syndicale congolaise), qui a pris part à la séance de travail a souligné l’importance du dialogue social, comme cadre de concertation pour aboutir à une solution salutaire, dans une convergence des vues.

Le ministre de tutelle, Léon Juste Ibombo, qui a conclu la séance de travail a rappelé le crédit qu’accorde le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou-N’Guesso, au dialogue social.

Sur la base de cette directive du président de la République Léon Juste IBOMBO a invité au dialogue les parties concernées, afin qu’une issue heureuse, ne bloquant pas le fonctionnement de l’employeur et soulageant, dans une certaine mesure l’employé, soit trouvée.

Ce n’est par le dialogue, aux tables de négociations  que des progrès notables peuvent être réalisés.

Il ne s’agira pas d’aller à une grève générale, mais de négocier pour le bonheur des travailleurs et de l’instrument de travail, qui est en train de faire face aux défis de la mondialisation, marqués par la montée en puissance des nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Lancement de la troisième Edition de l’Africa Code Week

Une vague d’élèves se forme en informatique

Environ dix milles élèves du primaire, du collège et du lycée apprennent l’informatique cette année, au titre de « Africa Code Week ». Pour cette troisième édition, c’est le ministre Léon Juste Ibombo qui a lancé la formation le 22 octobre dernier pour une vague d’élèves Brazzavillois dont certains s’imprègnent de cette « nouvelle langue » dans les locaux suréquipés du complexe Révolution-Gampo Olilou.

A travers Africa code week, le groupe Sap (maison d’édition de logiciels), appuyé par de nombreux partenaires dont la fondation Bantuhub de Vérone Mankou  a e au cours des deux premières éditions, formé 1 800 000 jeunes dans une quarantaine de pays  africains dont le Congo. On compte parmi eux, 25 000 enseignants formés qui transmettent à leur tour, les connaissances aux étudiants. La sélection se fait sur la base de la parité filles-garçons.  Cette année,  Africa code week entend former un million de jeunes africains dans la résolution des problèmes complexes à l’instar des programmes informatique sur les principes de la décomposition, l’abstraction et la reconnaissance de modèle.

A en croire les responsable du groupe Sap, le lancement de cette édition au Congo est justifié par le fait que ce pays est résolument déterminé à remporter la révolution du numérique. De telle sorte qu’il soit à l’aune des récentes innovations qui avancent de nombreux pays africains comme le Kenya où 15% seulement d’achat se font en liquide.  C’est pourquoi, il faut préparer les jeunes à cette transformation à la programmation et au langage informatique. « Il faut le faire le plus tôt possible. Car l’informatique devient une nouvelle langue. Les jeunes doivent la maitriser, savoir la lire, l’écrire, compter et coder. L’informatique devient le 4ème pilier de l’enseignement fondamental ».

Directeur général de l’enseignement secondaire, Jean Luc Mountou a fait l’éloge d’un créneau qui connait un succès en Afrique et au Congo.  Le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique quant à lui a annoncé le soutien inconditionnel du gouvernement à la réalisation de l’édition 2018, autant elle intègre la vision du président de la République à créer des nouvelles opportunités de création de richesses au profit des jeunes. « L’informatique représente la nouvelle frontière du développement et le Congo en  accorde une attention particulière », a déclaré Léon Juste Ibombo, avant de visiter la vague de jeunes en formation au complexe Révolution-Gampo Olilou à Ouenzé.

Ernest Blanchard Dimi