Congo-TIC : l’ARPCE se dote d’un bâtiment technique à la dimension de ses missions

La coupure du ruban symbolique par le premier ministre, chef du gouvernement, Anatole Collinet Makosso, ce 10 août 2021, en ce lieu qui jouxte avec le siège administratif de l’Agence de Régulation des Postes et des Communications Electroniques (ARPCE), marque la mise en service du bâtiment technique de cette structure publique en charge de la régulation dans le domaine des TIC, qui y a été construit.

Les travaux de construction de cette structure technique et opérationnelle du gouvernement congolais, sous tutelle du ministère des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, financés sous fonds propre, ont coûté la bagatelle d’1 milliard 600 millions de francs CFA.

Selon le directeur général de L’ARPCE, Louis Marc Sakala le projet de construction de ce second module du siège de l’agence date de 2010, à l’ère de son prédécesseur, Yves Castanou. « Nous l’avons poursuivi » a t il indiqué, pour offrir aux agents les conditions optimales de travail.

De son côté, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo a déclaré que cette réalisation intègre l’agenda 2025, sur la politique nationale de développement de l’économie numérique. « Voilà ce dont l’écosystème numérique national a toujours eu besoin depuis la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Développement de l’Economie Numérique, Vision digitale 2025. » Pouvait-il soutenir dans son allocution de circonstance.

Le data center, logé dans ce bâtiment intelligent va insérer le pays dans l’heure de la modernisation. Il offre une opportunité de création d’emplois et il facilitera le stockage et sécurisation de données. « Ce Data Center offre une formidable opportunité de création d’emplois et de services, en faveur du secteur public comme du secteur privé. En outre, il facilitera aux usagers le stockage et la sécurisation des données. » A martelé le ministre Léon Juste Ibombo.

Les données techniques du bâtiment

Il ressort de la présentation technique dudit bâtiment faite par le chef du projet Mme ISSONGO KIBA que l’édifice a été posé sur une superficie de 977,15 m². Structurellement, il repose en semi sous-sol sur des piliers en béton armé solidement ancrés dans une fondation en radier général. A l’intérieur ; le revêtement du sol, les ameublements et autres matériaux de finition ont été choisis dans le but d’offrir un cadre de travail convivial au personnel. Les faux-plafonds ont été réalisés en panneaux de plaque minérale dissimulant tous les circuits de climatisation ; chemin de câble et autres raccordements d’équipements techniques.

Il faut noter que ce bâtiment se compose d’un semi-sous-sol et de trois (3) niveaux sur le Rez-de-chaussée. Il offre 19 bureaux de standing élevé pour ses occupants et usagers, qui totalisent 724 m². On compte 20 places de parking, 3 Kitchenettes, un local onduleur de 50 m², une infirmerie, tous équipés. On y trouve aussi des locaux techniques dédiés aux stockages et à l’archivage.

Le Rez-de-chaussée, par ailleurs, ont été aménagé le Data Center de type Tir 2 à tendance Tir 3, ses locaux connexes et la réception. Les étages supérieurs abritent les bureaux. On y trouve, également, un Centre de supervision de trafic voix et Data, un centre de supervision des transactions électroniques et un centre de contrôle des fréquences. Un laboratoire d’homologation, qui sera sous peu équipé d’une cage de faraday, est aménagé au 2ème étage.

Les circulations verticales entre les différents étages sont assurées par un escalier et un ascenseur de marque OTIS, tous deux situés sur le côté extrême gauche du bâtiment. Les circulations horizontales s’effectuent à chaque étage par un couloir central qui distribue sur les bureaux et le NOC, situés de part et d’autre, sur les côtés Sud-Est et Sud-Ouest.

En toiture terrasse, il y a une centrale de climatisation avec les équipements de production d’air conditionnée et de ventilation. Tous les bureaux et tous les locaux du bâtiment technique de l’ARPCE sont climatisés individuellement avec un système de type “VRV”. Ils sont équipés de connectiques réseaux sécurisés et de prises de courant ondulé capables de maintenir une alimentation en continue, grâce à un système d’onduleurs d’une puissance globale de 100kva, qui offre une autonomie globale de 3h en cas de coupure de courant prolongée.

En plus, le local du data, avec une superficie de 86 m², a été aménagé de façon à accueillir en pleine charge 28 Racks informatiques. Le sol de ce local a été réalisé en faux-planchers avec des panneaux de dalle antistatiques. Un vide de 55 cm entre le sol fini et la dalle porteuse permet de transiter tout le câblage informatique et électrique qui aboutit aux Racks.

Le nouveau bâtiment est connecté à l’immeuble principal par une connexion réseau en fibre optique. De même, pour faciliter les déplacements entre les deux édifices et permettre aux techniciens de rejoindre le nouveau bâtiment sans passer par l’extérieur, il est prévu une connexion physique par une passerelle technique suspendue au 2ème étage.

A la fois simple et somptueux, cet édifice et ses annexes revêtent une architecture contemporaine. Sa façade principale revêtue de bardage, avec des ouvertures en baies vitrées traitées en verres de couleur verdâtre, traduit une volonté de conception architecturale qui s’inscrit dans la continuité du bâtiment administratif, situé à gauche. L’accès principal à la concession se fait par le portail donnant sur la Rue du Colonel Brisset, juste en face.

Il faut conclure

En somme, avec cette infrastructure au cœur de Brazzaville , qui intègre la liste d’autres existantes ou en chantiers, à savoir le Centre Africain de Recherche en Intelligence Artificielle à l’Université Denis SASSOU-N’GUESSO de Kintelé, bientôt opérationnel, celles des télécommunications en cours de déploiement sur l’ensemble du Territoire national, l’interconnexion en cours en réseau à fibre optique entre le Congo et le Cameroun, le Congo et la République Centrafricaine, l’achèvement de la troisième phase du projet de couverture nationale et le Data Center gouvernemental, dont les études sont bouclées, tout porte à croire que le numérique se positionne comme un catalyseur de développement des sociétés modernes et de diversification de l’économie.

Le Centre Régional sur l’intelligence Artificielle lance ses premières Formations en ligne en janvier 2021

C’est au sein de l’Université Denis Sassou-N’Guesso, de Kintélé, au Congo-Brazzaville, qu’est logé le premier centre régional sur l’intelligence artificielle en Afrique. En attendant la mise a disposition des bâtiments fonctionnels dudit Centre au cours de l’année 2023, un atelier de revue à mi-parcours des travaux de sa mise en place, organisé à Brazzaville, 2 au 5 août 2021, sous la direction du ministre congolais, Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

Trois jours durant les participants à l’atelier de revue à mi-parcours des travaux de mise en place du Centre Africain de Recherche sur l’Intelligence Artificielle (CARIA), ont tracé la route à suivre pour établir le premier centre régional sur l’intelligence artificielle en Afrique.

Les experts de la CEA, communauté technique et universitaire, structures publiques et privées, société civile venus de plusieurs horizons ont fait œuvre utile dans cette marche vers l’opérationnalisation du centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle.

Ces moments d’échanges et de partages ont été l’occasion d’apprécier l’engagement de des partenaires et les contributions de tous les participants.  Ce qu’a permis l’adoption d’une feuille de route permettant la réalisation des objectifs dans le calendrier prescrit dans le cadre de ce projet.

C’est ainsi, intervenant à la clôture des travaux de cet atelier Jean Paul Adam, Directeur Division Technologique, Changement Climatique et Ressources Naturelles, CEA, n’a pas manqué de souligner la nécessité de ce centre en ce millénaire : « La vision du centre est d’être le premier centre de recherche en IA en Afrique avec des laboratoires de pointe dans les domaines de l’intelligence artificielle qui pourraient répondre aux objectifs STI de la nation et du continent. »

Au cours des ces assises il s’est dégagé l’idée d’accélérer le processus de création du centre. Clôturant lesdits travaux, Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a pu mesurer l’engagement des différents acteurs impliqués d’aller vite vers le démarrage effectif des activités de ce centre, le tout premier en Afrique. « Nous avons constaté la détermination de tous les collaborateurs de démarrer des cours a partir de janvier 2022 dans un format virtuel. » A fait observer le ministre Léon Juste Ibombo.

L’investissement dans la construction du Datacenter de classe mondiale et les avancés réalisés dans la mise en ouvre des capacités 5G au Congo, seraient autant d’atouts à la création d’un environnement propice pour le développement de l’Intelligence artificielle et la réussite de ce centre.

Cet atelier a apprécié l’attention apporté au renforcement de l‘écosystème pour le développement de l’Intelligence Artificielle en ce qui concerne les règlements et le cadre légal.

De ce point de vue, le ministre Léon Juste Ibombo est revenu sur la vision du chef de l’Etat congolais d’arrimer le pays au développement de l’économie numérique : « Cette vision se traduit, non seulement par l’implémentation des infrastructures indispensables, mais aussi par la mise en œuvre de plusieurs programmes et projets. »Pouvait-il déclarer. Bien avant lui, Jean Paul Adam signifiait que « la réussite de ce centre va se mesurer surtout à travers sa contribution vers une industrialisation verte et durable du pays et du continent. »

Pour la commission économique des Nations unies pour l’Afrique ce centre sera aussi un partenaire privilégié pour le secteur privé pour encourager leur investissement dans ces technologies, mais aussi pour qu’il soit demandeurs des solutions pour les défis économiques auxquels les Etats africains font face. Ainsi l’intelligence artificielle devrait s’appréhender comme un levier pour multiplier les opportunités des start-ups, et de privilégier l’innovation et l’esprit entrepreneur.

Cela nécessitera une coopération forte et approfondie avec le secteur financier pour libérer l’investissement et le financement requis pour l’adoption des technologies autour de l’Intelligence Artificielle.

En somme, satisfait des conclusions de cette rencontre Léon Juste Ibombo a déduit que la plus-value découlant cet atelier contribuera tant au niveau national qu’international, à entreprendre des recherches sur les implications juridiques, éthiques, économiques et sociétales des technologies d’Intelligence Artificielle, ainsi que de développer des outils, produits et services basés sur l’intelligence artificielle, afin d’aider le continent africain dans son ensemble à adopter la mise en œuvre de cette nouvelle technologie.

Afrique-Numérique : les premières formations en ligne annoncées pour Janvier 2022 au centre régional sur l’intelligence artificielle.

Le premier centre régional sur l’intelligence artificielle en Afrique sera logé à l’Université Denis Sassou-N’Guesso, en République du Congo. En attendant la mise a disposition des bâtiments fonctionnels du Centre au cours de l’année 2023, l’atelier de revue à mi-parcours des travaux de sa mise en place, clos à Brazzaville, ce jeudi 5 août 2021, par le ministre congolais, Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, a décidé du lancement de la formation en ligne dès le 2 Janvier 2022.

Trois jours durant les participants à l’atelier de revue à mi-parcours des travaux de mise en place du Centre Africain de Recherche sur l’Intelligence Artificielle (CARIA), ont tracé la route à suivre pour établir le premier centre régional sur l’intelligence artificielle en Afrique.

Les experts de la CEA, communauté technique et universitaire, structures publiques et privées, société civile venus de plusieurs horizons ont fait œuvre utile dans cette marche vers l’opérationnalisation du centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle.

Ces moments d’échanges et de partages ont été l’occasion d’apprécier l’engagement de des partenaires et les contributions de tous les participants.  Ce qu’a permis l’adoption d’une feuille de route permettant la réalisation des objectifs dans le calendrier prescrit dans le cadre de ce projet.

C’est ainsi, intervenant à la clôture des travaux de cet atelier Jean Paul Adam, Directeur Division Technologique, Changement Climatique et Ressources Naturelles, CEA, n’a pas manqué de souligner la nécessité de ce centre en ce millénaire : « La vision du centre est d’être le premier centre de recherche en IA en Afrique avec des laboratoires de pointe dans les domaines de l’intelligence artificielle qui pourraient répondre aux objectifs STI de la nation et du continent. »

Au cours des ces assises il s’est dégagé l’idée d’accélérer le processus de création du centre. Clôturant lesdits travaux, Léon Juste Ibombo, ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a pu mesurer l’engagement des différents acteurs impliqués d’aller vite vers le démarrage effectif des activités de ce centre, le tout premier en Afrique. « Nous avons constaté la détermination de tous les collaborateurs de démarrer des cours a partir de janvier 2022 dans un format virtuel. » A fait observer le ministre Léon Juste Ibombo.

L’investissement dans la construction du Datacenter de classe mondiale et les avancés réalisés dans la mise en ouvre des capacités 5G au Congo, seraient autant d’atouts à la création d’un environnement propice pour le développement de l’Intelligence artificielle et la réussite de ce centre.

Cet atelier a apprécié l’attention apporté au renforcement de l‘écosystème pour le développement de l’Intelligence Artificielle en ce qui concerne les règlements et le cadre légal.

De ce point de vue, le ministre Léon Juste Ibombo est revenu sur la vision du chef de l’Etat congolais d’arrimer le pays au développement de l’économie numérique : « Cette vision se traduit, non seulement par l’implémentation des infrastructures indispensables, mais aussi par la mise en œuvre de plusieurs programmes et projets. »Pouvait-il déclarer. Bien avant lui, Jean Paul Adam signifiait que « la réussite de ce centre va se mesurer surtout à travers sa contribution vers une industrialisation verte et durable du pays et du continent. »

Pour la commission économique des Nations Unies pour l’Afrique ce centre sera aussi un partenaire privilégié pour le secteur privé pour encourager leur investissement dans ces technologies, mais aussi pour qu’il soit demandeurs des solutions pour les défis économiques auxquels les Etats africains font face. Ainsi l’intelligence artificielle devrait s’appréhender comme un levier pour multiplier les opportunités des start-ups, et de privilégier l’innovation et l’esprit entrepreneur.

Cela nécessitera une coopération forte et approfondie avec le secteur financier pour libérer l’investissement et le financement requis pour l’adoption des technologies autour de l’Intelligence Artificielle.

En somme, satisfait des conclusions de cette rencontre Léon Juste Ibombo a déduit que la plus-value découlant cet atelier contribuera tant au niveau national qu’international, à entreprendre des recherches sur les implications juridiques, éthiques, économiques et sociétales des technologies d’Intelligence Artificielle, ainsi que de développer des outils, produits et services basés sur l’intelligence artificielle, afin d’aider le continent africain dans son ensemble à adopter la mise en œuvre de cette nouvelle technologie.

Numérique : le lancement des activités du centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle en discussion à Brazzaville

Brazzaville abrite, depuis ce 2 août 2021, un atelier de revue à mi-parcours des travaux de mise en place du centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle. Les assises ouvertes par le ministre congolais, Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, s’étaleront sur quatre jours.

Durant cette période les experts de la CEA, communauté technique et universitaire, structures publiques et privées, société civile venus de plusieurs horizons devraient engager des discussions portant sur un examen des arguments pour accélérer, si possible, la mise en place, si attendue, du centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle (CARIA), dont l’acuité n’a pas toujours été évidente aux yeux du plus grand nombre.

Il s’agit, pour eux, de faire le point des recommandations de la 7ème session du forum régional africain pour le développement (ODD), en partenariat avec la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique, organisée à Kintélé, Banlieue Brazzavilloise, du 1er au 4 Mars 2021. Au cours de celle-ci, il avait été procédé au lancement officiel du Centre Africain de Recherche sur l’intelligence artificielle (CARIA).

Vu l’importance du numérique dans la construction d’une Afrique digit       alisée, innovante à l’heure de la 5ème révolution, le ministre Léon Juste Ibombo, dans son mot d’ouverture a présenté le caractère transversal de l’intelligence artificielle. « Étant entendu que, l’intelligence artificielle consiste à mettre en œuvre un certain nombre de techniques, développant des programmes informatiques complexes capables de permettre aux machines d’imiter une forme d’intelligence humaine. » Pouvait-il préciser avant d’ajouter « L’Intelligence Artificielle se retrouve implémentée dans un nombre grandissant de domaine d’application. »

Cette tribune d’échange et de partage se veut être une manifestation de l’intérêt tout particulier que revêt  le développement des télécoms, de l’Economie Numérique, de la recherche Scientifique, de l’innovation technologique, ainsi que le Développement Humain.

Dans ce sens le ministre Léon Juste Ibombo, qui intervenait après sa collègue de l’enseignement supérieur, de l’innovation et la recherche scientifique, Delphine Adouki, et du représentant de la secrétaire exécutive de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, Jean Pierre Adam, a fait une projection des atouts que l’Afrique pourrait tirer de l’intelligence artificielle. « Pendant ce temps, il est de plus en plus affirmé qu’à moins de 10 ans d’atteinte des Objectifs de Développement Durable, les perspectives liées à l’intelligence artificielle semblent très prometteuses. » A dit le ministre Ibombo, tout en notant que « leur utilisation responsable offrirait des avantages substantiels aux acteurs de développement ainsi qu’à ses bénéficiaires parmi lesquels les étudiants de l’Université Denis Sassou-N’Guesso. »

La mission de ces sachants réunis à Brazzaville consiste à examiner les progrès réalisés conformément aux objectifs assignés lors du Forum de Kintélé et de   formuler une feuille de route claire pour un démarrage rapide des activités du centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle.

De manière précise, il s’agit pour les participants de porter un regard critique sur l’amélioration du paysage actuel de recherche en Intelligence Artificielle au Congo et en Afrique de façon générale, sur l’exploration du potentiel de cette technologie et les impacts macroéconomiques, ces effets transformateurs sur les sociétés et les économies. De l’avis du ministre Léon Juste Ibombo, il s’agira, également de se prononcer sur l’exploration de nouveaux domaines de recherche sur l’intelligence artificielle au service de l’homme, calcul génétique ; vision par ordinateur et la reconnaissance des formes, la robotique, etc. ainsi que sur l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) pour promouvoir le développement économique et sociale du continent, la promotion d’une approche de collaboration étroite entre le monde universitaire et les industries de transformation en utilisant l’intelligence artificielle et la robotique, sans oublier la consolidation de la coopération internationale pour l’accès inclusif à l’intelligence artificielle et aux innovations numériques.

Dans cette perspective,  l’impact s’avère prépondérant de l’intelligence artificielle  dans le domaine notamment de la cybersécurité au cours des prochaines années, où les cyber opérations offensives et défensives devraient être renforcées face aux cybermenaces. Aussi, le gouvernement congolais s’est-il résolu de mettre en place des outils nécessaires à la préservation de sa souveraineté numérique.

En Conséquence, tout devrait être mise en œuvre pour opérationnaliser le centre africain de recherche sur l’intelligence artificielle. Un centre au service de la jeunesse, des entreprises, des administrations et de la société civile africaine.

En Rappel le Centre de Recherche sur l’Intelligence Artificielle s’assigne comme objectif d’entreprendre des recherches de pointe sur l’intelligence artificielle (IA) en se concentrant sur une approche centrée sur l’homme afin de maximiser les avantages et de contrer les défis du développement et de l’utilisation de l’intelligence artificielle pour le développement socioéconomique du continent.

Afrique-Inde : Le Congo engagé à tirer profit de ce partenariat pour développer le numérique

« SERV Africa III : Connexion aux sphères de croissance IT » est la session à laquelle a participé, ce jeudi 15 juillet 2021, par visio-conférence, Léon Juste Ibombo, ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, à l’occasion de la seizième édition du conclave CII-EXIM Bank sur le partenariat Inde-Afrique.

Cette session, au cours de laquelle, le ministre Léon Juste Ibombo a porté la voix du Congo, a révélé que le potentiel des TIC qui domine les marchés mondiaux et ayant un impact sur un large éventail d’industries, a fait une incursion dans la région Afrique, qui voit l’émergence de nouveaux produits et services qui, dans un proche avenir, auront un impact profond sur la croissance et le développement de l’Afrique.

Saisissant l’instant de cette tribune, le ministre Léon Juste Ibombo a souligné la volonté du gouvernement congolais d’aller vers la diversification de l’économie nationale, dont l’un des leviers est le développement des technologies de l’information et de la communication. « Il ne fait par conséquent nul doute que les TIC continueront à gagner en importance, notamment grâce aux progrès et innovations futurs. » A signifié Léon Juste Ibombo dans son intervention avant d’ajouter « Il est plus qu’urgent que notre pays intègre le train de la révolution technologique, en développant efficacement les relations entre notre continent et l’Inde. »

Le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique n’a pas manqué de justifier la participation congolaise à ce conclave, précisément à cette session, jugée indispensable que les autres, regard de la transversalité des TIC, surtout en cette crise de pandémie à coronavirus. « Nous participons à ce conclave pour contribuer au développement des TIC et pour placer notre pays dans le concert des nations afin de tirer profit du développement par la mise en œuvre des résolutions et recommandations qui seront approuvées. » Pouvait marteler le ministre Léon Juste Ibombo.

En déroulant son propos, le ministre congolais a souhaité qu’à la fin de ce conclave, après avoir conjugué les points de vue, les expertises et les expériences, que les pays participants saisissent les belles opportunités qu’offre les TIC pour raffermir les liens entre l’Afrique et l’Inde.
Nous pouvons donc prendre le risque d’affirmer que les conditions sont donc réunies pour favoriser l’émergence d’une véritable industrie numérique et technologique.

Léon Juste Ibombo a reconnu l’existence encore des freins à lever pour rendre possible l’essor d’une industrie robuste et stable, mais l’espoir est permis, pouvait-il renchérir. Et, dans le dessein de tirer profit du partenariat Afrique-Inde, le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, tout en rappelant l’objet dudit conclave, qu’est celui d’aider certainement à transformer ces freins en avantage, en mettant en exergue les relations entre l’Inde et l’Afrique, s’est réjoui de l’avance que le Congo a pris avec l’Inde, dans le développement des TIC.

Ainsi, le ministère congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique est pourparlers avec le Ministère des Affaires Etrangères de l’Inde pour signer un protocole d’accord, aux fins de faire participer la République du Congo au projet du réseau e-VidyaBharati et e-AerogyaBharati (e-VBAB), Projet de réseau électronique panafricain de mise à niveau technologique. Ce projet a pour objectif de mettre en œuvre avec succès le réseau afin de fournir des services de télé-enseignement et de télémédecine par le biais d’une plateforme Web.

Cette seizième édition, la confédération indienne de l’industrie l’a placée sous le thème principal : « exploiter l’opportunité Afrique-Inde : se connecter, créer, collaborer ». Ce thème revêt une importance capitale, dans la mesure où les relations entre l’Inde et l’Afrique se consolident chaque jour davantage. Ce conclave est considéré comme une passerelle qui réunit des acteurs tant publics que privés, afin de discuter et partager des expériences et idées autour des thématiques en rapport direct avec les TIC et bien d’autres domaines.

Congo-Télécommunications : vers la conclusion d’un partenariat avec une société tunisienne pour la couverture des zones blanches

La Tunisie entend accompagner le gouvernement congolais dans la fourniture d’installation pouvant permettre la couverture en télécommunications des zones blanches. C’est ce qui ressort de la visite de deux sociétés tunisiennes par le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Léon Juste Ibombo, qui séjournait à Tunis, le 2 et 4 juillet 2021.

 

Le ministre Léon Juste Ibombo répondait à l’invitation du gouvernement Tunisien et la société Mellouli Steel Galvanizingg Industries. La délégation congolaise, qu’il conduisait à visiter les usines de la société Mellouli Steel Galvanizing Industries (MSGI) Sise à Sfax-Tunisie.

 

Cette visite, qui s’est déroulėe en deux phases, a commencé par la découverte de l’usine MSGI TOWERS, spécialisée dans la fabrication des poteaux de ligne métalliques, candélabres, poteaux d’eclairage public. Le ministre congolais en charge des postes, des télécommunications et de l’économie numérique ainsi que sa suite ont touché du doigt le processus de fabrication des supports produits par cette société. Du cisalage à la finition, en passant par le pliage, et le soudage, La délégation congolaise a découvert les différents compartiments de cette société.

Il faut retenir que la société fabrique plusieurs types des candélabres d’éclairage et stupports de lignes

électriques suivants les hauteurs de poteaux de 5 metre à 35 metre. La production mensuelle de fabrication s’élève ente 7 000 ef 8 000 poteaux de ligne métallique.

 

Autre lieu, autre moment, c’est la visite de l’usine MSGI, spécialisée dans la fabrication des pylônes de telécommunications (tubulaire et cornière), des charpentes et des ponts métalliques.

 

Etape après étape le ministre et sa suite ont visité la partie planage et dressage, ensuite ils ont découvert le lieu du cisaillage- découpage- tronçonnage, avant de découvrir les compartiments d’oxycoupge, de traçage et perçage, du pliage, de la soudure, de la galvanisation, enfin de la peinture.

 

La production annuelle de fabrication s’élève entre 1 000 à 1 500 Pylônes de télécommunications et 12 000 Tonnes de charpente métallique.

 

Au terme de la visite, s’est bien déroulée, le Ministre congolais des Postes des Télécommunications et de l’Economie Numérique, Léon Juste IBOMBO et le gérant de MSGI Mr MELLOULI Lotfi, ont exprimé leur satisfaction pour ce contact et cette passerelle que les deux parties ont résolu d’établir entre Tunis et Brazzaville, à travers un partenariat de fourniture d’équipements de couverture en télécommunications des zones enclavées ou non couvertes, avant de poser pour une photo de famille.

 

En somme, les discussions vont se poursuivre par les deux parties, afin de finaliser ce processus de conclusion de ce partenariat entre le Congo et la Tunisie, pour accompagner le processus de développement des télécommunications.

Congo-Poste : Léon Juste Ibombo entend réactiver les conseils de discipline

Pour restaurer l’autorité de l’Etat et permettre à l’administration postale de faire face à la concurrence du secteur et de ses charges mensuelles, le ministre Léon Juste Ibombo, au cours d’un échange avec les postiers, ce mardi 29 juin 2021, à Brazzaville, a donné l’information sur la relance des conseils de disciplines au sein de la Société des Postes et de l’épargne du Congo (SOPECO).
L’administration postale fait face à d’énormes défis. Et les énergies doivent se déployer pour sortir cette entreprise étatique de sa situation actuelle. Pour ce faire la première des exigences est celle que chaque agent réponde présent à son poste de travail. Ceci permettra que chaque agent postal remplisse sa mission. Le faisant chacun jouera sa partition dans la vente des produits et services de la poste congolaise et renflouera les caisses de la SOPECO.
Des pointeurs arrivées et départs seront installés dans les prochains jours dans les services de la poste congolaise, question de matérialiser cette ambition de remettre chaque agent à son poste de travail et de sévir les absents. Une initiative qui a été bien apprécié par les concernés qui ont formulé une doléance la mise à leur disposition d’un moyen de transport pouvant faciliter leur déplacement de leur zone de résidences pour le lieu de travail.
Le ministre Léon Juste Ibombo a promis trouver une solution à cette doléance qui intègre la dynamique du fonctionnement harmonieux de l’entreprise.
A cette mesure de mise en place d’un procédé numérique avec un pointeur de présence pour les agences de Brazzaville et Pointe-Noire, le ministre Léon Juste Ibombo a ajouté de l’octroi des badges aux agents des différentes caisses.
Cette décision découle du constat que le ministre a fait en synergie avec le comité de gestion de la SOPECO qu’il avait mis en place pour sortir l’entreprise de sa crise qui perdure, de ce qu’il y avait un décalage criard entre les recettes et les charges de la SOPECO, dans l’espace d’un mois.
De ce point de vue, au cours de cet échange ministre-agents des postes, Léon Juste Ibombo a fait le point des démarches entreprises par le cabinet concernant l’apaisement des tensions au sein de la SOPECO.
Comme prévu par le comité de gestion qui doit évaluer chaque semaine les recettes et les dépenses et prioriser la première dépense qui est le paiement du salaire mensuel, cette rencontre a permis au Ministre de mettre à la disposition de ces travailleurs les encaissements et recettes attendues de la SOPECO pour des raisons de clarté.
A ce jour, là SOPECO attend cinq millions (5.000.000) de franc/CFA de son partenaire privilégié Money Gram, treize millions (13.000.000) de franc/CFA des loyers par la Banque Postale du Congo, vingt millions (20.000.000) de franc/CFA des frais destinés aux payements des retraités.
En engageant les dépenses essentielles à son fonctionnement la SOPECO se reste avec 2045255 francs/CFA dans ses caisses. Or la masse salariale de cette entreprise publique s’élève à 38820739 francs/CFA, soit un gap de 36775484 francs/CFA. D’où il faut maximiser les recettes pour établir l’équilibre entre les recettes et les charges mensuelles. Ainsi, chaque agent est attendu à son poste de travail, pour sortir l’entreprise de l’ornière.
A propos des recettes dissimulées, Léon Juste IBOMBO a dit qu’il s’agit là d’une fausse information. Pour permettre à la SOPECO de retrouver ses lettres de noblesse, il appelle les travailleurs au ressaisissement et à préserver l’outil de travail.
Pendant ces échanges, les travailleurs ont formulé quelques suggestions, notamment la nécessité de créer une autorité de régulation, le fonds postal tout en demandant au gouvernement de revoir la subvention jusqu’alors estimé à cent treize millions (113.000.000) de franc/CFA l’année.
Le Ministre a, par ailleurs, déploré le retrait des partenaires sociaux du comité de gestion récemment mis en place de façon collégiale. Un outil, pourtant, institué par le ministre pour assurer la gestion collégiale et transparente de la SOPECO.

Descente du ministre Léon Juste Ibombo à la SOPECO

Dans sa démarche d’amener l’administration postale congolaise à retrouver ses lettres de noblesse, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique multiplie des stratégies et initiatives. Le tout dans le but de redonner à l’agent postal sa stature d’antan. Dans ce sens, Léon Juste Ibombo sera face aux travailleurs de la SOPECO (société des postes et de l’épargne du Congo), ce mardi 29 juin 2021, à 14 heures.

Dans le souci de préserver le climat social et de maintenir le dialogue au sein de la société des postes et de l’épargne du Congo, le ministre de tutelle, Léon Juste Ibombo effectue, ce mardi, une descente à la recette principale de la poste. Tout en les exhortant à une prise de conscience professionnelle, afin de s’approprier leur outil de travail, le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique invite l’ensemble des travailleurs de cette entreprise publique sous tutelle d’y répondre présents. Puisque le ministre Léon Juste Ibombo fera, encore, une importante communication à leur endroit.

L’objectif de cette descente est de poursuivre la mise en oeuvre de la nouvelle stratégie de gestion de l’entreprise, à savoir leur faire le point à chaque étape de l’évolution de la situation, telle qu’elle est examiné par le comité de gestion de la SOPECO, mise en place et pilotée par le ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

CEEAC : Les ministres en charge des télécommunications et TIC adoptent un Plan d’Action pour le Déploiement des Infrastructures de communications Électroniques

Brazzaville, ce jeudi 24 juin 2021, le ministre congolais, Léon Juste Ibombo, des postes, des télécommunications et de l’économie numérique a présidé, en visio-conférence, la rencontre de haut niveau des ministres en charge des télécoms et des technologies de l’information et de la communication des pays membres de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC). Cette réunion a débouché sur l’adoption du Plan d’Action pour le Déploiement des Infrastructures de communications Électroniques (PACDICE-AC).

Progressivement la CEEAC s’achemine vers la mise en œuvre du Plan d’Action pour le Déploiement des Infrastructures de communications Électroniques (PACDICE-AC). Les ministres de la communauté en charge de cette question se sont accordés ce jeudi. Le document qu’ils ont approuvé sera transmis aux chefs d’Etat pour son adoption et sa mise en œuvre.
Après avoir suivi et examiné les conclusions des travaux des experts qui portaient sur le contenu de ce plan d’action pour le développement des infrastructures de communications électroniques, cette réunion de haut niveau des ministres de la CEEAC en charge des télécoms et des TIC a approuvé des documents transversaux au développement des Télécoms et TIC en Afrique Centrale. Il s’agit de la méthodologie analytique de priorisation des projets du Plan d’action consensuel de déploiement des infrastructures de communications électroniques de l’Afrique centrale (Pacdice-ac).
Il a été, également, question d’examiner la note stratégique sur la priorisation des projets du Pacdice-ac ; la feuille de route 2021 de mise en œuvre du Pacdice-ac et la déclaration des chefs d’État sur le développement des infrastructures de communications électroniques dans la sous-région.
Comme à l’ouverture des travaux, à leur clôture le ministre congolais en charge des télécoms qui présidait lesdits travaux a souligné que l’examen approfondi de ces documents permettra de disposer des documents de qualité. « Au cours de notre réunion nous avons apprécié, à leur juste valeur les recommandations pertinentes des experts qui durant 3 jours n’ont ménagé ni leur énergie ni leur temps pour produire un travail de qualité » , a fait savoir Léon Juste Ibombo dans son mot de clôture.
La moisson de ce segment de haut niveau aura été abondante. Et le ministre congolais des postes, des télécommunications et de l’économie numérique pouvait s’en féliciter ; puisque l’inclusion numérique est en marche. « Au regard des résultats auxquels nous sommes parvenus il nous appartient donc d’affirmer notre ferme volonté d’aller plus loin dans la mise en place d’une infrastructure numérique régionale, inclusive, économiquement viable et techniquement durable. Ce, afin de promouvoir le développement socio-économique de l’Afrique Centrale et son intégration dans l’économie continentale et mondiale. » Pouvait signifier Léon Juste Ibombo.
Conscients de la situation du développement des infrastructures en Afrique centrale, les ministres de la communauté ont estimé que la CEEAC a tout intérêt à prioriser les infrastructures de communication électronique sur la base d’une méthodologie ayant fait ses preuves dans le processus de priorisation des projets d’infrastructures au niveau continental.
La CEEAC s’est réjouie de la tenue de cet atelier qui permettra l’amélioration des documents proposés. En conséquence la responsabilité grande des participants s’est dégagée pour le développement de ce secteur qui connaît encore un déficit.
La mise en œuvre des projets du PACDICE-AC permettra entre autres d’augmenter l’accès à l’internet haut débit , de réduire les couts de la connectivité internationale, d’améliorer les performances des services entre les Etats membres, et d’accéder à la souveraineté numérique des Etats.