Don d’une salle multimédia à l’école 15 août de Poto Poto

L’école primaire 15 août 1963 située dans le 3ème arrondissement Poto-Poto, a été dotée d’une salle multimédia afin de favoriser une formation de qualité aux enfants et leur permettre de s’adapter avec l’outil informatique.
Inaugurée le 9 novembre à Brazzaville, par le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, M. Léon Juste Ibombo, cette salle est composée de 27 ordinateurs et d’une salle de bibliothèque.
Fruit de l’engagement sociétal de la société téléphonie mobile Mtn et son partenaire le Group Helios Towers ainsi que de la fondation africaine pour l’éducation, cette école, anciennement appelée Saint Vincent de Poto-Poto, a été réhabilitée il y a 1 an.
Elle revêt d’une importance pour les apprenants et garanti l’avenir de la jeunesse congolaise, l’élite de demain en améliorant les conditions d’étude en milieu éducatif, a-t-on appris.
Cette salle multimédia qui dispose d’une connectivité permanente à l’internet, s’inscrit dans le cadre des obligations sociétales de ces entreprises pour briser la fracture numérique, a indiqué M. Ibombo.
De même, il a précisé que le Group Helios Towers est un partenaire engagé dans la construction des infrastructures devant permettre au pays d’émettre et d’amener la connectivité à internet auprès des ménages et des populations.
Par ailleurs, il a fait savoir que dans le cadre des métiers de l’internet et de la digitalisation, 400 jeunes filles ont été primées pour les encourager à persévérer dans ces domaines.
De son côté, le chef de la direction du Group Helios Towers, M. Tom Greenwood a insisté sur l’expansion du réseau des télécommunications au Congo, afin de faciliter la communication entre un grand nombre de personnes possibles, a-t-on noté

MTN lance la phase pilote de la 5G en République du Congo

La demande en connectivité haut débit continue d’augmenter en Afrique. Les opérateurs de télécommunications veulent renforcer leurs capacités pour mieux y répondre, dans un contexte de transformation numérique accéléré.

L’opérateur de téléphonie mobile MTN Congo a lancé le vendredi 28 octobre la phase pilote de la technologie mobile de cinquième génération dans le pays. C’était à l’occasion de la célébration de ses 20 ans d’activités en République du Congo. Le service devrait bientôt être accessible aux utilisateurs.

Selon Léon Juste Ibombo, ministre des Postes, Télécommunications et de l’Économie numérique, « MTN Congo est en train de matérialiser l’entrée du Congo dans la technologie de la téléphonie mobile 5G, avec des débits dépassant les 10 GB/s et dont les tests s’effectuent avec grand succès ».

C’est en 2019 que les autorités congolaises ont véritablement entamé les préparatifs pour le lancement de l’ultra haut débit, dans le cadre d’un programme d’expérimentation initié par la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA). Le programme impliquait le gouvernement, les opérateurs télécoms locaux, l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) et les acteurs du secteur privé

La demande en connectivité haut débit continue d’augmenter en Afrique. Les opérateurs de télécommunications veulent renforcer leurs capacités pour mieux y répondre, dans un contexte de transformation numérique accéléré.

L’opérateur de téléphonie mobile MTN Congo a lancé le vendredi 28 octobre la phase pilote de la technologie mobile de cinquième génération dans le pays. C’était à l’occasion de la célébration de ses 20 ans d’activités en République du Congo. Le service devrait bientôt être accessible aux utilisateurs.

Selon Léon Juste Ibombo, ministre des Postes, Télécommunications et de l’Économie numérique, « MTN Congo est en train de matérialiser l’entrée du Congo dans la technologie de la téléphonie mobile 5G, avec des débits dépassant les 10 GB/s et dont les tests s’effectuent avec grand succès ».

C’est en 2019 que les autorités congolaises ont véritablement entamé les préparatifs pour le lancement de l’ultra haut débit, dans le cadre d’un programme d’expérimentation initié par la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA). Le programme impliquait le gouvernement, les opérateurs télécoms locaux, l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) et les acteurs du secteur privé