Monsieur Léon Juste IBOMBO élevé au grade d’officier dans l’ordre du mérité Congolais par le président de la République

Décoration
Monsieur Léon Juste IBOMBO élevé au grade d’officier dans l’ordre du mérité Congolais par le président de la République.
L’heureux récipiendaire a reçu des distinctions honorifiques des mains du Grand Chancelier des ordres Nationaux ce Lundi 11 septembre 2017.
La cérémonie s’est déroulée dans le jardin du Ministère des Postes, des Télécommunications et de L’Economie Numérique.

Le Ministre Léon juste IBOMBO des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique dans une communication a incite les opérateurs des communications électroniques

Congo/Télécommunications

Dernier délai de 2 mois du Ministre aux sociétés de téléphonie mobile pour améliorer la qualité de leurs services

Les sociétés de téléphonie mobile évoluant en République du Congo courent le risque des sanctions pour non-respect de leurs cahiers de charge, c’est la substance de la communication de Léon Juste IBOMBO, ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, à l’endroit de l’administration de ces sociétés, ce lundi 11 septembre 2017, à Brazzaville.

La communication du ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique s’inscrit dans le cadre de la volonté du Gouvernement d’améliorer les performances du secteur.

Le ministre de tutelle, pour justifier le bien-fondé de ce rappel à l’ordre du gouvernement, n’a pas manqué de rappeler à l’assistance la loi numéro 9-2009 du 25 novembre 2009 portant réglementation du secteur des communications électroniques, qui consacre, en son article 6 la libéralisation du secteur, tout en mettant en interaction plusieurs acteurs : la tutelle, c’est à dire le ministère qui est chargé de concevoir et d’exécuter la politique du gouvernement dans le domaine des communications électroniques et de veiller à la régulation de l’activité de toute entité exerçant dans ce domaine ; la Direction Générale des Postes et Télécommunications œuvrant au niveau de la règlementation ; l’Agence de Régulation des Postes et Communications Électroniques, œuvrant au niveau de la régulation et les opérateurs offrant les services de communications électroniques.

S’appuyant sur la législation en vigueur, Léon Juste IBOMBO, a précisé que « dans vos licences et vos cahiers des charges, vous êtes soumis à un certain nombre d’obligations qui concernent notamment : la couverture de la population en réseaux de communications électroniques sur toute l’étendue du territoire ; la qualité de services ; le paiement des taxes et redevances. »

Au terme de loi, i établit que toute personne a le droit de bénéficier des services de communications électroniques. Tenant compte de cette considération, le ministre a exposé le motif au cœur de ce dernier avertissement : « il m’est revenu que moult consommateurs se plaignent de cette qualité de service. » a dit le ministre Ibombo avant de poursuivre que « Le gouvernement de la République, par ma voix, tient à souligner que la qualité de services est une exigence non négociable. Les consommateurs doivent disposer d’un service normal et adéquat, tant sur la voix que sur la data, qui n’est rien d’autre que la contrepartie d’un service acheté tel que le paiement de leurs cartes de recharges, entre autre. »

Si la qualité de service est un indicateur de performance, la directive du ministre de tutelle est sans appel : « je vous enjoins de tout mettre en œuvre pour améliorer ce service dans un délai de 2 mois, et ce pour le bien de nos populations. » Une directive qui se fait suivre d’une menace de sanction : « Si rien n’est fait au terme de ce délai, le Gouvernement sera amené à prononcer à votre endroit des sanctions prévues par la réglementation en vigueur, notamment, la réduction de la durée de vos licences respectives. »

Par ailleurs, dans l’optique d’assurer une couverture nationale en télécommunications, le ministre est revenu sur l’obligation de ces sociétés de téléphonie mobile de faire ainsi. Tenant compte de ce qu’à la date d’aujourd’hui plusieurs localités du Congo sont encore non couvertes par le téléphone. Aussi au terme de la loi n° 9-2009 du 25 novembre 2009 en son article 91, Léon Juste IBOMBO a annoncé la création dans les prochains jours d’un fonds pour l’accès et le service universel des communications électroniques en République du Congo. Ce fonds aura pour principale mission, d’assurer le financement de projets visant à couvrir l’ensemble du territoire national en infrastructures et services de communications électroniques, notamment en zone rurale ou enclavée. Ce fonds sera alimenté par les contributions des opérateurs à hauteur de 2% de leur chiffre d’affaires.

Autant dire que, le ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique soumettra à l’examen de la haute attention du Conseil des ministres, les textes d’application des dispositions précitées afin de définir les modalités de développement de l’accès et du service universel et de fixer, conformément aux meilleurs pratiques en la matière, l’organisation et le fonctionnement du Fonds du Service Universel.

Afrique-Chine : Les avancées du Congo en Télécommunications présentées en Chine par Léon Juste IBOMBO

Représentant la République du Congo au séminaire ministériel sur les expériences du développement de la Chine pour les pays africains francophones, que la Chine a abrité du 26 juillet au 4 aout 2017, Léon Juste IBOMBO, ministre des postes et télécommunications a présenté le chemin parcouru jusque-là par le Congo en matière de communications électroniques.

S’appuyant sur la volonté affichée depuis 2004, par le Chef de l’Etat Congolais, Denis Sassou-N’Guesso, de faire des technologies de l’information et de la communication un catalyseur de la stratégie du pays de réduire la pauvreté, Léon Juste IBOMBO a précisé que le secteur dont il a la charge occupe une place indispensable dans le partenariat gagnant-gagnant, entre le Congo et la Chine, élevé, actuellement au rang de partenariat stratégique global.

« Assurer la couverture nationale en matière de communication et des TIC afin de garantir un accès universel aux services de la téléphonie et à l’internet d’une part, et d’accélérer l’introduction du Congo dans la société de l’information, d’autre part », est l’orientation du président de la République du Congo, qui a servi de boussole à l’action du gouvernement, a fait savoir le ministre IBOMBO, avant de présenter les trois phases du développement du projet couverture en télécommunications.

Le projet en lui-même consiste dans le maillage de l’ensemble du pays en infrastructures à très haut débit en fibres optiques. Illustrant ses propos, le ministre congolais des postes et télécommunications a signifié que le Congo dispose d’une station d’atterrissage du câble sous-marin à fibres optiques, dont consortium West African Câble System, dont son pays est membre. De-même, a poursuivi Léon Juste IBOMBO, le Congo s’est doté d’une dorsale (Backbone) souterraine à fibre optique de près de 1300km, secourue par une dorsale aérienne à fibre optique sur te réseau THT. A cela s’ajoutent des bretelles à fibres optiques vers les chefs-lieux de départements et des districts, sans oublier les boucles métropolitaines dans les grandes agglomérations du pays.

Les défis actuels du Congo
Faisant le marketing de la destination Congo en matière de télécommunications, le ministre Léon Juste IBOMBO s’est fait le devoir de présenter ce sur quoi le pays met le cap, à savoir la réalisation du dernier kilomètre ou « last mile ».

Il est question, à travers cette troisième phase du déploiement de la fibre optique, de faire bénéficier à toute la population des services de communication électronique.

Par le biais d’un partenariat public-privé, il s’agira d’installer un Datacenter, prélude à de l’intranet gouvernemental et la création d’un incubateur et d’un Technopole.

Et Léon Juste IBOMBO, face à l’auditoire, a trouvé les mots pour déduire que ce dernier kilomètre, une fois atteint, permettra à la République du Congo de réunir toutes les conditions de son arrimage au développement de l’économie numérique.

A l’évidence, grâce à ces efforts déployés par le gouvernement, le Congo vibre à l’ère de l’internet très haut débit sur la quasi-totalité de son territoire, pouvait conclure le ministre congolais des postes et télécommunications.
A ces assises de Chine, le ministre Léon Juste IBOMBO portait la veste du représentant de tous les participants du séminaire ministériel sur les expériences de la Chine pour les pays africains francophones en 2017.

Ce séminaire aura été un lieu de partage d’expérience entre la Chine et l’Afrique. Organisé en sessions thématiques et visites des infrastructures économiques de la Chine, ce rendez-vous du savoir au cimenté les bases du partenariat économique que la Chine entretient avec l’Afrique.

Au demeurant, le ministre Léon Juste IBOMBO a mis à profit son séjour en Chine pour échanger avec certains partenaires du Congo. C’est ainsi qu’il a été l’hôte de Doly ZHAING, vice-président de l’Inspur, une société chinoise nantie d’une expérience de près de 70 ans, dans le numérique. Le second qui a accordé son hospitalité à Léon Juste IBOMBO est DARREN ZHAO, président of middle East Africa Region de ZTE Shenzen.

Aurélien MOUANGOU

Audience ce Mercredi 05 Juillet de l’Administrateur Général de C.G.T Electtronica reçu par le Ministre des Postes et Télécommunications

Monsieur Michel GRIFA, l’ingénieur italien Administrateur Général de C.G.T Electtronica reçu ce Mercredi 05 Juillet en audience par le Ministre des Postes et Télécommunications Léon Juste IBOMBO.
L’entretien entre les deux hommes a porté sur la mise en œuvre des accords conclus entre les deux parties à Rome en Décembre 2016.
Des accords qui s’inscrivent dans le cadre de la modernisation de la Poste Congolaise.

Les participants à l’atelier pour la protection de l’enfant en ligne

Les participants à l’atelier pour le développement et la mise en œuvre d’une stratégie nationale de protection et de l’autonomisation des enfants dans l’espace numérique, réunis à Brazzaville du 21 au 24 juin 2017 se disent satisfaits des connaissances reçues; A quelques heures de la clôture dudit atelier ont soutenu que l’essentiel des outils pouvant leur servir de boussole dans le travail à réaliser dans l’avenir en vue de la formulation d’une stratégie nationale de la protection de l’enfant en ligne. L’expert de l’UIT, Emmanuel KAMDEM, en coordonnateur et facilitateur de cette formation affirme que les capacités des acteurs concernés en planification axée sur les résultats ont été renforcées.