Congo-Infrastructure numérique : vers la modernisation de l’université Marien-Ngouabi

Trois établissements de l’Université Marien NGouabi, à savoir la Faculté des Sciences et Techniques, l’Ecole Nationale Supérieure Polytechnique, l’Institut Supérieur de Gestion et la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines disposent ; ont été pourvus en salles multimédia connectées à internet haut débit. L’acte de leur mise en service a été posé, ce 1er avril 2021, par les ministres Jean Richard Bruno Itoua, en charge de l’enseignement supérieur et Léon Juste Ibombo, des postes, télécommunications et de l’économie numérique.
Ces salles, qui participent du processus de modernisation de l’université Marien Ngouabi sont dédiées aux étudiants et enseignants, grâce à un don du Fonds pour l’Accès et le Service Universels des Communications Électroniques (FASUCE) dont l’Agence de régulation des postes et des communications électroniques (ARPCE) est en assure la gestion.
Patronnant la cérémonie de mise en service de ces salles multimédia, aux côtés de son collègue de l’enseignement supérieur, Léon Juste Ibombo, par ailleurs Président du Comité du Fonds, a inscrit l’acte du jour dans le cadre de la poursuite de la marche du pays vers son arrimage à la modernité. « La poursuite de cette marche vers le développement nous conduit ce jour à l’Université Marien Ngouabi, notre Alma mater, qui d’ailleurs, nous a aussi formé, où nous procéderons à la remise officielle des salles multimédias équipées des ordinateurs modernes et d’une connexion internet haut débit, avec un service garanti par numéro vert, dans certains établissements… », a précisé Léon Juste Ibombo, dans son mot de circonstance.
En mettant à la disposition du ministère de l’enseignement supérieur, l’administration placée sous la tutelle du ministre Léon Juste Ibombo vient de traduire en acte une orientation reçu du chef du gouvernement et un engagement contenu dans le programme de gouvernement du chef de l’Etat congolais. « C’est donc, pour nous un honneur et une fierté d’avoir accompli une mission confiée à notre département ministériel par le Chef du gouvernement, Monsieur Clément Mouamba, sous le leadership éclairé du Président de la République, SEM Denis Sassou-N’Guesso. »
Avant la rémise des clefs de ces salles qui doivent rendre efficace le travail et des enseignants et des étudiants ; qui en sont les principaux bénéficiaires, Léon Juste Ibombo a exhorté les utilisateurs de faire bon usage du matériel et outils de recherche mis à leur disposition par le gouvernement. « En pareille circonstance, il est d’usage protocolaire de prodiguer quelques conseils à l’endroit des heureux bénéficiaires d’en faire œuvre utile et d’en assurer une meilleure protection. » A soutenu le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, tout en invitant les uns et les autres à la responsabilité : « Aussi, nous comptons énormément sur votre sens de responsabilité vis à vis du bien commun, plus est, une donation du Chef de l’Etat à la jeunesse, décomplexée de notre pays. »
A travers ce geste, le Fonds d’Accès pour le Service Universel des Communications Électroniques (FESUCE), Entrée depuis mai 2020 dans sa phase opérationnelle, s’affirme comme un instrument d’une part de conquête des territoires numériques et d’autre part de soutien au développement durable. A ce titre, il a déjà rendu possible la mise en service des antennes de télécommunications dans certaines localités des départements jadis totalement non desservies en communications électroniques, dans les Plateaux, la Cuvette, le Pool, la Bouenza, le Niari et le Kouilou, pour ne citer que celles là, ainsi que remise officielle des salles multimédias dans certains établissements scolaires à Oyo, Dolisie et Pointe-Noire. Un travail d’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique qui suivra son corps normal, dans le dessein de permettre au pays de prendre part active à la « Révolution du numérique » et se digitaliser au maximum.

Projet CAB : après examen et adoption le budget exercice 2021 s’élève à plus de 13 milliards FCFA

«Devant l’engagement contractuel de poursuivre la réalisation du Projet Central Africa Backbone (CAB) dédié à l’interconnexion de la République du Congo à la République Centrafricaine puis de la République du Congo à la République du Cameroun, mais aussi face à la crise sanitaire mondiale COVID-19 dont les effets ont impacté la prévisibilité des ressources financières et techniques en faveur de la construction des infrastructures d’intégration sous régionale ; il a été convoqué le Comité de Pilotage de ce jour qui traduit la pertinence de la politique de développement des télécommunications transfrontalières insufflée par des télécommunications transfrontalières insufflée par la volonté des Chefs d’Etat de la CEMAC. C’est donc au lendemain de l’élection présidentielle apaisée que se tient la présente session du Comité de Pilotage. Qu’il me soit permis de vous adresser, mesdames et messieurs les membres du Comité de Pilotage, mes salutations chaleureuses et mes souhaits de bienvenue. Je voudrais ici rappeler ma satisfaction au regard des résultats tout aussi satisfaisants qu’encourageants durant l’exercice 2020 auxquels est parvenu le Projet CAB dans la construction des infrastructures à fibre optique entre la République du Congo et la République du Cameroun (Ouesso et Ntam). Que les partenaires techniques et financiers ainsi que tous les acteurs non étatiques reçoivent ici ma sincère gratitude». C’est par ses propos que Léon Juste IBOMBO, Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique a ouvert les travaux du Comité de Pilotage du Projet CAB, le 23 mars 2021 à Brazzaville en présence de Michel NGAKALA, Coordonnateur dudit Projet.Au cours de cette session, il s’est agi de l’examen du Plan, de Passation de Marchés (PPM) ; la validation du Programme de Travail et Budget Annuel (PTBA) ; de faire l’état d’exécution du projet pour l’année 2020 et les recommandations du précédent Comité de Pilotage ; de tirer les meilleurs pratiques en matière d’exécution et prendre des résolutions et recommandations pour le prochain Comité de Pilotage. Pour Léon Juste IBOMBO, à titre de rappel a fait savoir qu’à partir d’aujourd’hui, nous n’aurons plus besoin d’emprunter des routes numériques internationales pour collaborer entre Etats frères. Les échanges digitaux vont fortement augmenter. La fracture numérique entre nos zones frontalières sera réduite et les populations profiteront d’un accès plus aisé au monde numérique, plus performant et moins cher. Cela, nous l’avons accompli ensemble et nous pouvons en être fiers. La matérialisation de la vision stratégique d’interconnexion sous régionale a été au centre de la session du Comité de Pilotage du Projet CAB. Plusieurs chantiers dudit projet ont connu des perturbations énormes, ralentissant ipso facto le rythme des travaux prévus au titre de l’année 2020, tels : l’achèvement des travaux de construction du réseau d’interconnexion en fibre optique Congo-Cameroun, le lancement des travaux du réseau d’interconnexion en fibre optique Congo-RCA, la poursuite des études devant des études devant favoriser la construction du data center et bien d’autres chantiers en lice. Cependant, et malgré ce contexte très pénible, marqué par cette pandémie quelques activités ont, bon an mal, pu tenir.Cette session du Comité de Pilotage a été un moment indiqué pour diagnostiquer minutieusement les carences, d’identifier les faiblesses, de corriger les insuffisances et de définir une feuille de route claire afin d’impulser et de réussir la mise en œuvre du Projet.

Au terme de la rencontre, Michel NGAKALA a fait savoir à la presse au cours d’une interview qu’ En 2020, il était prévu de dépenser 15 milliards FCFA. Au regard de la situation sanitaire liée au coronavirus, on a revu nos dépenses à la baisse, six milliards FCFA. Avec le budget qui vient d’être adopté, on espère finaliser les travaux arrêtés et Il s’agit de l’achèvement de plusieurs chantiers ayant connu des perturbations l’année dernière du fait de la pandémie de Covid-19, entre autres, les travaux de construction du réseau d’interconnexion en fibre optique Congo-Cameroun et Congo-RCA, puis la poursuite des études devant favoriser la construction du data center et bien d’autres chantiers en lice.

http://geoafriquemedias.over-blog.com/2021/03/projet-cab-apres-examen-et-adoption-le-budget-exercice-2021-s-eleve-a-plus-de-13-milliards-fcfa.html

 

Signature d’un accord sur la création d’un centre de recherche scientifique sur l’intelligence artificielle

Un protocole d’accord portant création du centre de recherche scientifique sur l’intelligence artificielle (Ia) au Congo a été signé, le 3 mars dernier à Brazzaville,  entre  le gouvernement congolais et la commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (Cea)

Ce protocole a été signé du côté congolais par les ministres en charge de l’Economie numérique, M. Léon Juste Ibombo et de l’Enseignement supérieur, M. Jean Bruno Itoua et du côté de la Cea par sa secrétaire exécutive, Mme Vera Songwe, en présence des autres membres du gouvernement.

Le centre de recherche sur l’Ia a six missions principales, à savoir améliorer le paysage actuel de la recherche sur Ia au Congo et en Afrique de façon générale ; explorer le potentiel de l’Ia et les impacts macroéconomiques, les effets transformateurs sur les sociétés et les économies, en particulier dans les secteurs des banques, de la santé, de l’agriculture, des transports, et de l’environnement.  La promotion d’une collaboration étroite entre le monde universitaire et les industries dans les domaines de l’Ia et de la robotique, fait également partie des missions de ce centre.

Toutes les études de faisabilité liées à la mise en œuvre de ce centre ont été financées par la Cea. Le lancement de cette structure va s’effectuer pendant la cérémonie de la 7ème session du Forum régional africain pour le développement, organisée par la République du Congo, du 1er au 5 mars 2021 à Brazzaville. Le Chef de l’Etat congolais, M. Denis Sassou N’Guesso a suivi la signature de cet accord par visioconférence, indique-t-on.

Le Centre africain de recherche scientifique sur l’intelligence artificielle créé pour améliorer l’expérience client et des citoyens dans les secteurs public et privé, a été visité, le 3 mars dernier, par les ministres en charge de l’Enseignement supérieur, de l’Economie numérique, de l’Environnement et la secrétaire exécutive de la Cea.

La  création de ce centre régional, avec l’appui de la Cea et de ses partenaires, va faire du Congo un grand carrefour des technologies en Afrique centrale. D’ici 2021, l’Ia va générer près de 16 milliards de dollars et créer plus de 2,3 millions de nouveaux emplois. De même, elle va croître de 33% au cours des cinq prochaines années.

Au cours de cette visite, le ministre en charge de l’Economie numérique, M. Léon Juste Ibombo, a précisé que ce centre va entreprendre des recherches de pointe sur l’Ia en se concentrant sur une approche centrée sur l’homme, afin de maximiser les avantages et de contrer les défis du développement et de l’utilisation de l’Ia pour le développement socio-économique du continent.

M. Ibombo a signifié que cette structure va également entreprendre des recherches sur les implications juridiques, éthiques, économiques et sociétales des technologies de l’Ia.

En outre, il a fait savoir que ce centre va aussi développer des outils, produits et services basés sur l’Ia pour aider les pays africains à adopter la mise en œuvre de cette technologie émergeante dans leurs efforts pour répondre aux aspirations de développement national et aux exigences des Objectifs de développement durable (Odd), comme convenu au niveau international.

A l’occasion de cette visite, la secrétaire exécutive de la Cea, Mme Vera Songwe, a édifié les étudiants sur la notion de l’Ia, avant de les inviter à s’en approprier. A travers la création de ce centre au Congo, la Cea va étudier la manière de créer plus d’emplois pour les jeunes Congolais, a-t-elle fait savoir.

Le Congo choisi pour tester le réseau 5G afin d’exploiter le potentiel numérique

 les ,participants à la 7ème forumLe Congo a été sélectionné parmi les 10 pays africains pour expérimenter le réseau 5G, afin d’exploiter pleinement le potentiel numérique et les avantages de la numérisation pour le développement du continent, a indiqué, le 3 mars à Brazzaville, la secrétaire exécutive de la Commission économique pour l’Afrique (Cea), Mme Vera Songwé.

Cette initiative a pour but d’établir un partenariat et de mettre en œuvre des tests 5G dans certains pays africains, en vue de renforcer les capacités des partenaires à ouvrir des opportunités dans les réseaux commerciaux 5G dans plusieurs pays.

Pour Mme Songwé, le déploiement de la 5G va offrir aux opérateurs la possibilité d’améliorer leurs activités et services de consommation existants et de s’attaquer aux chaînes de valeur inexploitées dans la numérisation des industries. «Cette technologie ouvre de nouvelles opportunités dans un nouvel écosystème et les tests vont définir les accords de partenariat nécessaires à sa mise en œuvre», a-t-elle précisé.

Elle a fait savoir que les projets de test 5G impliquent la participation de plusieurs partenaires des organisations des Nations unies, de l’Uit, de l’Onudi, des opérateurs des télécommunications et des régulateurs ainsi que les industries qui peuvent représenter différents domaines, sans oublier les fournisseurs et fabricants de matériels, les fournisseurs des outils de test et de surveillance, la recherche et l’analyse, les entreprises et les opérateurs de réseaux.

Les tests seront menés en étroite collaboration avec les gouvernements et les opérateurs de télécommunication locaux pour s’assurer que toutes les dispositions réglementaires ont été mises en place pour permettre aux opérateurs de réallouer le spectre existant pour la 5G dans le milieu de gamme (par exemple 3,5 GHz), les micro-ondes et millimètres ainsi que les bandes de fréquences Wave (mmWave), par exemple le 26 GHz, a-t-elle souligné.

Pour sa part, le ministre en charge des télécommunications, M. Léon Juste Ibombo, a énuméré les objectifs spécifiques de ce test du réseau 5G, qui consistent à développer les cas d’utilisation de la 5G via un système 5G autonome de bout en bout pour couvrir à terme un large éventail de nouvelles applications, comme les services financiers, la santé, l’éducation, la fabrication, l’Internet, les objets et les villes intelligentes.

Ce réseau 5G va également développer une boîte à outils de test 5G pour chaque phase de déploiement individuelle, afin d’assurer une intégration et un déploiement réussis, de développer des modèles de test 5G standardisés et précis en vue de créer des pratiques de test plus harmonisées à travers le continent, d’identifier les principaux défis lors du test et du déploiement d’un réseau 5G et d’entreprendre des activités de sensibilisation, a-t-il ajouté.

Parmi les pays sélectionnés pour entreprendre le test du réseau 5G, figurent le Maroc, le Cameroun, le Sénégal, le Rwanda, l’Afrique du Sud, le Kenya et le Zimbabwe. https://www.aci.cg/congo-telecommunications-le-congo-choisi-pour-tester-le-reseau-5g-afin-dexploiter-le-potentiel-numerique/?fbclid=IwAR3SoiV3_bBxy5xb3nZepAOpr2Lxhfeq4hVFTsTcYfRwDt_UaFZGp–8BKE

 

 

Congo : une feuille de route ambitieuse fixée par Léon Juste Ibombo pour digitaliser au maximum le pays en 2021

Poursuivre la digitalisation pour arrimer le Congo au développement de l’économie numérique, est bien le challenge que l’administration des postes, des télécommunications et de l’économie numérique placée sous la tutelle du ministre Léon Juste Ibombo, entend relever en cette année 2021. L’animateur principal de ce département ministériel, ce vendredi 8 janvier 2021, à Brazzaville, face à la presse, a décliné les axes de travail du secteur, qui s’appuient sur la « Révolution numérique. »

L’objectif cet échange avec la presse était  de faire le point des activités entreprises à la lumière de « la marche vers le développement », programme de gouvernement du chef de l’Etat congolais et d’explorer toutes les possibilités qu’offre la révolution du numérique, pour poursuivre l’arrimage du pays au développement de l’économie numérique, point n° dudit contrat social.

Après s’être réjoui de ce que sous sa direction le Congo s’est doté d’un arsenal juridique pouvant encadrer le numérique, à savoir la stratégie nationale du développement de l’économie numérique adossée au plan d’actions 2018-2022, la loi sur la cyber sécurité, la protection des données à caractère personnel, la lutte contre la cybercriminalité, la création de l’Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d’Informations,  et bien d’autres, Léon Juste a prescrit une feuille de route pour le secteur des postes, des télécommunications et de l’économie numérique sur 12 mois.

Avec l’apport de la Banque Africaine de Développement (BAD), et par le biais du Projet Central African Backbone, organe technique du gouvernement congolais, il s’agira de construire le Data center national, une fois les obstacles liés à la finalisation des études, levés, les travaux débuteront en juillet 2021. Toujours avec l’appui de la BAD,  il sera lancé, selon le planning prévisionnel, la construction du réseau fibre optique axe fluvial, en février 2021, pour l’interconnexion avec la république Centrafricaine. Une façon de poursuivre la concrétisation de la volonté des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEMAC d’interconnecter et d’intégrer les pays membres de la communauté.

Au cours de cette année 2021, il doit être mise en place d’un Centre d’Excellence et d’Intelligence artificielle avec l’apport de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique, le free roaming en Afrique centrale qui permettra aux abonnés des pays de la CEMAC d’être connectés dans tous les pays de ladite zone avec leur numéro local à partir de janvier 2021.

Il est prévu, par ailleurs, l’acquisition d’un système automatique de gestion et de contrôle du spectre de fréquences radioélectriques.

Dans le dessein de donner un nouvel élan à l’administration postale, Léon Juste Ibombo a révélé à la presse l’effectivité du projet d’adressage postal, qui vise l’amélioration des conditions de traitements des envois postaux. Des axes prioritaires de travail serviront de tableau de bord à la poste congolaise pour sa compétitivité et son dynamisme. Il s’agit de la préservation de la paix sociale à l’entreprise par le dialogue permanent comme moyen de règlement des différends, l’opérationnalisation du Fonds d’Accès pour le service postal universel aiderait la SOPECO à assurer plus efficacement le service sur l’ensemble du territoire national, la formation du personnel aux métiers du numérique ;

Au cours de cette même année, tout devrait être mis en œuvre pour la maitrise du patrimoine de la SOPECO, véritable niche de ressources financières dont le défaut expose à la délinquance foncière.

Le ministère appuiera la SOPECO pour le règlement de sa dette à l’égard de la société Air France, afin de renouer avec le transport postal de 85% avec la SOPECO.

Et dans du fonds d’accès pour le service universel (FESUCE), le ministère poursuivra  la couverture des zones blanches et l’équipement multimédia des établissements scolaires, dans les zones rurales encore enclavées dans l’utilisation des communications électroniques.

Peu avant, Léon Juste Ibombo, avant de se prêter aux questions de la presse a fait le bilan de son action à la tête du ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique. Un bilan qu’il juge positif et satisfaisant. Puisque, d’après ses propos « l’action du Ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique a été dense. »

En somme, le ministre Léon Juste Ibombo au terme de ce jeu de questions-réponses avec la presse pouvait déduire que le travail se fait et continuera à se faire conformément aux orientations reçues du président de la République. Ainsi l’architecture voulue par le président Denis Sassou-N’Guesso, dans le secteur des Postes, des Télécommunications et de l’Economie Numérique, se met, progressivement en place.

Congo : le ministre Léon Juste face à la presse ce vendredi pour faire le bilan et perspective de son département

Ce vendredi 8 janvier 2021, à Brazzaville, le ministre Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie, au cours d’un jeu de questions-réponses, avec la presse, sous toutes ses formes, fera la rétrospective de 2020 et la projection de la nouvelle année, en termes d’actions à entreprendre pour booster les télécoms et digitaliser au maximum le pays.

Il s’agira pour le ministre Léon Juste Ibombo, au cours de cette conférence de presse, de présenter les défis que l’administration placée sous son autorité a relevé en 2020, conformément aux orientations du programme de gouvernement « La Marche vers le développement », surtout en son point 5, à savoir « arrimer le Congo au développement de l’économie numérique. »

De ce point de vue, sans occulter les activités entreprises dans le secteur des postes et des télécommunications, le ministre abordera avec la presse, notamment la feuille de route du projet Central african Backbone (CAB-Congo), organe technique du gouvernement chargé de construire les infrastructures de développement de l’économie numérique. Puisque l’économie numérique, en ce 21ème siècle constitue un secteur transversal dans le processus de développement de l’économie nationale.

C’est ainsi qu’après avoir fait le bilan du projet CAB, en 2020, Léon Juste Ibombo déclinera les grands chantiers de ce projet pour la nouvelle année, annonce un communiqué de presse du projet CAB.

Ce communiqué énumère certaines actions phares que le projet CAB mettra en musique en cette année, 2021. Il s’agit, entre autres du lancement des travaux de construction du réseau sous régional d’interconnexion en fibre optique Congo-RCA, de l’inauguration du réseau d’interconnexion en fibre optique Congo-Cameroun, la construction du centre des données numériques du pays ou Datacenter, la mise en place de l’étude de l’implémentation du E-gouv au Congo et bien d’autres.

L’occasion sera, également, tout indiquée pour le ministre Léon Juste Ibombo d’évoquer les sujets brûlants et d’annoncer les axes de travail de son secteur.

Il sied de retenir que le Congo a obtenu de la Banque Africaine de Développement (BAD) la prorogation du Projet CAB au-delà de juin 2021, qui était la date la fin de l’exécution des chantiers du projet CAB financés par la BAD, à cause des restrictions du fait de la pandémie à coronavirus. En définitive, le projet CAB, né de la volonté des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEEAC, exprimée à Ndjamena au Tchad en 2007, s’assigne pour objectif de réduire la fracture numérique et d’interconnecter les pays de la communauté. Une manière de poursuivre l’intégration régionale et de ne pas rater la révolution digitale.

Economie numérique : le Congo implémente une nouvelle solution de paiement électronique

Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a procédé, ce mardi 29 décembre 2020, au lancement de CONGOPAY, une solution de transfert d’argent en partenariat avec la Société TERRAPAY, permettant aux populations n’ayant que peu ou pas du tout accès aux banques de bénéficier de services financiers.
Cette solution, qui intègre l’engagement n°5 du programme de gouvernement du chef de l’Etat congolais, d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique, permettra aux populations de réaliser chaque jour de simples transferts d’argent grâce à leurs technologies de transactions électroniques.
Il sied de noter que le Congo, à ce jour, s’est doté des infrastructures et d’une législation pouvant faire éclore et promouvoir l’économie numérique.
Ce projet lancé par le ministre Ibombo est capable d’assurer des communications parfaites 24h/24 et 7j/7 tout en réduisant les coûts d’exploitation de manière drastique, aux opérateurs de téléphonies mobiles, à la poste et commerces agréés.
Le Conseiller aux Télécommunications du Ministre congolais de tutelle, Eric Ndoumba, qui a assuré la coordination dudit projet, dans sa présentation, a rappelé que « Le numérique est un secteur transversal et donc constitue un levier important pour le Gouvernement dans ses efforts de modernisation et de diversification de l’économie et dans la mise en œuvre des réformes relatives aux climats des affaires ».
CONGOPAY devrait se comprendre comme une solution de paiement électronique interopérable par un « Code Quick Response » encore dénommé code QR. De ce point de vue, Eric Ndoumba a relevé l’importance du code QR dans l’implémentation de cette solution numérique, surtout en cette période de crise sanitaire. « Les codes QR gagnent actuellement en popularité en raison de la distanciation sociale : en utilisant les codes QR pour transférer des paiements, les marchands et les clients n’ont plus besoin de gérer de l’argent en espèce, que ce soit en ligne ou hors ligne. » At-il dit avant d’ajouter « Une surface commerciale ou une administration tant publique que privée peut simplement imprimer un code QR, le déposer sur une table pour permettre aux clients de scanner et de faire les paiements à distance en toute sécurité. » Le conseiller du ministre Ibombo en charge des télécommunications, pouvait déduire que « Ce type de paiement permet aux clients et aux marchands d’effectuer des opérations dans un environnement sûr, sécurisé et pratique.»
Procédant au lancement de la phase pilote dudit projet, le ministre Léon Juste Ibombo a souligné les attentes du Congo. « Notre pays attend de l’implémentation de ce projet, notamment dans cette période de crise sanitaire due à la pandémie du Covid-19, des solutions numériques contributives » a précisé le ministre congolais.
Dans cette perspective et à la lumière des propos du gouvernement congolais, il est attendu la dynamisation et à la diversification des services d’inclusion financière accessibles aux populations rurales des zones enclavées du pays, ainsi que la facilitation et simplification des échanges commerciaux, des transferts de paiements, des contraintes administratives publiques et privées dans un environnement sécurisé.

A l’évidence, ce modèle de transaction est simple, rapide et flexible. Il est basé sur le paiement immédiat. Ce qui revient à dire que les fonds, grâce à cette solution, seront instantanément mis à disposition auprès de n’importe quel point de transfert agréé. Les utilisateurs finaux pourront accéder ainsi à des solutions de transfert d’argent en toute simplicité, en tout lieu et à tout moment, et bénéficieront de taux de commission réduits sans obligation de créditer leur propre compte.
Pour les bureaux de poste et les commerces, cette solution évolutive représente une opportunité de génération de recettes supplémentaires ainsi qu’un service économique, fiable et rapide, à fournir à leurs clients.
Le directeur régional de Terrapay, partenaire du Congo dans ce projet, à travers une projection vidéo et explication du parcours utilisateur de CONGOPAY, a laissé comprendre à l’assistance la valeur ajoutée de ce projet dans l’économie congolaise.

Ce projet s’offre, alors, comme un atout pour le pays de s’attaquer aux causes profondes de l’extrême pauvreté. Pour en réduire les effets, le déploiement et l’exploitation de telles solutions offrent des conditions locales propices au développement social du pays et à la matérialisation de la volonté du Gouvernement de la République du Congo.

En définitive, fruit de la coopération sud-sud entre le Congo et l’Inde, acté par un Accord cadre de partenariat signé le 13 novembre 2019 à BENGALORE en Inde entre le gouvernement du Congo, représenté par le Ministre en charge de l’économie numérique et la Société TERRAPAY représenté par AMBAR Sur, CONGOPAY vient mettre en place, au bénéfice du Congo, une solution de paiement électronique interopérable par un « Code Quick Response » encore dénommé code QR.

Congo : concession de la fibre optique, les éclairages du ministre Léon Juste Ibombo

Ce lundi matin 14 décembre 2020, devant la façade principale du siège de la société publique, Congo-Télécom, tels des vouvouzelas, ses agents ont pollué l’atmosphère et rendu difficile le climat de travail aux administrations évoluant dans le périmètre de Congo Pharmacie, au Centre-ville de Brazzaville. Une situation qui a poussé le ministre de tutelle, qui devait arriver sur les lieux pour une rencontre et échange avec les partenaires sociaux et la direction générale, d’apporter des éclairages, sur l’incompréhension de ce qui serait à l’origine de cette situation.

Le ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie a tenu, bon gré mal gré, à rencontrer la direction générale et les partenaires sociaux  de cette société publique, pour un dialogue social portant sur le contenu à donner à la concession d’une partie des 24 brins de la fibre optique et comment fallait-il l’appréhender ?

Le climat malsain, fait des mouvements de désobéissance et de désordre entretenu ce matin par les agents de Congo-Télécom ne pouvait pas s’expliquer. Mais il n’a pas permis au ministre Ibombo de rencontrer ses interlocuteurs, tel que le précisait un communiqué de presse du cabinet du ministre, publiée en weekend annonçant l’organisation d’un dialogue social pour dissiper le malentendu et éclairer les incompréhensions des uns, ainsi la mésinterprétation, des autres.

Il faut retenir que, dans le cadre de la construction du boulevard énergétique, il avait été adossé à cette ambition du chef de l’Etat congolais, sur le réseau de la société électrique E2C ex SNE un câble de fibre optique de 24 brins, dont les travaux de construction ont pris en 2011.

Ce rappel historique ainsi fait, le ministre Ibombo a précisé que depuis cette date, une seule partie de ce réseau est exploité, pour de si lourds investissements. « A la vérité Congo Télécom utilise 4 brins de toute cette puissance. Et suite à l’étude diligentée par l’ex SNE en 2015, à travers un cabinet de renom, il a été conclu, avec l’aval du régulateur, qu’est l’ARPCE, sa mise en exploitation par les opérateurs privés. », A soutenu le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’économie numérique

Dès cet instant, plusieurs opérateurs avaient, ainsi manifesté leur désir de gérer cette infrastructure.

D’où  la démarche du gouvernement, à travers un partenariat public-privé de concéder ce réseau.  Ceci dans le but de maximiser les investissements de l’Etat, ainsi de faire que cette infrastructure insuffisamment exploitée ne tombe pas dans une obsolescence ; et par la même occasion booster  le secteur de l’économie numérique, au Congo. Une manière de trouver des ressorts et des ressources à la matérialisation de l’engagement 5 du président de la République, inscrit dans son programme de gouvernement, à savoir la marche vers le développement. « Arrimer le Congo au développement de l’économie numérique. »

Au cours des négociations pour la gestion optimale de la fibre optique, le gouvernement a pris le soin de dédier 8 brins à la souveraineté. Il sied de retenir que l’opérateur public, qu’est Congo télécom n’exploite que 4 brins sur les 24 formant la capacité installée de cette fibre optique.

La concession dont il est question ne porte sur le reste des brins de la fibre optique jusqu’à ce jour inexploités qui, dans le cas contraire, peuvent tomber en désuétude ; par conséquent être considérés comme un investissement nul pour l’Etat. Alors que son exploitation par un autre opérateur, loin d’être synonyme de concurrence pure et simple générerait des dividendes à l’économie nationale. In fine, cette concession permettrait au consommateur final, qu’est le peuple, le contribuable congolais, d’avoir accès, à moindre cout à la fibre optique dans les ménages.

Ce qui revient à dire que la concession, mal perçu par la direction générale et les agents de Congo Télécom n’entrave nullement l’évolution de cette société étatique, qui, en réalité devrait poursuivre ses réformes pour arriver à exploiter la totalité des 4 brins, qui ne le sont qu’en partie, jusqu’à ce jour.

Or avec la libéralisation depuis 1997du secteur Congo-Télécom ne devrait pas concevoir la concurrence à laquelle elle ferait face dans le cadre de cette concession ; mais une manière de se rendre compétitive, sous le regard du régulateur, à savoir l’agence de régulation des postes et communications électroniques (ARPCE).

Au ministre Ibombo de renchérir « Ce n’est pas le programme couverture national en Télécommunication, qui a été concédé, mais une partie du câble de garde en fibre optique déployé sur le réseau THT de la E2C. » Avant de déplorer la désinformation et l’intoxication de l’opinion en vogue dans les milieux de Congo télécom.

De ce point de vue il a lancé une invite au ressaisissement à la direction générale et à l’ensemble des travailleurs de Congo-Télécom.

Tout porte à croire que l’administration et les administrés de Congo-Télécom entendront raison ; puisque le Congo, qui a tant investi dans la construction et du boulevard énergétique et de la fibre optique à travers le territoire national, veut rentabiliser et viabiliser tout ce qui a été dépensé en termes d’argent et d’énergie.

Congo : 53 jeunes lauréats de la 2ème édition du prix Denis Sassou-N’Guesso de l’innovation numérique

Ils sont 53 jeunes férus des nouvelles technologies de l’information et de la communication à candidater cette année pour le 2ème prix Denis Sassou-N’Guesso de l’innovation numérique, contre 45 participants l’année dernière. Le lancement de la formation d’une semaine, sanctionnée par une évaluation pour en retenir trois meilleurs, a eu lieu ce vendredi 11 décembre 2020, à Brazzaville, par le ministre Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

Ces 53 jeunes, dont 1 venu de Libreville au Gabon et 5 de Pointe Noire vont faire valoir leur talents dans le domaine du numérique, afin de figurer, au terme de la formation, parmi les 3 bénéficiaires de la 2ème édition du prix Denis Sassou-N’Guesso de l’innovation numérique associé au programme de formation « seeds for the future » (semence du futur), appuyée par la société chinoise Huawei.

Les acteurs intervenant dans cette formation, à savoir Kosala, le conseiller en charge du numérique du ministre concerné et le directeur général de Huawei ont, à tour de rôle, au cours de la cérémonie de lancement dudit prix, présenté le prix et sa plus-value, tant pour les bénéficiaires que pour le pays.

C’est ainsi, qu’il a été soutenu qu’après le lancement de l’appel à candidature, le 2 novembre de l’année en cours, que la session de formation sera complétée par une évaluation des produits innovants que chaque participant aura conçu et présenté.

En effet, le prix Denis Sassou-N’Guesso de l’innovation numérique est un carrefour de la stratégie nationale de développement de l’économie numérique Congo digital 2025, du plan d’actions d’accompagnement des jeunes innovants à l’entreprenariat juvénile  et de soutien aux Startups.

Intervenant au lancement de la formation, le ministre Léon Juste Ibombo a rappelé les efforts que déploie le gouvernement congolais en faveur des jeunes start-upers. « S’agissant des startups, son avant-projet de loi en cours, que nous avons initié dans notre pays participe au renforcement du dispositif législatif de notre écosystème numérique pour le bien-être de nos populations. », a fait savoir le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

A l’évidence, le prix de l’innovation numérique Denis SASSOU-N’GUESSO engage les créateurs, les jeunes innovants à donner le meilleur d’eux-mêmes pour inventer le futur, pour apporter leur pierre à l’édifice national en matière du développement du numérique.

Pour Léon Juste Ibombo, ces jeunes participants à cette 2ème édition du prix Denis Sassou-N’Guesso de l’innovation numérique ont entendu et répondu à l’appel du Chef de l’Etat congolais, lequel invite instamment les jeunes à « investir le domaine de l’économie numérique, promis à un bel avenir ». « Vous bénéficierez d’une formation de haute facture, donnée notamment par les experts de HUAWEI, ce géant mondial dans les technologies de pointe comme la 5G, l’intelligence artificielle ou encore, l’internet des objets. » a martelé le ministre Ibombo, avant d’ajouter «  Vous serez enrichis des expériences nouvelles et de l’expertise de vos aînés, professionnels congolais du domaine. »

Cette 2ème édition du prix Denis Sassou-N’Guesso de l’innovation numérique aura le mérite de faire bénéficier aux récipiendaires, outre la formation de seeds of the future, 4 places pour une formation au Caire en février 2021, offertes par le ministère égyptien des nouvelles technologies.

En rappel, la première édition du prix Denis SASSOU-N’GUESSO de l’innovation numérique avait eu lieu le 16 octobre 2019, à Kintélé, et huit (8) jeunes avaient remporté le prestigieux prix.

Congo :  Le gouvernement place les jeunes au cœur de l’innovation

Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a participé, ce 25 novembre 2020, par visioconférence à une table-ronde sur l’innovation en Afrique. Il s’est agi, au cours de ces échanges, d’appréhender pour les jeunes d’être et de demeurer des piliers de l’innovation.

 Le développement de l’économie numérique nécessite, en ce 21ème siècle l’implication des jeunes, précisément des start-upers. Et la République du Congo y travaille déjà. Intervenant à la faveur de cette table-ronde le ministre congolais Léon Juste Ibombo en charge de la question a évoqué, outre l’arsenal juridique déjà opérationnel, l’avant-projet de loi portant statut particulier et protection des jeunes start-upers au Congo, en gestation avec la collaboration des start-upers congolais.

Une démarche qui concourt à stimuler l’innovation et à doter le pays des atouts indispensable au développement de l’économie numérique. Question de se mettre au diapason de l’ambition du chef de l’Etat congolais d’arrimer le Congo au développement de l’économie numérique.

Organisée par le CIO Mag, magazine traitant de la technologie et de l’informatique, cette table-ronde, qui se tient dans le cadre de la 9ème édition des assises de la transformation digitale en Afrique (ATDA), s’était fixé pour objectif d’échanger sur les questions relatives à l’innovation numérique en Afrique.

De ce point de vue le ministre Ibombo a invité les participants d’échanger non seulement sur l’innovation en Afrique mais aussi de tracer en deux questions essentielles la perspective de l’innovation : « Comment investir dans l’innovation en Afrique ? et pourquoi investir dans l’innovation en Afrique et particulièrement au Congo. »

Dans son exposé Léon Juste Ibombo a justifié l’urgence d’investir dans l’innovation. « Les premières raisons tiennent aux potentialités naturelles, hydrauliques, climatiques et minières du Congo, sans oublier la jeunesse de sa population. » « Les deuxièmes raisons tiennent à la mondialisation  des économies pour laquelle l’Afrique est en mesure d’y prendre une place spécifique et originale »

C’est sur cette voie que s’inscrit l’Afrique, le Congo aussi ne faisant pas exception, conformément à l’agenda 2063 de l’Union Africaine, qui met l’accent sur les sciences, la technologie et l’innovation comme leviers importants et indispensables au renforcement des capacités pour l’atteinte des objectifs du développement durable (ODD).

Aussi, soutient Léon Juste Ibombo, la politique du gouvernement de l’innovation s’articule en deux phases à savoir l’accompagnement de l’Etat dans l’innovation et la facilitation de son département ministériel.

En somme, les efforts se déploient pour assurer au Congo les outils de l’émergence de l’économie numérique, en mettant un accent sur l’interconnexion avec les pays voisins et limitrophes dans le cadre de l’intégration sous régionale.